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Oct/17
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Art public – « Roy Dupuis » (Hsix)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 58e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Roy Dupuis, Hsix, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 28 octobre 2017 – Après avoir admiré les murales de Ricardo Cavolo et de « D*Face » sises sur les murs du stationnement situé sur le boulevard Saint-Laurent près de la rue Prince-Arthur, nous traversons l’ancienne Main vers l’Ouest pour entrer dans un autre stationnement où prennent place quelques murales du « Festival international d’art public MURAL de Montréal ».

Tout au fond du stationnement, en fait tout près de la rue Clark, sur le mur d’une maison d’habitations prend place une murale affichant en format géant le visage du comédien québécois Roy Dupuis affublé d’un chapeau à la « Napoléon » avec le poing dans les airs. L’œuvre est de l’artiste montréalais Herezy, alias H6. Elle était probablement de la programmation du Festival international d’art public MURAL de 2016… mais ne semble plus y être, probablement en raison de sa nature controversée.
 
Cette murale est très peu commentée sur Internet. Elle viendrait illustrer des commentaires controversés émis par Roy Dupuis au sujet du traitement des autochtones par les colons blancs présenté dans le film The Revenant réalisé par le Mexicain Alejandro Iñárritu en 2015.

On peut lire dans Le Journal de Montréal du 23 janvier 2016 : « Selon le comédien, le film, The Revenant, déforme particulièrement les faits en ce qui concerne les rapports entre les Français et les Premières Nations : “Les Français sont arrivés avec la mission de faire des alliances avec les Premières Nations. Je ne dis pas qu’il n’y avait pas des brutes parmi les Français, mais la plupart d’entre eux ont épousé des Amérindiennes. Ils ont fondé des familles, ce qui a créé un peuple métissé nommé les Canadiens français, et voilà qu’Iñárritu les met en scène en train de trucider les autochtones. [...] C’est complètement stupide!”

Quant à des commentaires de Dupuis concernant la murale, je n’en ai pas retrouvé.

L’artiste Hsix est également peu présent sur Internet, et ce, dit-on “parce qu’il a travaillé sous quelques pseudonymes avant de s’arrêter sur celui de Hsix”. On peut lire toutefois que : “Hsix” arrive du monde du graffiti, mais il est maintenant reconnu pour ses portraits de héros et de vilains locaux. Ses héros sont généralement des personnalités socio-politiques historiques ayant eu un impact positif sur notre société, tandis que ses vilains sont souvent des célébrités, figures d’autorité et politiciens contemporains qui ont fait les manchettes pour leurs actions ou paroles répréhensibles. »

Photo ci-dessus : Une œuvre controversée, probablement, mais avouons qu’artistiquement elle est particulièrement bien réussie. Sans titre, comme beaucoup de murales, elle peut être admirée sur le mur d’un stationnement situé près de la rue Prince-Arthur, entre la rue Clark et le boulevard Saint-Laurent.

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Oct/17
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Art public – « Larme à l’œil » (D*Face)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 57e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Larme à l’œil, D Face, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 26 octobre 2017 – Avec la murale que nous avons titrée « Mes cinq yeux sur le soleil », sise sur un des murs du stationnement situé sur le boulevard Saint-Laurent près de la rue Prince-Arthur, nous nous retrouvions, sans le savoir, au cœur de la scène du  une célébration de l’art de rue qui en était cet été (du 8 au 18 juin 2017) à sa cinquième édition. Pour l’occasion, pas moins de 20 nouvelles œuvres murales ont été créées.

Après avoir parlé de celle de l’artiste espagnol Ricardo Cavolo, nous présentons aujourd’hui une murale qui lui tient compagnie à l’Est sur le mur d’un édifice dont la façade est sur la rue Saint-Dominique. Encore une fois, elle n’est pas titrée… pour l’identifier, nous la baptisons « Larme à l’œil »!

Elle est de l’artiste britannique « D*Face », de son véritable nom Dean Stockton, un sculpteur et illustrateur né en 1978 à Londres en Angleterre où il a d’ailleurs ouvert sa galerie d’art urbain Stolenspace Gallery en 2005.

Ses fresques représentent souvent des figures féminines ou masculines très expressives… qui semblent extraites d’une page d’un comics américain. On peut admirer de ses murales, outre à Montréal, à Barcelone, New York, Tokyo, Miami ou encore Los Angeles!

Photo ci-dessus : Vraiment très belle cette murale présentée comme une partie de planche de bande dessinée déchirée! L’œuvre, qui est sans titre,  a été la contribution de  l’artiste britannique « D Face » à l'édition de 2016 du « Festival international d’art public MURAL » présentée à Montréal.

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24
Oct/17
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Art public – « Mes cinq yeux sur le soleil » (Ricardo Cavalo)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 56e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Mes cinq yeux sur le soleil, de Ricardo Cavolo, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 24 octobre 2017 – Nous poursuivons notre balade amorcée sur l’avenue McGill College. De cet endroit, nous avons filé sur la rue Sherbrooke où nous avons admiré le monument hommage à la reine Victoria réalisé par une de ses filles, la princesse Louise, la superbe sculpture surmontée d’un buste du compositeur et pianiste québécois André Mathieu, une réalisation de Céline et Jean-Guy White et le monument « Vive le Québec libre », qui prend place devant l’édifice de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal.

Puis, nous avons bifurqué sur le boulevard Saint-Laurent vers le nord, laquelle nous avons remontée jusqu’à un stationnement situé près de la rue Prince Arthur. Un stationnement, dont pratiquement tous les murs sont peints de superbes murales.

La première qui nous a sauté aux yeux est une œuvre de l’artiste espagnol Ricardo Cavolo. Une œuvre sans titre où l’on voit une personne dotée d’une multitude d’yeux tenir un soleil entre ses deux mains.

Nos recherches sur Internet nous ont appris que cette murale était de la programmation de la cinquième édition du « Festival International d’Art Public MURAL », celui de 2017.

« Ricardo Cavalo, peut-on lire sur Internet, est diplômé de l’Université de Salamanque en Espagne. Il est un artiste avec un “imaginarium” unique et une iconographie colorée d’âmes tatouées, de légendes et de nature fantastique unique à l’Espagne. »

Photo ci-dessus : Une murale aux belles couleurs qui orne le mur d’un stationnement situé sur le boulevard Saint-Laurent près de la rue Prince-Arthur.

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Oct/17
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Art public – « Charles de Gaulle » (Alain Aslan)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 55e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Charles de Gaulle, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 22 octobre 2017 – Nous poursuivons notre balade sur la rue Sherbrooke. Partis de l’avenue McGill College où nous avons admiré les sculptures « Le banc du secret » de Lea Vivot, « Danseuse » de Zoya Niedermann et « La leçon » de Cédric Loth, nous avons bifurqué vers l’Est sur la rue Sherbrooke où nous avons croisé le monument hommage à la reine Victoria réalisé par une de ses filles, la princesse Louise, et la superbe sculpture surmontée d’un buste du compositeur et pianiste québécois André Mathieu, une réalisation de Céline et Jean-Guy White.

Nous traversons la rue Sherbrooke pour nous approcher d’un buste de Charles de Gaulle qui prend place sur le terrain de la maison Ludger-Duvernay, elle qui abrite les locaux de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB).

L’œuvre a été réalisée en 1971 par le peintre, dessinateur et sculpteur Alain Aslan (1930-2014). Le buste de Charles de Gaulle occupe le sommet du monument intitulé « Vive le Québec libre! », la fameuse exclamation lancée par le général du haut du balcon de l’Hôtel de Ville de Montréal le 24 juillet 1967!

Le monument « Vive le Québec libre », offert à la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal par l’Éditeur Michel Brûlé, a été dévoilé le 6 octobre 2009.

Photo ci-dessus : Le buste en bronze du président de la République française Charles de Gaulle est une œuvre réalisée en 1971 par le célèbre peintre, dessinateur et sculpteur français Alain Aslan.

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20
Oct/17
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Art public – « André Mathieu – Le Concerto de Québec  » (Céline White et Jean-Guy White)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 54e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

André Mathieu - Le Concerto de Québec, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 20 octobre 2017 – Après avoir admiré les sculptures « Le banc du secret » de Lea Vivot, « Danseuse » de Zoya Niedermann, « La leçon » de Cédric Loth et le monument hommage à la reine Victoria réalisé par une de ses filles, la princesse Louise… nous poursuivons notre promenade sur la rue Sherbrooke en direction de l’Est.

Nous arrivons devant le 455 de la rue Sherbrooke Ouest, « L’appartement Hôtel »… Wow! Il y a une superbe sculpture surmontée d’un buste du compositeur et pianiste québécois André Mathieu.

L’œuvre présentant le buste du musicien surplombant un groupe d’instruments est une réalisation des sculpteurs québécois Céline et Jean-Guy White… qui sont sœur et frère. Un monument sculpté en 2014 et inauguré à la fin du mois de mai 2015.

Le buste de celui qui fut surnommé « le Mozart québécois » le présente alors qu’il est âgé dans la jeune vingtaine. Celui qui est décédé à 39 ans affiche un air nostalgique, mélancolique.

Photo ci-dessus : Le monument en bronze intitulé « André Mathieu - Le Concerto de Québec » est haut de 2,3 m et pèse environ 900 kg! Les artistes Céline et Jean-Guy White ont mis un an et demi à réaliser l’œuvre. La sculpture a été réalisée en bronze par la Fonderie d’Inverness.

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18
Oct/17
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Art public – « La reine Victoria » (Princesse Louise)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 53e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

La reine Victoria, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 18 octobre 2017 – Nous continuons notre promenade jouant les touristes dans les rues de Montréal…

En à peine quelques pas sur l’avenue McGill College, nous avons déjà admiré « Le banc du secret » de Lea Vivot, « Danseuse » de Zoya Niedermann et « La leçon » de Cédric Loth.

Nous marchons maintenant sur le côté nord de la rue Sherbrooke en direction est. Dans l’escalier menant au pavillon de musique Strathcona de l’Université McGill, sis au 555 rue Sherbrooke Ouest, prend place un magnifique monument surmonté d’une statue de la reine Victoria, jeune.

La statue est une reproduction d’une œuvre en marbre blanc qui se trouve devant le palais de Kensington, au Royaume-Uni. L’originale a été conçue en 1887… par la propre fille de la reine, la princesse Louise, née en 1848.

La princesse Louise était la plus talentueuse des filles de la reine Victoria. En plus d’être une actrice, une pianiste et une danseuse, elle était une sculpteure prolifique. Quand elle a sculpté la statue de la reine, la présentant vêtue de la robe de son couronnement, la presse a affirmé que son mentor, Sir Edgar Boehm, était le véritable auteur de l’œuvre. La rumeur a été vivement démentie par les amis (es) de Louise. Destinée à être exposée en 1887, il a fallu attendre en 1893 pour qu’elle soit dévoilée.

Photo ci-dessus : Le bronze érigé à la gloire de la reine Victoria, une œuvre de la princesse Louise, le sixième enfant de la reine, a été dévoilée devant le pavillon de musique Strathcona de l’Université Mc Gill en 1900.

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Oct/17
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Art public – « La leçon » (Cédric Loth)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 52e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

La leçon, Cédric Loth, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 16 octobre 2017 – Jouer les touristes dans les rues de sa ville… est une expérience des plus intéressantes. Comme si nous étions à Florence, Barcelone, Londres ou encore Paris, nous avons décidé d’y aller d’une promenade au centre-ville de Montréal à la recherche d’œuvres d’art… et nous en avons trouvé partout.

Après avoir admiré « Le banc du secret » de Lea Vivot, puis « Danseuse » de Zoya Niedermann, deux œuvres qui illuminent la rue McGill College… en face justement de « La foule illuminée », nous y allons de quelques pas vers la rue Sherbrooke…

Où nous croisons une autre magnifique œuvre tout juste à l’angle des deux rues. Cette fois-ci, il s’agit d’un jeune homme assis sur le dossier d’un banc public qui semble bien affairé devant son ordinateur Apple… le tout taillé dans le bronze!

L’œuvre, datant de 2012, est sortie de l’atelier de bronze de l’artiste-sculpteur Cédric Loth. Il l’a titrée « La leçon ».

Photo ci-dessus : Un étudiant est concentré sur son ordinateur Apple… il est si attentif à son écran qu’un écureuil est à lui voler une partie de son repas. L’œuvre s’intitule « La leçon » et elle est signée de l’artiste multidisciplinaire canadien Cédric Loth.

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Oct/17
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Art public – « Danseuse » (Zoya Niedermann)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 51e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Danseuse, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 14 octobre 2017 – Jouer les touristes dans les rues de sa ville… est une expérience des plus intéressantes. Comme si nous étions à Florence, Barcelone, Londres ou encore Paris, nous avons décidé d’y aller d’une promenade au centre-ville de Montréal à la recherche d’œuvres d’art… et nous en avons trouvé partout.

À un jet de pierre de l’œuvre de Lea Vivot, « Le banc du secret », que nous avons admirée devant le 2001 avenue McGill College, nous sommes tombés par hasard sur une magnifique fontaine de pierre polie… mettant en valeur une belle sculpture.

L’œuvre est de l’artiste Zoya Niedermann qui l’a réalisée en 1985. Il s’agit d’un bronze représentant une danseuse stylisée.

Zoya Niederman, une artiste montréalaise née en 1954, est reconnue pour ses formes figuratives, en particulier ses personnages stylisés. En 1993, à la Biennale Fujisankei de Tokyo, elle a remporté le premier prix pour son œuvre intitulé Arch Figures.

Photo ci-dessus : L’œuvre de Zoya Niedermann, « Danseuse » prend place devant une magnifique fontaine de pierre polie lui servant d’écrin! On peut l’admirer à droite de la façade du 2000 avenue McGill College.

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12
Oct/17
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Art public – « Le banc du secret » (Lea Vivot)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 50e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Le banc du secret, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 12 octobre 2017 – Jouer les touristes dans les rues de sa ville… est une expérience des plus intéressantes. Comme si nous étions à Florence, Barcelone, Londres ou encore Paris, nous avons décidé d’y aller d’une promenade au centre-ville de Montréal à la recherche d’œuvres d’art… et nous en avons trouvé partout!

Tout d’abord sur la rue McGill College, face au 2001, il y a un banc en bronze sur lequel un couple de jeunes prend place. On y voit un garçon chuchotant un secret à l’oreille d’une jeune fille. C’est « Le banc du secret », une œuvre de l’artiste canadienne d’origine tchèque Lea Vivot.

Le garçon tient une pomme dans une de ses mains. Sur des photos de 2011 que j’ai retrouvé sur Internet, la pomme affichait un beau rouge. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

On peut lire gravé dans le bronze du banc des inscriptions de mots provenant de citoyens du monde.

La même œuvre de Lea Vivot se retrouve à Ottawa devant l’édifice de « Bibliothèque et Archives Canada ». L’œuvre, à cet endroit, se nomme « Le banc du secret de la connaissance »… et à la différence de celle de la rue McGill College à Montréal, le banc est gravé de 100 messages manuscrits, portant sur la joie et l’importance de la lecture. Ces messages viennent à la fois d’écrivains et de gens ordinaires, d’un bout à l’autre du Canada.

Photo ci-dessus : « Le banc du secret » que nous avons pu admirer rue McGill College à Montréal est une sculpture de l’artiste canadienne Lea Vivot. Elle a été dévoilée en 1989.

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10
Oct/17
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Art public – « Temps d’arrêt » (Jean-Pierre Morin)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 49e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Temps d’arrêt, Montréal, QuébecMontréal, Québec, 10 octobre 2017 – Une petite promenade dans le parc Molson situé à l’angle des rues Iberville et Beaubien, nous permet de découvrir une sculpture haute de cinq mètres affichant un style résolument « moderne ». L’œuvre est du sculpteur québécois Jean-Pierre Morin, elle s’intitule « Temps d’arrêt » et a été inaugurée le 30 septembre 2006.

« Cette œuvre, peut-on lire sur le site Internet d’Art public - Montréal s’inspire de l’esprit du parc comme lieu de rassemblement, de détente et de jeu. Elle attire le regard et invite le passant à prendre une pause : un temps d’arrêt. »

« Érigée comme un monolithe, l’œuvre répond à la symétrie de ce parc. Sa verticalité réitère l’aspect majestueux et imperturbable des nombreux arbres matures qui habitent ce territoire. »

« Par ailleurs, la couleur orangée de la base soutenant la sculpture se démarque autant de la végétation estivale que de la neige en hiver! »

Photo ci-dessus : La sculpture « Temps d’arrêt » prend place dans le parc Molson à Montréal. L’œuvre est d’acier Corten et d’aluminium. Elle a été réalisée par l’artiste québécois Jean-Pierre Morin et inaugurée en 2006.

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