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Périple à l’autre bout du monde, la Nouvelle-Zélande

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 1er d’une longue série de reportages relatifs à un passionnant périple en Nouvelle-Zélande et en Australie que nous avons réalisé au cours de l’hiver 2017!

Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Montréal, Vancouver, Auckland, Nouvelle-Zélande, vendredi, samedi et dimanche 13, 14 et 15 janvier 2017 - Début janvier, nous partons, Céline et moi, à l’autre bout du monde… et ce, dit sans jeu de mots. En effet, nous filons vers la Nouvelle-Zélande où nous allons parcourir les magnifiques île du Nord et île du Sud durant neuf jours… avant de poursuivre notre aventure en Australie!

Juste pour bien illustrer à quel point c’est loin, sachez que nous sommes partis en soirée le vendredi 13 janvier et que nous sommes arrivés, aux aurores, le dimanche matin 15 janvier. Évidemment, il y a un important décalage horaire, mais outre cela il y a tout près de 20 heures de vol… plus évidemment l’arrivée à l’aéroport 3 heures avant le départ, le 2 heures d’attente à Vancouver entre les deux vols, et la bonne heure requise pour passer les douanes et récupérer les bagages à l’arrivée chez les Kiwis!

Puis, dès notre arrivée à Auckland, avant même de nous rendre à notre hôtel, une longue, mais très intéressante, journée de visites nous attendait! Vraiment de superbes découvertes dès notre arrivée.

Laissez-nous vous raconter!

Photo ci-dessus : Une de nos premières activités en arrivant à Auckland en Nouvelle-Zélande… grimper au 51e étage de la Sky Tower et admirer le panorama sur la plus grande ville du pays.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N.-B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Laval, Québec, vendredi, 13 janvier 2017
Le soleil brille sur Montréal et la région ce matin. Toutefois, il fait froid… pourtant il a plu au cours des trois derniers jours.

Nos derniers préparatifs sont réalisés rondement, Céline étant toujours aussi efficace avec ses listes d’éléments à cocher pour ne rien oublier…

Pour ce départ, étrangement nous ressentons plus de fébrilité qu’à l’habitude. Probablement, en raison de nos inquiétudes face à un aussi long trajet.

Les fameuses listes de Céline, Laval, Québec

Photo ci-dessus : En voici quelques-unes des fameuses listes de Céline!

Céline, Laval, Québec

Photo ci-dessus : Voilà, tout y est, ne reste plus qu’à fermer la valise.

Pour nous rendre à l’aéroport, nous avons réservé un taxi. Il arrive à l’heure prévue, 10 h 30.

Quarante minutes plus tard, nous descendons de la voiture taxi (62 $) devant l’affiche d’Air Canada à l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau.

Nous filons directement à la consigne, histoire de laisser nos manteaux d’hiver au vestiaire.

Nous passons rapidement à l’enregistrement électronique grâce à la gentillesse d’une employée d’Air Canada qui nous a vraiment beaucoup aidés à saisir nos données.

Aussi surprenant que cela paraisse, le dépôt des bagages et les contrôles de sécurité sont réalisés… en tout au plus 5 minutes! À 11 h 35, nous sommes déjà dans l’aire d’attente de la porte d’embarquement de notre vol.

Étant donné que nous n’avons pas de repas inclus sur le vol intérieur d’Air Canada (Montréal-Vancouver), nous entrons dans un petit café, « Chez Java ». Un croissant, un muffin et deux cafés vont nous soutenir pour quelques heures (10 $).

Puis, nous reprenons place dans les fauteuils de l’aire d’attente où commencent à arriver les passagers de notre vol.

Céline, aéroport Pierre-Elliot-Trudeau, Montréal, Québec

Photo ci-dessus : Céline est déjà à écrire nos faits et gestes. Au total pour le voyage, elle remplira un cahier et demi!

L’embarquement sur le vol AC183 s’effectue sans anicroche. Nous avons les sièges 31A et 31B. L’avion prend son envol à 14 h 20… avec un tout petit 10 minutes de retard.

Vers 16 heures, les agents de bord prennent les commandes pour le repas. Nous nous laissons tenter. Céline commande un sandwich roulé au poulet, j’opte pour les sushis… avec une bière (25 $). Je commande une Heineken, il n’en reste qu’une et je la laisse à une compagne de notre groupe qui a elle aussi commandé cette bière. On me sert une « Honey Lager » à la place, pas vraiment à mon goût.

Nous arrivons à Vancouver à 17 heures, heure locale, il y a de la neige au sol et le mercure indique 0 degré Celsius.

Nous devons nous rendre au terminal des vols internationaux… nous y allons d’une très très longue marche, jusqu’à la porte d’embarquement D 67.

Nous nous assoyons, puis quelques minutes plus tard nous entendons « Passager Lanciault Jacques et passager Lanciault Céline, vous êtes priés de vous rendre au comptoir d’embarquement de la compagnie Air New Zealand. Passenger… » Un tel appel n’est jamais bon signe.

Nous nous y rendons. La compagnie d’aviation veut tout simplement s’assurer que nous avons un billet d’avion pour quitter le pays! D’ailleurs, tous les passagers de notre groupe de Voyages Lambert seront appelés à tour de rôle.

Eh oui, nous avons un billet d’avion d’Air New Zealand qui nous mènera de Christchurch, Nouvelle-Zélande à Melbourne, Australie.

Vers 18 h 30, l’embarquement du vol NZ 0023 commence. Notre appareil, un Boeing 777 s’élève dans le ciel à 19 h 00, avec une vingtaine de minutes de retard. Nous avons les sièges 55A et 55B. Derrière nous, les quatre dernières rangées de l’appareil sont vides. Elles sont réservées pour le personnel de bord qui voudrait se reposer.

Première constatation, le choix de films offert par Air New Zealand et de beaucoup supérieur à celui d’Air Canada.

À peine deux heures après que nous nous soyons arrachés de la terre, on nous sert le souper. Couscous au poulet et légumes pour Céline, bœuf, riz et légumes pour moi. Nos plateaux comprennent également un bol de salade aux pommes de terre, un petit pain, un morceau de fromage cheddar et une portion de gâteau au fromage pour dessert. On nous sert le vin et la bière, au choix.

Le vol est long, même très long. Nous n’avons plus de position.

À 3 h 40, c’est l’heure du petit-déjeuner : yogourt, fruit et muffin pour Céline, omelette espagnole pour moi.

Auckland, Nouvelle-Zélande, dimanche, 15 janvier 2017
Finalement, nous arrivons à Auckland à 5 h 15… heure locale! Nous sommes maintenant le dimanche 15 janvier! Nous avons littéralement sauté le samedi 14 janvier.

Dans le petit guide que nous a remis Voyages Lambert, il est écrit : « La journée perdue à cause de la traversée de la “ligne de changement de date” sera recouvrée sur le retour! »

L’encyclopédie libre définit comme suit cette ligne : « La ligne de changement de date est une ligne imaginaire à la surface de la Terre qui longe approximativement le 180e méridien (est et ouest) dans l’océan Pacifique, et dont le rôle est d’indiquer l’endroit où il est nécessaire de changer de date quand on la traverse. »

Vingt minutes plus tard, nous sommes aux douanes où il y a de très longues files d’attente…

Puis nous récupérons nos valises et repassons sans problème les contrôles de sécurité… pour la sortie de l’aéroport!

Toutes ces formalités ont requis une heure. Il est 6 h 15 lorsque nous rejoignons notre accompagnateur de Voyages Lambert, Jean-Marc Lechat, et notre guide locale pour la Nouvelle-Zélande, Linda.

Linda, notre guide en Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Linda sera notre guide locale pour tout notre périple en Nouvelle-Zélande.

Nous sortons de l’aéroport sous un ciel lourd de nuages. Le mercure indique 19 degrés Celsius.

Nous montons dans un très bel autocar. S’il n’est pas neuf, il n’est vraiment pas très vieux. Il est tout blanc avec une affiche « Pacific Tourways ».

Autocar en Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Notre autocar en Nouvelle-Zélande.

Linda nous accueille dans l’autocar avec un joyeux Kia ora, ce qui signifie « Bonjour » en langue maorie.

Elle nous confirme que les météorologues prévoient une température nuageuse et humide… avec de la pluie pour aujourd’hui. Elle ajoute toutefois : « La température change très rapidement ici, on ne sait jamais ce qui nous attend ».

Elle se présente : elle est Belge flamande, mariée à un Kiwi, un Néo-Zélandais. Elle vit ici depuis 16 ans et elle est guide depuis 2003.

Nous connaissions le mot kiwi pour désigner le petit fruit et l’oiseau qui ne vole pas, mais nous ignorions qu’on appelait les habitants de la Nouvelle-Zélande des Kiwis!

Auckland
« La Nouvelle-Zélande, mentionne Linda, est un archipel, constitué de deux îles principales, l’île du Nord et l’île du Sud. Ici, nous sommes sur l’île du Nord. »

« L’aéroport est situé à 15 km de la ville d’Auckland », ajoute-t-elle. « Il s’agit d’une ville de 1,6 million d’habitants. C’est la plus grande ville de Nouvelle-Zélande, mais elle n’est pas la capitale du pays, c’est plutôt Wellington qui a cet honneur. Toutefois, Auckland a été la capitale, et ce, de 1841 à 1865. »

Il n’y a pas de circulation en ce dimanche matin… surtout qu’il est très tôt.

Notre guide attire notre attention sur la mer de Tasmanie, à notre gauche… « à l’ouest », précise-t-elle.

« Auckland est une ville de volcans. Nous y retrouvons pas moins de 55 anciens volcans. Ils prennent des formes différentes, des collines, des cônes, des lacs, des lagons, des îles, des dépressions, etc. »

« Auckland est d’ailleurs l’extrémité orientale de la “Ceinture de feu du Pacifique”, un alignement de volcans qui borde l’océan Pacifique de la pointe méridionale de l’Amérique du Sud jusqu’ici à Auckland en Nouvelle-Zélande. »

« Le pays est donc sujet aux tremblements de terre et aux éruptions volcaniques. »

« C’est une ville cosmopolite, où 59 % de la population est d’origine européenne. On retrouve 11 % de Maori et 22 % d’Asiatiques. »

« L’université d’Auckland est renommée et elle attire de nombreux étudiants asiatiques. »

« C’est également la ville qui abrite le plus grand nombre de personnes d’origine polynésiennes au monde. »

« Auckland profite d’un climat océanique très doux, avec des étés chauds et humides (température moyenne de 25 degrés Celsius) et des hivers doux et très pluvieux (température moyenne de 8 à 10 degrés). Mai est le mois le plus pluvieux. »

« Il faut toutefois souligner, lance fièrement Linda, qu’en moyenne Auckland bénéficie de 245 jours de soleil par année. »

« La ville d’Auckland se situe au 40e parallèle de l’hémisphère sud. »

« La ville a été baptisée en l’honneur William Eden (1784–1849), qui a été le premier comte d’Auckland. Il occupait également les fonctions de premier Lord de l’Amirauté. »

« La ville fait 1 000 km carrés, tandis que le centre-ville d’Auckland ne s’étire que sur 60 km carrés. »

« Au palmarès 2016 des villes où il est le plus agréable de vivre, un classement publié par l’Economist Intelligence Unit du groupe The Economist, Auckland occupe le huitième rang! »

La meilleure ville où vivre selon ce classement… est Melbourne en Australie.

Le Mont Éden
Alors que l’autocar grimpe sur une colline, notre guide nous indique : « Nous nous rendons au mont Éden, Maungawhau en maori. C’est un ancien volcan endormi. Il est le plus haut sommet naturel de la ville avec 196 mètres d’altitude. Nous allons monter à son sommet! » 

« Les Maoris ont vécu sur cette colline jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. »

Nous descendons du car sur la colline à 7 h 10. Nous poursuivons l’ascension de celle-ci à pied. C’est abrupt, mais ça fait du bien de marcher un peu.

Mont Éden, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Ici, c’est l’été, les herbes sont hautes et elles ont même déjà commencé à jaunir.

Mont Éden, Auckland, Nouvelle-Zélande

Mont Éden, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : L’ancien cratère du volcan… les petits points noirs que nous y apercevons, ce sont des personnes qui remontent d’une expédition dans les profondeurs du cratère. « C'est interdit, lance notre guide, le cratère fait 50 mètres de profondeur, ces gens ne sont pas prudents d'y descendre. »

Nous arrivons au sommet du mont Éden. Il y a une grande table ronde où sont indiquées les distances des grandes villes du monde par rapport à ici.

Nous avons une superbe vue sur la ville, mais c’est nuageux et venteux.

Vue du mont Éden, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Au loin, nous apercevons un stade. « C’est le Eden Park », mentionne Linda. « On y retrouve deux stades dans le même complexe, un pour le rugby, qui peut accueillir 60 000 spectateurs assis, l’autre est pour le cricket. La finale de la Coupe du monde de rugby de 2011 a été disputée dans ce stade. »

Vue du mont Éden, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : La « Sky Tower »… « Nous grimperons à son sommet plus tard ce matin », nous annonce notre guide.

La ville compte peu de hautes tours à appartements. Ce sont surtout des maisons que nous voyons.

Notre guide nous indique une île au loin… « C’est un autre volcan, le Rangitoto, dont la dernière irruption a eu lieu il y a 300 ans. »

Vue du mont Éden, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Une autre colline tout près.

Nous rebroussons chemin.

« Les pins de Norfolk sont en grand nombre ici en Nouvelle-Zélande. »

Nous remontons dans le car à 7 h 40.

« La Nouvelle-Zélande compte 25 parcs nationaux et une trentaine de terrains de golf. »

Nous voyons quelques édifices à bureaux. Il y a beaucoup d’arbres. Pour la plupart ils sont immenses et très verts. Nous apercevons de grosses fleurs mauves le long de la route.

« Nous nous dirigeons vers la SkyTower », nous informe Linda. « C’est l’une des principales attractions touristiques de la ville. Par temps clair, il est possible de voir jusqu’à 82 kilomètres au loin. »

« Avec ses 328 mètres de hauteur (4 de plus que la tour Eiffel), la Sky Tower est le plus haut édifice de l’hémisphère sud. Elle a été construite pour être résistante aux tremblements de terre. »

« Elle a été inaugurée le 3 mars 1997. Notre rendez-vous pour y grimper est prévu pour 8 h 45. »

Nous traversons un quartier résidentiel.

« Ici les maisons sont extrêmement dispendieuses. Une maison simple de trois chambres à coucher… vaut 1 million de dollars néo-zélandais. » (1 dollar néo-zélandais vaut 95 cents canadiens) Elle nous en indique une, c’est une maison très ordinaire, impossible pour nous d’imaginer qu’elle puisse valoir un prix si élevé.

« Qui plus est précise-t-elle, la mise de fonds comptant exigé est de 40 % du prix de la maison! Conséquemment, ce sont surtout des étrangers qui s’en portent acquéreurs. Le revenu moyen à Auckland est de 60 000 $. »

« Le prix des maisons a doublé au cours des six dernières années. »

Eden Park
Notre route nous amène tout près du stade de rugby.

« Le rugby est un véritable sport national au pays. Quant au cricket, c’est notre sport d’été. »

Notre chauffeur immobilise son véhicule devant le stade. Où il y a une impressionnante statue d’un rugbyman.

Statue de Mickael Jones, Auckland, Nouvelle-Zélande

Statue de Mickael Jones, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : Spectaculaire sculpture du joueur de rugby Mickael Jones.

Cette statue de bronze est une œuvre de l’artiste Natalie Stamilla, qui est la fille du photographe qui a immortalisé Mickael Jones dans sa position, une scène célèbre de la première Coupe du monde de l’histoire du rugby en 1987. Elle prend place près de l’entrée principale du stade Eden Park. L’armature de l’œuvre est en acier inoxydable solide et à haute résistance. La statue fait 4,2 m de large et pèse 1,5 tonne!

Il y a aussi cette autre statue, celle de David Gallaher.

Statue de David Gallaher, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : La statue de David Gallaher, joueur de rugby néo-zélandais de 1896 à 1909. Depuis 2000, le trophée Dave Gallaher est remis au vainqueur d’une confrontation annuelle entre les équipes de France et de Nouvelle-Zélande.

Nous apercevons le terrain de cricket. Les deux terrains, celui de cricket et celui de rugby, sont côte à côte. Le stade est situé en plein quartier résidentiel. Ce qui doit être particulièrement problématique lors des tournois de la Coupe du monde!

Stade de cricket, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Le stade de cricket.

Nous remontons dans le car, du moins ceux qui sont descendus pour l’arrêt photo.

« Auckland est aussi une ville de vélos! Il y a beaucoup de pistes cyclables. Elles sont très bien aménagées. Les couloirs de la piste cyclable sont de couleur verte. »

« Il y a trois langues officielles en Nouvelle-Zélande », mentionne notre guide : « l’anglais, le maori et le langage des signes. »

La Sky Tower
Nous prenons l’autoroute durant quelques kilomètres et arrivons tout près de la Sky Tower.

Nous descendons au Sky City Complex, où se trouvent la tour, des hôtels, des restaurants et un casino.

« Les autorités du complexe ont entrepris d’immenses travaux visant à agrandir le casino. Cela, ont-ils annoncé, va créer 1 000 emplois supplémentaires. »

Nous descendons à 8 h 10… alors que notre visite est prévue pour 8 h 45.

Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : La voilà la Sky Tower… vue de très près.

Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Tout autour de la Sky Tower prend place le Sky City Complex.

Notre accompagnateur de Voyages Lambert, Jean-Marc Lechat décrète 30 minutes de temps libre.

Nous prenons un café au « Gloria Jean's Coffees »! Un cappuccino et un expresso (8,50 $ NZ)

Nous le buvons à l’extérieur, assis à une table de pique-nique située face au Casino… sous un ciel menaçant.

Gloria Jean's Coffees, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : L’affiche du Gloria Jean's Coffees.

Puis à 8 h 40, nous traversons et entrons au casino.

Casino, Auckland, Nouvelle-Zélande

Casino, Auckland, Nouvelle-Zélande

Casino, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : L’édifice du Casino du « Sky City Complex » est impressionnant.

Nous prenons un premier ascenseur jusqu’au 51e étage… l’ascension ne prend que 45 secondes.

Rendus au 51e étage, à 186 mètres d’altitude, la vue sur la ville est spectaculaire, malgré le léger brouillard.

Nous voyons des îles au loin, puis le port.

« La tour a été construite en 33 mois », précise Linda. « Elle a été inaugurée en mars 1997. Pas moins de 15 000 mètres cubes de béton et 220 panneaux de verre ont été requis. Le tout pour la modique somme de 85 millions de $ NZ! »

« Seulement 836 visiteurs peuvent se retrouver au sommet à la fois, et ce, par mesure de sécurité. »

Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Une affiche intéressante!

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : Vue époustouflante sur Auckland du 51e étage de la « Sky Tower »!

Nous apercevons les bâtiments de l’Université d’Auckland construite en 1883.

« Il y a 38 000 étudiants… et ils proviennent de 85 pays », lance Linda.

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Voilà l’édifice du Musée d’Auckland… « C’est l’endroit de notre prochaine visite », mentionne notre guide!

Nous apercevons le mont Éden, où nous étions il y a quelques minutes.

Vue du 51e étage de la Sky Tower, Auckland, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : L’Hôtel où nous serons hébergés à Auckland, le Grand Millennium!

« Au loin, vous apercevez des vignobles », affirme notre guide. Pas moins de 55 vignobles ont été créés autour de la ville, surtout par des Yougoslaves. »

« Nous ne les voyons pas très bien d’ici, mais il y a aussi de belles plages. Il s’y tient d’importantes compétitions internationales de surf. »

« C’est aussi sur une de ces plages qu’a été tourné le film “La leçon de piano” réalisé par Jane Campion en 1993. »

Nous reprenons l’ascenseur et montons jusqu’au 60e étage. Ici, nous sommes à une hauteur de 220 mètres. Re wow!

À cet étage, les bâtiments que nous apercevons nous apparaissent plus proches… Certainement une illusion d’optique due à la position des fenêtres.

Nous redescendons et sortons à 9 h 40.

Nous remontons dans l’autocar et nous repartons cinq minutes plus tard. « Nous nous dirigeons vers le Musée d’Auckland », nous informe Linda.

À suivre…
Le Musée d’Auckland et notre première rencontre avec la culture et l’histoire des Maoris.

Musée d’Auckland, Auckland, Nouvelle-Zélande.

Photo ci-dessus : Le Marae, la maison sacrée du peuple Maori, l'emplacement sacré des rassemblements.

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