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Déc/17
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Art public – « Regard » (Mono Gonzalez)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 74e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Regard, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 2 décembre 2017 – Au début du mois de novembre, je me suis rendu sur la rue Jarry pour photographier la murale de Vincent Dumoulin représentant Jackie Robinson. Tout près, sur le mur d’une ancienne caisse populaire, une autre belle murale égayait les lieux. Malheureusement, celle-ci n’était pas signée… j’ai donc mis de côté mes photos… en attendant!

Et voilà que par pur hasard la semaine dernière, j’apprends grâce à Facebook que ladite murale venait tout juste d’être inaugurée, le 23 novembre.

J’y apprenais également que l’œuvre est de l’artiste chilien Mono Gonzalez, de son vrai nom Alejandro González. Pour lui, il s’agit d’une troisième murale dans le quartier Villeray. Comme mentionné plus haut, elle prend place sur les murs d’une ancienne caisse populaire sise au 205 rue Jarry Est, une bâtisse qui abrite désormais un centre d’emplois et de réinsertion pour les jeunes.

Même si elle n’a toujours pas de titre, je sais maintenant qu’elle est une des œuvres réalisées pour l’organisme « MU », dont la mission est d’embellir Montréal en réalisant des murales ancrées dans les communautés locales. La murale a été financée dans le cadre de l’entente sur le développement culturel de Montréal par la Ville de Montréal et le ministère de la Culture et des Communications avec l’aide de l’arrondissement Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension.

Photo ci-dessus : « Regard » n’est pas le titre de cette murale, mais plutôt celui qu’il m’inspire. Elle est de l’artiste Mono Gonzalez et est située sur un des murs de côté de l’édifice sis au 205 rue Jarry Est à Montréal.

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Nov/17
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Art public – « Le malheureux magnifique » (Pierre Yves Angers)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 73e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Le malheureux magnifique, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 29 novembre 2017 – Lors d’une autre petite promenade dans le centre-ville de Montréal, pour la 100e fois peut-être, nous avons croisé la sculpture qui prend place devant le 385 rue Sherbrooke Est. Sauf que cette fois-ci, au lieu de filer notre chemin sans même regarder, nous nous sommes arrêtés quelques instants pour l’admirer. C’est vraiment une belle œuvre d’art.

Cette sculpture est intitulée « Le malheureux magnifique ». Elle est de l’artiste montréalais Pierre Yves Angers et occupe le devant de l’édifice Alcide-Chaussée… depuis 1981!

Inspirée du « Penseur » d’Auguste Rodin, on y voit un personnage tout blanc recroquevillé, la tête de ce dernier reposant sur ses genoux alors que ses mains couvrent sa nuque.

Sur la plaque accompagnant l’œuvre, nous pouvons lire la phrase suivante de l’artiste : « À ceux qui regardent à l’intérieur d’eux-mêmes et franchissent ainsi les frontières du visible. »

L’œuvre a été réalisée en 1972 et 1973 et installée au terme de sa réalisation devant la façade du pavillon d’art du cégep du Vieux Montréal. Depuis, elle a été restaurée à deux reprises, en 1983, puis en 2003.

Photo ci-dessus : « Le malheureux magnifique » est une sculpture de Pierre Yves Angers. L’imposant monument a été fabriqué à partir d’une structure d’acier qui a par la suite été recouverte d’une couche de ciment blanc.

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27
Nov/17
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Art public – « Cent motifs : un paysage » (Annie Hamel)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 72e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Cent motifs : un paysage 2010, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 27 novembre 2017 – Cet été, lors d’un match de baseball de mon petit-fils Félix, une rencontre disputée au parc Jarry à Montréal, j’ai aperçu au loin, de l’autre côté d’une voie ferrée, à l’ouest du terrain de balle, une murale haute en couleur. Je me suis alors promis d’y revenir pour l’admirer de plus près. C’est ce que j’ai fait un beau samedi matin du début de novembre.

La murale est vraiment superbe. Elle a été réalisée par Annie Hamel, une artiste muraliste québécoise. Son œuvre s’intitule « Cent motifs : un paysage » et elle a été inaugurée en 2010 dans le cadre du « Centernaire de Parc-Extension ».

Le site Internet « Art public Montréal » décrit l’œuvre comme suit : « Broderies, drapés, étoffes et motifs d’ailleurs et d’ici ornent la murale d’Annie Hamel et forment un paysage inventé pour souligner la richesse culturelle de Parc-Extension, ainsi que la dimension terre d’accueil du quartier dans le cadre des célébrations de son centenaire. Les étoffes provenant entre autres du Québec, de l’Angleterre, de la Grèce, de la Hongrie, du Guatemala, du Pakistan, du Sri Lanka, d’Haïti et d’Inde expriment la mixité de la population présente et passée de Parc-Extension. Comme une courtepointe, l’ensemble des motifs forme un paysage unique à l’image du quartier et de tous les résidents qui y cohabitent. »

Annie Hamel a réalisé plusieurs autres murales à Montréal, mais aussi à en France, en Belgique et au Mexique.

Photo ci-dessus : La murale « Cent motifs - un paysage 2010 » prend place sur un mur face au parc Saint-Roch… à un jet de pierre de l’entrée ouest du parc Jarry. Elle est une œuvre de l’artiste québécois Annie Hamel.

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26
Nov/17
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Opinion « J’en ai assez ! »

Revue de presse

Texte de Daniel Lafrenière publiée dans "La Presse +" le 12 novembre 2017

NDLR : Je reproduis ici un texte d'opinion dont je suis entièrement d'accord avec le propos... et dont malheureusement, je ne vois aucune solution poindre à l'horizon. C'est vraiment décourageant!

Hôtel du Parlement, Québec, Québec

Le monde se complaît dans la médiocrité, et j’en ai assez.

J’en ai assez d’ignorer ce qui se passe lorsque mon vol d’avion est retardé ou annulé… et d’être laissé à moi-même.

J’en ai assez d’avoir l’impression d’être incompétent lorsque vient le moment de choisir un ordinateur ou un forfait cellulaire.

J’en ai assez de ne rien comprendre lorsque je remplis un formulaire de réclamation d’assurance ou du gouvernement.

J’en ai assez des contrats impossibles à déchiffrer sans un bac en droit.

J’en ai assez des frais cachés, des hausses ou des changements inattendus.

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25
Nov/17
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Exposition au Musée des beaux-arts de Montréal : « Il était une fois… le western »!

Texte, photos et recherches de Jacques Lanciault

Il était une fois… le western (2017), Musée des beaux-arts de Montréal.

Laval, Québec, le 25 novembre 2017 - Pour une deuxième fois de suite, nous revenons du Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) déçus. Cet été, l’exposition « Revolution » n’avait pas éveillé en nous la fascination, l’éblouissement et l’émotion que nous nous attendions.

Cette fois-ci, pour l’exposition « Il était une fois… le western », malheureusement il en fut de même.

Il faut dire que nous n’avons jamais été de grands amateurs de ce genre cinématographique, peut-être à l’exception des quelques chefs-d’œuvre de Sergio Leone… En fait, les quelques séquences que nous avons pu voir du film « Il était une fois dans l’Ouest » sur un des grands écrans aménagés au MBAM ont probablement été le point d’orgue de notre visite.

D’entrée de jeu, l’exposition présente des toiles grand format aux paysages assez impressionnants. Toutefois, nous ne pouvons les présenter, les photos de ces toiles étant interdites.

Par la suite, par contre, nous avons eu l’occasion d’admirer quelques œuvres que nous ne nous attendions pas à trouver dans une exposition sur le « western », dont des toiles de Jakson Pollock, Roy Lichtenstein et Andy Warhol.

Voici quelques-unes des photos que nous avons rapportées de cette exposition!

Photo ci-dessus : « L’Indien américain », en l’occurence Russell Means, est une œuvre datant de 1976 de l’artiste américain Andy Warhol. La superbe toile est un prêt du « Denver Art Museum »

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23
Nov/17
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Art public – « Figure vêtue d’une cape » (Lynn Chadwick) et « L’Homme » (Alexander Calder)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 71e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Figure vêtue d’une cape, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 21 novembre 2017 – Le Jardin de sculptures CGI et Max et Iris Stern du Musée des beaux-arts de Montréal existe depuis 2002. Toutefois, il s’est passablement agrandi en à compter de mai 2012, quand l’avenue du Musée est devenue piétonne six mois par année, de mai à octobre. Puis, cette année (2017), il a pris du gallon sur la rue Bishop, dans la nouvelle Zone Éducation-Culture.

Lors de notre passage à la fin du mois d’octobre, deux œuvres ont attiré notre attention. Toutes deux sises devant le pavillon Michal et Renata Hornstein.

La première s’intitule « Figure vêtue d’une cape », un bronze réalisé en 1978 à Londres par l’artiste anglais Lynn Chadwick (1914-2003). La sculpture provient d’une collection particulière et a été prêtée au MBAM. Il y a quelques années elle était exposée dans les jardins de la cathédrale de Salisbury en Angleterre.

La seconde est une maquette, celle du stabile « L’homme » d’Alexander Calder, l’œuvre la plus célèbre de l’Exposition universelle de Montréal 1967... qui peut d’ailleurs toujours être admirée au parc Jean-Drapeau. La maquette est titrée « L’Homme (3 disques) » et a été réalisée par l’artiste américain également en 1967.

Photo ci-dessus : « Figure vêtue d’une cape », une sculpture en bronze réalisée en 1978 par l’artiste anglais Lynn Chadwick.

Photo ci-dessous : Maquette titrée « L’Homme (3 disques) », réalisée par l’artiste américain Alexandre Calder en 1967.

L’Homme (3 disques), Montréal, Québec

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21
Nov/17
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Art public – « La mère et l’enfant » (Lea Vivot)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 70e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

La mère et l’enfant, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 21 novembre 2017 – Il y a quelques semaines, nous avons présenté la sculpture « Le banc du secret » de Lea Vivot, une œuvre située sur l’avenue McGill College tout près de la rue Sherbrooke. Eh bien, même si nous savions qu’il y avait aussi « Le banc des amoureux » au Jardin botanique de Montréal, nous ignorions toutefois qu’il y avait d’autres sculptures de cette artiste dans la métropole.

C’est donc tout à fait par hasard qu’en route pour le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM), nous avons croisé une autre œuvre de l’artiste, dont la marque de commerce est l’agencement de sculptures de bronze sur des bancs! Celle qui prend place devant le 1434 rue Sherbrooke Ouest, à deux pas de l’entrée du MBAM, est particulièrement touchante et est titrée « La mère et l’enfant »!

Nos recherches en vue de la rédaction de ce texte nous ont permis d’apprendre qu’il existe au moins deux autres bancs identiques ou presque de par le vaste monde. Un premier se trouve sur la rue U Zvonarky à Prague, devant l’hôtel « Le Palais » et un second, intitulé Mother and Child Joy of Life, prend place devant le St Joseph's Health Center à Toronto. Il faut préciser ici que madame Vivot est une artiste ontarienne d’origine tchécoslovaque. D’ailleurs, il y a également un « Banc des secrets » dans la capitale de la République tchèque.

Photo ci-dessus : « La mère et l’enfant » est une œuvre très touchante réalisée par l’artiste ontarienne Lea Vivot en 1983.

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Nov/17
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Art public – « DI Octo II » (Anthony Howe)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 69e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

DI Octo II, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 19 novembre 2017 – Toujours sur notre route en direction du Musée des beaux-arts de Montréal, nous nous sommes arrêtés fascinés par une curieuse sculpture sise devant le Pavillon Henry-F.-Hall de l’Université Concordia, sur le boulevard De Maisonneuve à l’angle de la rue Mackay.

À première vue, la sculpture en acier inoxydable haute de 7,62 mètres ressemble à un très beau ventilateur. En effet, sa partie supérieure, un petit cercle auquel sont greffées des branches formant un grand cercle, est en mouvement… s’ouvrant tranquillement jusqu’à prendre pratiquement la forme d’une branche de fougère, avant de se refermer avec grâce dans un mouvement qui ne semble pas vouloir s’arrêter!

L’œuvre, dite cinétique, c’est-à-dire relative au mouvement qu’elle produit, est de l’artiste américain Anthony Howe… un spécialiste des sculptures éoliennes, entre autres auteur du module de la flamme olympique des Jeux de Rio au Brésil.

C’est le chancelier de l’Université Concordia, Jonathan Wener, et son épouse Susan, qui ont fait don de l’œuvre à l’Université et à la Ville de Montréal dans le cadre de son 375e anniversaire et du 150e anniversaire du Canada. Elle a été inaugurée le 28 septembre 2017.

Photo ci-dessus : L’œuvre « DI Octo II » d’Anthony Howe s’anime dans un mouvement d’ouverture et de fermeture dès que le vent se lève et atteint les 2 km/heure!

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Nov/17
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Art public – « La vie à Montréal au XIXe siècle » (Nicolas Sollogoub)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 68e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

La vie à Montréal au XIXe siècle, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 17 novembre 2017 – En route pour le Musée des beaux-arts de Montréal, nous nous sommes arrêtés à la station de métro McGill pour admirer et photographier les cinq magnifiques murales qui décorent le quai direction Honoré-Beaugrand.

Ces murales sont l’œuvre de Nicolas Sollogoub (1925-2014), un artiste né à Soissons en France de parents russes qui s’est installé au Québec dans les années cinquante.

Les murales, qui sont en fait des verrières, présentent des tranches de l’histoire de la ville : « La vie à Montréal au XIXe siècle ». Au total, les cinq verrières sont composées de 1 200 plaques de verre superposées! Pas étonnant que l’artiste ait mis huit ans d’efforts à réaliser son œuvre.

Il me semblait que ces murales avaient toujours été présentes à la station de métro McGill. Eh bien non, elles n’ont été installées qu’en 1974… soit huit ans après l’ouverture du métro. Qui plus est, elles ont été retirées retirées du mur de la station pour être restaurées de décembre 2012 à juin 2016.

Photo ci-dessus : Les cinq verrières que l’on peut admirer sur le quai de la station de métro McGill à Montréal sont composées de 1 200 plaques de verre peint. L’artiste ayant réalisé l’œuvre a voulu rappeler quelques aspects de la vie montréalaise des années 1800 à 1870. La murale présentée ci-dessus présente notamment le premier maire de la ville, Jacques Viger, ainsi que son successeur, Peter McGill.

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16
Nov/17
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Embellie à Montréal : 30 de la multitude de murales qui ont changé l’image de la ville!

Textes, recherches et photos de Jacques Lanciault

Murales - Montréal

Laval, Québec, le 16 novembre 2017 - Montréal est laide! Des rues ressemblant plus à des champs de mines qu’à des voies de circulation d’une ville moderne, des cônes orange qui la décorent, souvent même longtemps après la fin des travaux, et des blocs de ciment temporaires qui malheureusement deviennent permanents! Et je ne parle même pas du délabrement de certains édifices et maisons, des atrocités de la signalisation routière, ni de la propreté en général.

Mais, parce qu’il y a toujours un mais, une chance, une grande chance que « l’art de rue » y règne en maître… changeant merveilleusement les endroits tristes et sans vie en de véritables galeries d’art.

Aux artistes qui réussissent ce tour de force, je dis mille mercis de nous empêcher de sombrer dans la tristesse!

Je ne sais pas combien il y a de murales à Montréal. Mais, j’aime bien partir à leurs recherches. Voici la trentaine d’entre elles que j’ai admirée au cours des derniers mois. Pour chacune d’elle, j’ai effectué quelques recherches et j’ai publié textes et photos. J’ai ajouté les liens à mes écrits sous les photos.

Bon visionnement et bonne lecture.

Photo ci-dessus : Quelques-unes de la trentaine de murales présentées dans ce texte.< "i>

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