Le gigantisme du palais du parlement de Nicolae Ceaușescu… à Bucarest en Roumanie!

Texte, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 48e d’une longue série de reportages relatifs à un voyage époustouflant qui nous a menés d'Innsbruck à Bucarest en passant par une longue croisière sur le Danube. Un périple que nous avons réalisé au printemps 2023.

Oltenița-Bucarest, Roumanie, samedi 6 mai 2023 - Et voilà, notre croisière de onze jours sur le Danube est terminée. Au cours de ce périple, nous avons traversé les frontières autrichiennes, slovaques, hongroises, serbes, bulgares et finalement roumaines.

Ce matin, nous descendons du « MS Vivaldi » à Oltenița en Roumanie pour grimper dans l'autocar et filer vers Bucarest, la capitale du pays, là où nous nous installerons à l'hôtel pour les deux dernières nuits de notre voyage de groupe.

Aujourd'hui, nous visiterons le « palais du Parlement », le deuxième plus grand bâtiment administratif au monde après le Pentagone! Tout y est gigantesque : 12 étages, plus de 1 100 pièces, 350 000 mètres carrés, 270 mètres de long par 240 mètres de large, pour une hauteur de 86 mètres!

Nous déambulerons accompagnés d'un guide propre à l'immeuble durant un peu moins d'une heure… ce qui est vraiment insuffisant pour apprécier un tel gigantisme.

Par la suite, nous nous installerons à notre hôtel, le « Grand Hôtel Continental », avant de partir à la découverte de la « colline de la Métropole », la Dealul Mitropoliei en roumain, et de son église.

Mais allons-y dans un premier temps de notre visite du palais du Parlement.

Photo ci-dessus : Le palais du « parlement de Bucarest » en Roumanie affiche une façade s'étirant sur pas moins de 270 mètres!

De retour aux réveils dès l'aube ce matin : 6 h 10.

Notre bateau, le « MS Vivaldi » est amarré au quai de Oltenița, une petite ville portuaire sur le Danube sise à quelque 67 kilomètres de la capitale de la Roumanie, Bucarest.

Nous nous rendons pour une dernière fois à la salle à manger du bateau pour y prendre notre petit-déjeuner. Avouons-le, nous avons très hâte de retrouver de meilleurs et plus variés petits-déjeuners à l'hôtel.

De retour à la cabine, il ne reste qu'à fermer les valises et à les placer à la porte de notre cabine. Les autres groupes et les quelques passagers individuels de la croisière quittent le navire à 8 h 30, tandis que l'heure du départ pour nous a été fixée à 9 heures.

Nous préparons le pourboire pour le personnel de bord que nous déposons dans une caissette à cet effet à la réception du bateau.

Finalement, nous descendons à terre et grimpons dans l'autocar qui prend la route à 8 h 55.

C'est Silvia qui est de retour avec nous comme guide locale, elle qui nous a accompagnés lors de notre arrêt en Bulgarie et qui a guidé nos premiers pas en Roumanie.

D'entrée de jeu, elle nous annonce que les météorologues roumains prévoient que le mercure grimpera à 22 degrés Celsius aujourd'hui. Wow!

Puis, elle ajoute que nous visiterons le « palais du Parlement » avant de nous installer au « Grand Hôtel Continental », un hôtel de luxe situé au cœur du centre historique, où nous dormirons deux nuits.

« Bucarest, dit-elle fièrement, c'est le “Petit Paris” de l'Europe de l'Est. Nous y admirerons une architecture du début du XXe siècle. »

Tout au long du trajet nous menant de Oltenița à Bucarest, nous constatons qu'il y a encore beaucoup de pauvreté le long de la route.

Nous voyons des gens se déplacer en charrette tirée par un cheval.

Plusieurs maisons sont délabrées. Parfois, nous observons un début de travaux de rénovation, mais rarement ceux-ci sont complétés… et pourtant les gens vivent dans ces maisons en travaux.

Nous traversons le village de Budești, « un village de Roms », lance notre guide en précisant que le mot « gitan » est péjoratif. C'est curieux, nous aurions cru le contraire.

Silvia mentionne qu'ici la principale industrie locale est le textile.

Plusieurs personnes se tiennent au bord de la route… devant des étalages d'objets divers offerts à la vente.

Nous croisons quelques « palacios de los gitanos », des habitations affichant une architecture très particulière!

Ces « Palais Rom » prennent place dans les champs ou aux abords des villes. Ils prennent la forme de petites pagodes brillant de mille ornements. Le contraste avec les maisons modestes du voisinage est très frappant.

Photo ci-dessus : Il est très surprenant de croiser des « Palacios de los gitanos » sur la route reliant Oltenița à Bucarest. (Photo provenant de Wikipédia)

Notre guide fait circuler dans l'autocar, de passager en passager, plusieurs brochures et pamphlets portant sur l'architecture de la Roumanie et dans lesquels nous pouvons admirer plusieurs belles photos d'époque.

Elle met également en circulation un petit livret de dessins intitulé « Le pied chaussé ». La brochure a été publiée par le « Musée du Paysan roumain », que nous visiterons demain. Elle nous montre toute une panoplie de chaussures d'une autre époque. Elle est illustrée par l'artiste roumaine Irina Nicolau (1946-2002).

Sylvia nous parle de la Transnistrie, un État indépendant autoproclamé depuis la dislocation de l'URSS en 1991.

« Ni les Nations Unies, ni ses États membres, dont la Russie, ni mon pays d'origine, la Moldavie, ne reconnaissent cette indépendance. Tous considèrent la Transnistrie comme une région autonome située à l'intérieur des frontières internationalement reconnues de la Moldavie. »

« La Transnistrie est sous la coupe d'un gouvernement Rom, communiste », ajoute notre guide.

L'encyclopédie libre Wikipédia est silencieuse quant au gouvernement Rom et moins catégorique quant au régime politique de la Transnistrie :

« Bien que n'étant plus économiquement communiste, le gouvernement ayant procédé à une libéralisation progressive de l'économie à partir de 1992, la Transnistrie a conservé les symboles soviétiques, notamment dans son drapeau et ses armoiries.

Les dirigeants de la Transnistrie indiquent clairement leur fidélité à leur passé soviétique et disent n'en être jamais officiellement sortis : le régime du Parti patriotique de Transnistrie, un parti unique, y perdure et les médias, sous contrôle gouvernemental, présentent souvent le pays, en russe, comme le dernier bastion de l'Union soviétique, alors qu'en anglais c'est plutôt un pays favorable aux investissements étrangers qui est mis de l'avant! »

Nous sommes retardés par un grand chantier de construction sur la route. Il y a de nombreux travailleurs… et un solide embouteillage. Nous sommes à 13 km de Bucarest.

Silvia nous indique que la Roumanie est une république, calquée sur le modèle français.

« La Roumanie est le sixième pays le plus peuplé de l'Union européenne et le huitième pays le plus grand de cette même union pour sa superficie totale. »

L'encyclopédie libre Wikipédia précise que Bucarest compte sur une population de 2,5 millions d'habitants, alors que la Roumanie a largement dépassé les 19 millions en 2021. Pourtant, notre guide souligne que les autres villes du pays ont toutes des populations inférieures à 250 000 habitants.

Silvia se lance dans une énumération de noms de personnalités roumaines célèbres… Malheureusement, peu d'entre-elles nous sont connues.

Photo ci-dessus : À notre arrivée en autocar dans Bucarest même, nous apercevons ce bel édifice à logement tout coloré.

Le chauffeur mène son véhicule sur la « place de la Constitution » et nous descendons pour un arrêt photo.

Devant nous, de l'autre côté de la rue, se dresse l'immense palais du Parlement de Roumanie.

Photos ci-dessus : Le palais du Parlement de la Roumanie, est un gratte-ciel stalinien. Construit sous la commande du dictateur communiste Nicolae Ceaușescu l'édifice, nous apprend Wikipédia, est l'un des plus grands bâtiments d'Europe avec le marché aux fleurs d'Aalsmeer (Pays-Bas) et le complexe de bureaux « Cœur Défense » (France). Enfin, il est le plus grand bâtiment en pierre et le deuxième plus grand bâtiment administratif au monde, après le Pentagone.

Nous remontons dans le car et poursuivons notre exploration de la ville.

« Aujourd'hui, nous informe Silvia, il y aura une grande manifestation dans les rues de Bucarest. Elle est en préparation. Des policiers sont déjà sur place et des cols bleus sont à installer des barricades. »

Nos recherches visant la rédaction de ce texte nous ont appris que le parti politique Alianta pentru Unirea Romanilor a manifesté devant le parlement de Bucarest à partir de 16 heures pour protester contre les lois sur l'éducation.

Notre visite du palais, prévue initialement pour 11 heures, a été déplacée à midi! Donc, nous tuons le temps en circulant en car dans la ville.

Silvia nous indique l'édifice de l'Opéra roumain, le monument aux soldats morts lors de la Première Guerre mondiale, la maison de la radio, qui est en construction depuis 1980, la faculté de médecine, etc.

Puis, nous traversons un quartier chic de la vllle, un quartier avec des maisons de style néo-roumain. Nous voyons un marché public et de beaux espaces verts récemment aménagés.

Finalement, nous descendons devant le palais, quelques minutes passées 11 heures.

Photo ci-dessus : Évidemment, le drapeau roumain est bien en vue devant le « Palais du Parlement » de Bucarest.

Longue attente
Nous devons attendre 45 minutes avant de pouvoir passer la sécurité… où les contrôles sont identiques à ceux opérés dans les aéroports… Qui plus est, nos passeports doivent être contrôlés.

Heureusement, le hall d'entrée est immense et nous pouvons y attendre, car dehors c'est venteux et plutôt froid, malgré les beaux degrés Celsius annoncés.

Dans ce hall, une exposition de tableaux est en cours. Les œuvres exposées sont du peintre roumain Mircea Titus Romanescu, un artiste né en 1950.

L'exposition est titrée « Romanescu Prospectivă 2023 » et elle se tient du 1er au 31 mai. On y a regroupé des aquarelles des années 1960 et des peintures des années 1990 à nos jours. De nombreuses œuvres présentées sont issues de collections privées.

Photo ci-dessus : L'affiche de l'exposition « Romanescu Prospectivă 2023 ».

Photo ci-dessus : Une toile intitulée « Natalia », réalisée en 2018 par Mircea Titus Romanescu.

Photo ci-dessus : Une œuvre titrée en roumain « Portretul tatei », ce qui se traduit en français par « Portrait du père ». Romanescu a ainsi peint le portrait de son père, le docteur Gheorge Romanescu, en 2023.

Photo ci-dessus : Autoportrait du peintre Mircea Titus Romanescu transposé sur toile en 2010.

Photo ci-dessus : « Une toile intitulée « Câmpure la Paudorf », ce qui peut se traduire par « Champs à Paudorf », un tableau réalisé en 2014.

La visite guidée du palais du Parlement
Puis, nous entrons par le niveau 2 dans une salle où l'on contrôle nos passeports, et ce, avant de passer à la sécurité.

Le processus est très long… et pour le réaliser, cinq employés du palais du Parlement sont à l’œuvre, et ce, uniquement pour vérifier notre groupe de 28 personnes!

On nous remet un badge et notre guide du palais, qui se prénomme Christian, se joint à nous. La visite commence!

D'entrée de jeu, après nous avoir souhaité la bienvenue, il nous informe que les photos sont permises!

Nous entrons dans une première salle qui est rectangulaire. Il s'agit d'une sorte de galerie où sont exposés des tableaux, des tapisseries et des bustes en bronze.

« Le palais du Parlement est un édifice de 12 étages où l'on retrouve 1 100 pièces », affirme notre guide.

« Sa construction a commencé en 1984 pendant le règne de Nicolae Ceaușescu (1918-1989). Quelque 600 architectes ont œuvré sur le projet, 20 000 ouvriers y ont travaillé sous la coordination de l'architecte Anca Petrescu (1949-2013), une jeune femme alors âgée de 35 ans! »

« Entre 2004 et 2008, celle-ci a été membre du parlement roumain. Elle est décédée dans un accident de la route en 2013. »

« On retrouve dans le palais, quatre restaurants, une bibliothèque et une multitude de salles, d'amphithéâtres et de bureaux… L'édifice n'a jamais eu la vocation de devenir une résidence officielle. »

Photo ci-dessus : Un superbe buste de bronze représentant Eftimie Murgu (1805-1870), une figure de la renaissance culturelle roumaine. Wikipédia nous apprend qu'il était juriste, professeur de philosophie roumaine, homme politique, député dans le parlement révolutionnaire hongrois pendant la Révolution de 1848 et avocat à Budapest. Le buste est l'œuvre du sculpteur roumain Aurel Gheorghe Ardeleanu (1936-2021).

Photos ci-dessus : Un buste en bronze de Ștefan cel Mare (1433-1504) devant une magnifique tapisserie. Celui-ci a régné de 1457 à 1504 sous le nom d'Étienne III de Moldavie ou d'Étienne III le Grand. La sculpture est de l'artiste Mircea Ștefănescu (1929-1999).

Photos ci-dessus : Détail d'une autre superbe tapisserie.

Photo ci-dessus : Un buste de Mihai Viteazul (1558-1601) qui fut, nous apprend Wikipédia, seigneur de Valachie entre 1593 et ​​1600. Pendant un certain temps (en 1600), il fut le dirigeant de facto des trois États médiévaux qui composent la Roumanie actuelle : la Valachie, la Transylvanie et la Moldavie. L'œuvre est du sculpteur Gheorghe Râdulescu.

« Le palais a été construit sur le site d'un ancien quartier historique… Il a été rasé, entraînant la disparition de 20 % du centre historique! »

« Il y a eu plus de 50 000 expropriés et conséquemment la démolition ou le déplacement d'une trentaine d'églises et de 7 000 maisons. »

« À la mort de Ceaușescu en 1989, seulement 60 % de la construction était terminée. »

Christian, notre guide, nous rappelle que Ceaușescu a accédé à la tête du pays en 1965, devenant secrétaire général du Parti communiste roumain. Il a été élu président de la République socialiste de Roumanie par la Grande Assemblée nationale de Roumanie en 1974, puis réélu en 1980 et en 1985.

Nous arrivons dans une deuxième salle… qui elle est circulaire. Il y a des fauteuils disposés comme dans un théâtre… avec des loges.

« Cette salle sert pour la tenue des conférences internationales et de colloques d'affaires. L'acoustique y est excellente. La salle peut accueillir 600 personnes assises. »

Lorsque nous entrons, assez curieusement nous nous retrouvons sur la scène... la salle devant nous!

Photos ci-dessus : Un véritable théâtre affichant un style de décoration Art-Déco. On y retrouve des colonnes en pierre taillée et un grand lustre en cristal pesant 5 tonnes. Selon notre guide, il est composé de 300 ampoules électriques.

« La salle qui couvre 1 300 mètres carrés est toutefois sans aucune lumière naturelle. Elle a été créée à l'origine comme une salle de spectacle. Aujourd'hui, elle est offerte en location. »

« À l'étage supérieur, il y a la salle du parlement. Mais de préciser Christian, elle n'est pas accessible au public. »

« Depuis 1994, le bâtiment abrite la Chambre des députés, rejointe par le Sénat en 2004. Il y a 330 députés et 136 sénateurs et ils sont élus pour des mandats de quatre ans. Tous ces élus se regroupent au sein de cinq partis politiques. Les prochaines élections auront lieu en 2024. »

Nous descendons au rez-de-chaussée où se trouve la galerie de la presse avec des murs de 9 mètres de haut. L'endroit est le site d'une exposition permanente d'œuvres d'artistes roumains.

Photo ci-dessus : Des superbes lustres de corridor!

Photo ci-dessus : Voici un des bustes exposés, pour lequel nous n'avons pas réussi à déchiffrer l'affichette identifiant le personnage.

Photo ci-dessus : Une curieuse toile est exposée. Elle a été réalisée en 1998 par l'artiste-peintre et écrivain Felix Lupu (1966- ).

Photo ci-dessus : Une grande toile intitulée « Apothéose ». Elle est une œuvre de 1984 du peintre et réalisateur Sabin Bălașa (1932-2008).

Photos ci-dessus : D'autres beaux lustres.

Il y a présentement un congrès politique qui se tient au palais du Parlement.

« Le couloir que nous empruntons, fait remarquer notre guide, a 150 mètres de long! » À son extrémité, nous entrons dans une autre salle de conférence. Celle-ci est décorée de colonne de marbre rose et de laiton.

Photos ci-dessus : Dans le palais du parlement, chacune des salles a son propre style… Ici, les marbres affichent cinq couleurs différentes, toutes tirant sur le rose!

« Cette salle est utilisée pour la tenue de séminaires, des symposiums ou encore des conférences de presse. »

« Les lustres, et il y en a plusieurs, sont en cristal, tandis que les draperies sont en soie provenant de Transylvanie. »

Nous constatons que les motifs du tapis sont identiques à ceux du plafond.

Cette salle est équipée de cabines pour la traduction simultanée. Notre guide en profite pour nous informer qu'aux séances du Parlement, huit langues sont parlées.

Photo ci-dessus : Nous franchissons une grande porte en bois sculpté.

Nous traversons une immense pièce où des gens sont à la pause et au lunch. Surprise, il y a des tables de casinos.

Quelques pas encore et nous arrivons dans une troisième partie de la galerie… « C'est ici qu'a été tourné, en 2002, le film "Amen" de Costa Gravas. »

« Dans ce film critiquant l'inaction du pape Pie XII durant la Seconde Guerre mondiale, les scènes censées se dérouler au Vatican ont été tournées ici au palais du Parlement de Bucarest. »

Photo ci-dessus : Il est assez insolite de se retrouver devant cette somptueuse fresque intitulée « Vierge à l'Enfant intronisée ». Une œuvre du peintre italien Marco Palmezzano (1460-1539).

Et nous entrons dans une autre salle… celle-ci est occupée par une immense table ronde autour de laquelle prennent place pas moins de 60 fauteuils…

Photos ci-dessus : La salle est décorée de deux styles distincts : le roumain traditionnel en bois et le « Renaissance italien ».

Photo ci-dessus : La très grande table est surmontée d'un lustre pesant plus de 2 tonnes et regroupant 150 ampoules électriques, souligne notre guide.

Il s'agit d'une salle de conférence où nous remarquons d'autres cabines de traduction.

Christian précise que la « Cour constitutionnelle de Roumanie » siège ici.

Photo ci-dessus : Notre guide attire notre attention sur un dessin dans le marbre au sol… Il s'agit du plan de l'édifice. Comme nous l'avons déjà mentionné, le bâtiment fait 270 mètres de longueur par 240 mètres de largeur.

Nous arrivons dans une pièce dont le plancher est recouvert d'un immense tapis vert… Notre guide fait valoir que 35 personnes sont nécessaires pour le dérouler!

Ce dernier clôture la visite à 12 h 40 en nous informant que nous avons monté 200 marches et que nous avons marché sur une distance d'un kilomètre.

Nous sortons, remontons dans l'autocar garé face au palais et repartons à 12 h 50. Nous filons vers notre hôtel.

À suivre…
Première promenade dans les rues du quartier historique de Bucarest, puis découverte de la colline de la Métropole et visite de l'église du patriarcat roumain.

Photo ci-dessus : La cathédrale patriarcale orthodoxe roumaine de Bucarest, connue également sous le nom d'Église métropolitaine, est un monument religieux et civique en activité situé sur la « Dealul Mitropoliei », la colline de la Métropole. Cette colline est le site de nombreuses fêtes et observances religieuses qui ont lieu pour ceux qui suivent la foi chrétienne orthodoxe à Bucarest.

Pour lire les autres textes de ce périple, cliquez sur ce lien : Croisière sur le Danube... et un peu plus