Découvrez Simon Gravel, 21 ans et receveur des Aigles

Revue de presse

L’Hebdo Journal, le 21 août 2015

BASEBALL. Simon Gravel est un des rares Québécois à évoluer pour les Aigles de Trois-Rivières. L'athlète de 21 ans espère ravoir une chance de retourner dans le baseball affilié de la Ligue majeure de baseball (LMB).

Photo ci-dessus : Simon Gravel. (Photo TC Media - Jonathan Cossette)

Gravel s'est retrouvé avec les Aigles gracieuseté d'Éric Gagné.

«J'ai joué trois ans dans les filiales des Red Sox de Boston et je m'étais entraîné avec Éric Gagné à l'hiver. Il a essayé de me trouver un poste avec d'autres formations, mais c'était complet partout. Il m'a donc trouvé un rôle avec les Aigles ici à Trois-Rivières.»

À ses 22 premiers matchs cette saison, le receveur auxiliaire des Aigles a maintenu une moyenne au bâton de .279 (19 coups sûrs en 68 présences). Il est au 3e rang de l'équipe derrière Steve Brown (.340) et Pédro Lopez (.286).

Quel type de musique écoutes-tu?

«J'écoute du rap, surtout. Mais j'aime plusieurs types de musique.»

En tant que joueur, as-tu des superstitions?

«Je n'ai pas vraiment de superstition. On a toujours la même routine d'avant match, mais je n'ai pas de superstition, non.»

Quels sont tes principaux loisirs outre le baseball?

«Je suis un gars qui adore le hockey et je faisais énormément de snowboard maintenant, je ne peux plus, car c'est risqué pour les blessures. Je suis vraiment un fan de sports et j'ai joué longtemps au hockey. Je joue aussi au tennis entre chums. En hiver, je m'entraîne et je frappe des balles.»

Que ferais-tu comme carrière si tu n’étais pas joueur de baseball professionnel?

«Bonne question, car je n'ai jamais eu à travailler ma vie! (Rires) J'ai toujours eu un plan après mes études secondaires. Je voulais faire un DEP (diplôme d'études professionnelles) dans le domaine de la construction.»

Aimes-tu jouer à Trois-Rivières?

«C'est très plaisant de jouer à Trois-Rivières! Je suis près de chez moi. Mais c'est certain que mon but, c'est de dénicher un rôle de partant et de retourner dans le baseball affilié. C'est possible, il suffit d'être à la bonne place au bon moment.»

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.