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Nov/17
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Art public – « Espace fractal » (Jean-Pierre Morin)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 67e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Espace fractal, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 15 novembre 2017 – Nous nous rendons souvent à la « Grande bibliothèque ». Oups! Excusez-nous, à la « BAnQ », « Bibliothèque et Archives nationales du Québec »! Lorsque l’endroit a été construit, il s’appelait la « Grande bibliothèque » et disons que nous sommes restés accrocs à ce terme tellement plus parlant!

Donc, en nous y rendant la dernière fois, tout comme pour le « Centre de soccer de Montréal », j’ai cherché la ou les œuvres installées en ces lieux en vertu de la « Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics ».

J’en ai trouvé une rapidement. Elle est à l’entrée de la bibliothèque sur le boulevard De Maisonneuve, dans un espace creusé devant « L’espace jeune ». « La cour rabaissée sur le boulevard De Maisonneuve », nomme-t-on officiellement cet emplacement sur le site Internet de la BAnQ.

Comme au stade de soccer, il s’agit d’une sculpture. Elle est titrée « Espace fractal » et elle est de l’artiste Jean-Pierre Morin qui l’a réalisée en 2005.

« L’œuvre, peut-on lire sur la grande toile, est composée d’un quadruple socle d’acier corten et d’un jaillissement d’étincelles d’aluminium. Se déployant depuis le niveau du métro sur une hauteur de sept mètres à l’entrée principale de l’édifice, elle symbolise à la fois le lien qui unit la ville souterraine à la cité et l’arbre de la connaissance. »

Puis, je me suis interrogé sur le sens du mot « fractal » que l’on retrouve dans le titre de l’œuvre, un mot qui m’était jusqu’alors inconnu. Le dictionnaire du correcteur électronique Antidote m’a appris qu’il s’agissait d’une « branche des mathématiques qui étudie les objets de la nature dont la création ou la forme ne trouve ses règles que dans l’irrégularité ou la fragmentation, comme les éponges, les flocons de neige, les ramifications des bronches et des bronchioles, etc. ».

Voilà, une petite recherche qui me permet de mieux comprendre l’œuvre.

Justement, lors de mes recherches visant la rédaction de ce texte, j’ai appris que cinq œuvres d’art avaient été réalisées et installées à la Grande Bibliothèque en vertu de la « Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics ». Je retrouverai les autres ultérieurement.

Photo ci-dessus : « Art fractal » de Jean-Pierre Morin, une pyramide « d’étincelles » haute de sept mètres qui surgit du sous-sol de l’édifice de la BAnQ, côté boulevard De Maisonneuve.

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Nov/17
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Art public – « Géologique » (Patrick Coutu)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 66e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Géologique, Montréal, QuébecMontréal, Québec, 13 novembre 2017 – À la mi-octobre, je me suis rendu au « Centre de soccer de Montréal », situé sur l’avenue Papineau à Montréal pour assister à un match de ma petite-fille. Arrivé tôt, j’en ai profité pour chercher l’œuvre ou les œuvres installées en ces lieux en vertu de la « Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics », et ce, parce que le stade de soccer de Montréal est une construction récente dans le paysage de Montréal.

Non sans difficulté, j’ai trouvé, et ce, même si l’œuvre en question mesure dix mètres de haut! L’œuvre intitulée « Géologique » prend place face à l’avenue Papineau entre le stade à proprement parler et l’aire polyvalente extérieure, très très loin de l’entrée principale.

Je sais que les goûts ne sont pas à discuter, mais personnellement, je n’aime pas. Ma première impression a été qu’elle ressemblait à une pyramide de métal rouillé.

Évidemment, lorsqu’on lit l’affiche la décrivant et expliquant le but recherché par l’auteur, on comprend mieux sa signification.

En bref, l’artiste, Patrick Coutu, s’est inspirée de l’histoire et de la topographie des lieux. « À l’image d’un massif rocheux, sa structure renvoie à la stratification sédimentaire et rappelle la présence d’une ancienne carrière sur ces lieux », peut ont lire sur l’affiche explicative.

Photo ci-dessus : « Géologique » est une pyramide haute de dix mètres formée de 4 800 pièces évidées d’acier intempérique. Lors de son inauguration en juin 2017, elle devenait à 325e œuvres d’art public de la collection municipale.

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Nov/17
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Art public – « Place Claude-Léveillée » (Laval)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 65e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Place Claude-Léveillée, Laval, Québec

Laval, Québec, 11 novembre 2017 – Lors d’une promenade récente dans le « Centre-ville » de Laval, nous avons découvert avec grand plaisir une place honorant la mémoire de Claude Léveillée!

La place Claude-Léveillée est située à l’intersection du boulevard de l’Avenir et de la rue Jacques-Tétreault, au cœur du nouveau centre-ville de Laval, tout près de la station de métro Montmorency. Elle a été inaugurée le 6 septembre 2012, un peu plus d’un an après le décès de cet artiste, chansonnier qui a accompagné notre adolescence et comédien hors du commun qui a agrémenté plusieurs de nos soirées télévision.

La place qui lui est dédiée est, me semble-t-il, à la hauteur du grand artiste qu’il fut. C’est un espace public de 1 000 mètres carrés qui se distingue par la présence d’un carillon de 25 cloches, d’une fontaine et des nombreux bancs s’apparentant à des touches de piano. De plus, plusieurs dalles de béton de la place affichent des notes de musique.

Photo ci-dessus : La place Claude Léveillée est au centre de la « Cité du savoir lavalloise » située sur le site du complexe éducatif de l’Université de Montréal, tout près du collège Montmorency et du collège Letendre. On y retrouve un tour renfermant un carillon, une fontaine à multiples jets, des dalles décorées de notes de musique et des bancs donnant l’impression de constituer un clavier de piano.

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Nov/17
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Art public – « Tower of songs – Leonard Cohen » (El Mac et Gene Pendon)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 64e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Leonard Cohen, El Mac et Gene Pendon, Montréal, QuébecMontréal, Québec, 9 novembre 2017 – Comme nous l’avons mentionné récemment, Montréal s’enorgueillit de deux murales rendant hommage au chanteur Léonard Cohen décédé en novembre 2016.

La première pour laquelle nous avons déjà publié un texte (« Leonard Cohen » (Kevin Ledo)) est située sur le mur d’un stationnement du côté nord de la rue Napoléon. La deuxième prend place sur d’un édifice de 20 étages situé au 1420 de la rue Crescent, entre le boulevard de Maisonneuve et la rue Sherbrooke.

Cette murale de Leonard Cohen est une réalisation de MU. Il s’agit de la 100e murale de l’organisme, dont la mission est d’embellir Montréal en réalisant des murales ancrées dans les communautés locales. Celle de Cohen, nous apprend le journaliste Éric Clément dans le quotidien La Presse, rejoint les murales de Paul-Émile Borduas, Dany Laferrière, Oscar Peterson, Michel Tremblay, Norman McLaren et Mordecai Richler dans le cadre de la série Bâtisseurs culturels montréalais, que MU poursuit depuis 2010.

L’immense portrait de Leonard Cohen est l’œuvre des artistes Gene Pendon, un Montréalais, et El Mac, un portraitiste californien. Elle n’est libre de câbles et de plates-formes que depuis quelques jours… mais n’a pas encore été inaugurée officiellement.

Photo ci-dessus : La murale réalisée par Gene Pendon et El Mac, titrée "Tower of Songs", l’a été à partir d’une photographie de l’artiste prise par sa fille Lorca. La technique de pixellisation utilisée par El Mac, qui a œuvré sur le visage de Cohen, fait incroyablement bien ressortir la lumière.

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Nov/17
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Art public – « Leonard Cohen » (Kevin Ledo)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 63e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Leonard Cohen, Kevin Ledo, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 7 novembre 2017 – Après avoir admiré longuement la murale de Jackie Robinson sur un mur d’une maison d’habitations de la toute petite rue Napoléon, tout près du boulevard Saint-Laurent, nous poursuivons sur cette rue, vers l’Est, et arrivons devant un stationnement, sur le côté nord de la rue Napoléon, où, sur le mur du fond, prend place une immense murale représentant le chanteur Léonard Cohen disparu en novembre dernier. Wow!

Elle est vraiment grande, en fait elle fait 40 mètres de haut. C’est d’ailleurs la plus grande murale jamais réalisée dans le cadre du « Festival international d’art public MURAL ». C’est pour l’édition 2017 de ce festival que l’artiste Kevin Ledo a créé son œuvre hommage à Leonard Cohen.

La murale s’étire sur les neuf étages de l’édifice où elle est peinte! Selon le site Internet du Festival Mural, « elle est aujourd’hui accueillie avec beaucoup d’émotions par tous les touristes et les Montréalais qui s’émerveillent de voir l’artiste de retour dans sa ville natale, seulement à quelques mètres du bâtiment où il résidait peu avant de décéder ».

Kevin Ledo, l’auteur, est un artiste muraliste montréalais de renommée internationale. Il a notamment réalisé des murales en hommage à Janine Sutto et à David Suzuki ici à Montréal, en plus de plusieurs œuvres d’envergure partout à travers le monde.

Pendant que cette murale était inaugurée en juin dernier, une autre était en cours de réalisation sur la rue Crescent à Montréal. Nous en parlerons dans les prochains jours.

Photo ci-dessus : L’immense murale de Leonard Cohen réalisée par l’artiste montréalais Kevin Ledo peut être admirée de la rue Napoléon sur le mur d’un grand édifice.

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Nov/17
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Art public – « Jackie Robinson » (Vincent Dumoulin)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 62e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Jackie Robinson, Vincent Dumoulin, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 5 novembre 2017 – Comme nous l’avons mentionné dans notre texte présentant la murale de Jackie Robinson située sur la rue Napoléon à Montréal, il y a une autre murale dans la métropole, rendant hommage du premier athlète noir à avoir joué dans les Ligues majeures de baseball. Cette autre œuvre d’art décore le mur d’une ruelle du quartier Villeray.

Cette murale est une œuvre de l’artiste Vincent Dumoulin. Elle est visible de la rue Jarry Est prenant place dans la ruelle située entre la rue Casgrain et l’avenue De Gaspé.

La commande de cette murale provient d’un regroupement de citoyens du quartier voulant rappeler que Jackie Robinson demeurait dans le quartier Villeray lorsqu’il jouait pour les Royaux de Montréal, le club-école des Dodgers de Brooklyn.

Photos ci-dessus : La murale de Jackie Robinson dans le quartier Villeray à Montréal a été inaugurée le 26 septembre 2016. Elle est située dans une ruelle, visible de la rue Jarry, entre les rues De Gaspé et Casgrain.

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Nov/17
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Art public – « Jackie Robinson » (Fluke)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 61e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Jackie Robinson, Fluke, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 3 novembre 2017 – Nous arrivons à la toute fin de notre longue balade dans les rues de Montréal à la découverte d’œuvres d’art. Nous voici sur la rue Napoléon à l’angle du boulevard Saint-Laurent… où il y a une très belle murale rendant hommage au joueur de baseball Jackie Robinson.

En 1947, Robinson brisa la politique raciale des Ligues majeures de baseball, devenant le premier noir à évoluer dans les « Grandes ligues » sous les couleurs des Dodgers de Brooklyn. Précédemment, en 1946, Robinson avait réussi le même exploit dans les ligues mineures du baseball professionnel en endossant l’uniforme des Royaux de Montréal.

La murale, une œuvre de l’artiste montréalais Fluke, a été commanditée par « Cadillac Canada », pour célébrer les 150 ans de la Confédération canadienne en commémorant un des moments importants de l’histoire… l’arrivée de Jackie Robinson dans le baseball professionnel. Elle a été réalisée dans le cadre du « Festival international d’art public MURAL de 2017 ».

Fluke, un graffiteur et muraliste, a fondé en 2009 le groupe « A'Shop », une compagnie de production d’artistes autogérés spécialisée en peinture murale, en street art et en esthétique urbaine.

Mes recherches en vue de rédiger ce texte m’ont appris qu’il y a une autre murale de Jackie Robinson à Montréal. Elle est située dans une ruelle près de la rue Jarry Est, entre les rues De Gaspé et Casgrain. Je m’y rendrai prochainement.

Photo ci-dessus : La murale rendant hommage à Jackie Robinson situé sur la rue Napoléon à l’angle du boulevard Saint-Laurent a été inaugurée le 17 juin 2017… et pour l’occasion l’artiste ayant réalisé l’œuvre, Fluke, a distribué des casquettes des Royals de Montréal, l’équipe avec laquelle s’alignait Jackie Robinson en 1946.

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Nov/17
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Art public – « La soif d’or nous laissera sans eau » (INTI)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 60e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

INTI, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 1er novembre 2017 – Nous sommes toujours dans le stationnement situé sur le côté ouest du boulevard Saint-Laurent, près de la rue Prince Arthur!

Après y avoir admiré la murale présentant en format géant le visage du comédien québécois Roy Dupuis et celle de la fin du monde… en roses, toutes deux sises sur les murs des habitations côté nord du stationnement, nous nous retournons et voyons une autre murale, celle-ci affichant assurément un style sud-américain. Elle est signée « INTI » et porte une inscription dans le coin supérieur gauche que nous ne réussissons pas à déchiffrer.

Nos recherches en vue de l’identification de la murale nous ont permis d’apprendre qu’elle était l’œuvre d’un artiste international de nationalité chilienne travaillant sous le pseudonyme de « INTI »… qui est en fait le nom de l’ancienne divinité inca du soleil. 

Cette murale a été produite dans le cadre du « Festival international d’art public MURAL de 2014 ». Elle porte un message social et environnemental de par son inscription… déchiffrée qui est « La Sed Del Oro Nos Dejara Sin Agua », ce qui pourrait se traduire par « La soif d’or nous laissera sans eau ».

Selon l’encyclopédie libre Wikipédia, on retrouve des œuvres de cet artiste travaillant au rouleau et la bombe aérosol au Chili (Valparaiso et Santiago), en Colombie (Cali), aux États-Unis (Honolulu), en France (Paris et Mulhouse), en Belgique (Hasselt), au Liban (Beyrouth), en Norvège (Oslo), en Suède (Boras) et évidemment à Montréal.

Photo ci-dessus : Une murale qui veut nous dire que la société moderne devra un jour choisir entre l’or et l’eau… Une œuvre d’un artiste chilien œuvrant sous le pseudonyme d’INTI. Elle peut être admirée dans un stationnement situé près de la rue Prince-Arthur, entre les rues Clarke et Saint-Laurent.

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Oct/17
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Périple en l’Australie et en Nouvelle-Zélande

Texte de Céline et Jacques Lanciault

Mont Uluru, Uluru-Kata-Tjuta National Park, Australie

Laval, Québec, le 31 octobre 2017 - Pour ceux et celles qui souhaitent lire les textes détaillés que nous avons rédigés suite à notre séjour en Australie, un périple réalisé au début de l'hiver 2017, voici les liens qui vous conduiront à chacun des textes racontant nos sublimes découvertes dans ce superbe pays!

Nos textes sont agrémentés de nombreuses photos, rendant ainsi nos découvertes des beautés australiennes inoubliables!

Vous pouvez lire les textes de nos reportages sur la Nouvelle-Zélande (la première partie de ce périple) en cliquant sur les liens ci-dessous ou en accédant directement à la rubrique « Voyages » : Notre voyage « Nouvelle-Zélande » :

Photo ci-dessus : Le superbe mont Uluru (Ayers Rock), au coeur de l'Outback dans le "Uluru-Kata-Tjuta National Park" en Australie.

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Oct/17
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Art public – « La fin du monde… en roses » (Jonathan Bergeron)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 59e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Jonathan Bergeron, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 30 octobre 2017 – Tout à côté de la murale représentant en format géant le visage du comédien québécois Roy Dupuis, sur un mur d’habitations situé dans un stationnement sur le côté ouest du boulevard Saint-Laurent, près de la rue Prince Arthur, on retrouve une murale assez glauque!

Elle est l’œuvre de l’artiste de Street Art Jonathan Bergeron. Ce dernier a voulu représenter la fin du monde… pour nous faire comprendre que la planète s’arrangerait sans nous. C’est un paysage en destruction avec de grosses roses qui ont l’air de tomber du ciel et de se poser sur le bord d’une falaise.

La murale de Bergeron, qui œuvre également sous le nom de Johnny Crap, a été réalisée dans le cadre du « Festival international d’art public MURAL de 2016 ».

Bergeron est un artiste québécois qui vit à Montréal avec son épouse et leurs deux enfants. Il travaille pour des clients internationaux et des collectionneurs d’art.

Photo ci-dessus : « La fin du monde… en roses », n’est pas le titre de l’œuvre, mais bien celui qu’elle m’inspire. Elle est située sur le mur d’une maison d’habitations au cœur du terrain de jeu du Festival international d’art public MURAL de Montréal, dans un stationnement situé près de la rue Prince-Arthur, entre les rues Clarke et Saint-Laurent.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

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