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Jan/17
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Prochain périple : la Nouvelle-Zélande et l’Australie!

Texte, recherches et photo de Jacques Lanciault

L'Opéra de Sydney, Australie

Laval, Québec, le 13 janvier 2017 – À l’heure actuelle, nous sommes, Céline et moi, à réaliser un autre beau voyage… cette fois-ci, à l’autre bout du monde! En effet, nous filons vers la Nouvelle-Zélande où nous nous y baladerons durant neuf jours, avant de nous envoler pour l’Australie. Au cours des 23 prochains jours, nous allons tenter, encore une fois, de rassasier notre besoin de découvertes, de nouvelles cultures et de nouvelles rencontres.

Après avoir visité Buenos Aires en Argentine et la Pologne en 2016, voilà que nous amorçons l’année 2017 avec « Voyages Lambert » à la découverte de deux pays de rêve.

Évidemment, à notre retour, nous publierons de longs reportages et de nombreuses photos de notre incursion en Océanie.

Voici le programme, jour par jour, proposé par Voyages Lambert pour ce circuit d’une exceptionnelle diversité qui ne pourra que nous envoûter.

Photo ci-dessus : L’opéra de Sydney... que nous avons visité lors de notre périple en Océanie!

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Nov/16
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Un fort séisme frappe la Nouvelle-Zélande, suivi d’un tsunami

Revue de presse

Agence France-Presse, Le Devoir, le 14 novembre 2016

Christchurch — De nombreux Néo-Zélandais ont fui dans la nuit de dimanche à lundi les zones côtières après qu’un séisme de magnitude 7,8, un des plus forts jamais enregistrés en Nouvelle-Zélande, eut secoué leur pays, faisant au moins deux morts, endommageant des bâtiments et provoquant un tsunami.

« Nous ne pouvons exclure » que le bilan de deux personnes tuées ne s’alourdisse, compte-tenu des « problèmes de communications » avec les régions touchées de l’Ile du Sud où s’est produit le tremblement de terre, a déclaré lundi en début de matinée le Premier ministre John Key.

Largement ressentie sur l’ensemble du territoire néo-zélandais, la principale secousse, suivie d’une série de fortes répliques, est survenue lundi à 00H02 heure locale (dimanche 11H02 GMT). Son épicentre a été localisé à 23 km de profondeur et à environ 90 kilomètres au nord de Christchurch, ville dans laquelle un séisme de magnitude 6,3 avait fait 185 morts en février 2011, selon l’Institut de géologie américain (USGS).

De premières vagues, certaines de deux mètres de haut, consécutives à ce choc tellurique ont touché le littoral, a déclaré le ministère de la Défense civile, avertissant dans un bulletin spécial que d’autres, susceptibles d’atteindre cinq mètres, pouvaient suivre.

Cette onde océanique a un caractère « dangereux » et un « tsunami destructeur » est possible, a-t-il mis en garde.

Les sirènes d’alerte au raz-de-marée ont été aussitôt activées sur le littoral de l’Île du Sud ainsi que sur la côte est de l’Île du Nord, tandis que les autorités appelaient les habitants de ces zones exposées à se rendre sur les hauteurs et que policiers et secouristes faisaient du porte-à-porte pour évacuer les habitations du bord de mer.

Dégâts
Des bâtiments ont été endommagés dans la petite localité rurale de Cheviot, près de l’épicentre, lui-même situé non loin du village de montagne touristique de Hanmer.

Dans de nombreuses régions, outre des dégâts matériels occasionnés à des habitations, des routes ont été coupées, la circulation de trains et la navigation de ferries interrompues et des pannes de courant et de téléphone constatées.

À Wellington, la capitale située à la pointe méridionale de l’ïle du Nord et dont les rues étaient jonchées de bris de verre, les transports publics ont été arrêtés et la population appelée à ne pas se rendre au travail lundi.

Dans plusieurs autres villes, des hôtels ont contraint leurs clients à en sortir.

« Nous étions endormis et nous nous sommes réveillés en sentant la maison trembler », a déclaré à l’AFP Tamsin Edensor, une mère de deux enfants à Christchurch. « Ca a continué à aller et venir en s’intensifiant », a-t-elle ajouté, en indiquant que le tremblement de terre avait duré « longtemps ».

« J’espère que tout le monde est sain et sauf après le séisme de cette nuit », a tweeté le premier ministre John Key.

Selon la sismologue Anna Kaiser, qui travaille pour le centre gouvernemental GNS Science, le tremblement de terre et ses répliques se sont produits près du littoral.

En septembre, un petit tsunami avait touché les côtes orientales de la Nouvelle-Zélande à la suite d’un fort séisme en mer qui n’avait fait ni victimes ni dégâts.

La Nouvelle-Zélande se trouve à la limite des plaques tectoniques de l’Australie et du Pacifique, zone qui fait partie de la « ceinture de feu » du Pacifique, où jusqu’à 15 000 séismes sont enregistrés chaque année.

Remplis sous: Nouvelle-Zélande, Voyages Mots clés:
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Mai/16
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La résurrection de Christchurch

Revue de presse

Claudia Vachon, collaboration spéciale, La Presse, 11 mai 2016

(CHRISTCHURCH) Cinq ans après un violent tremblement de terre qui a broyé son centre-ville, la deuxième ville de la Nouvelle-Zélande renaît de ses cendres. Au-delà de l'inconfort de se trouver dans un immense chantier à ciel ouvert, une visite est surtout une occasion rare d'assister à une transformation urbaine complète.

Deux hommes s'affrontent aux échecs en plein coeur du centre-ville, tout près des ruines de l'ancienne cathédrale anglicane. La façade est éventrée, la tour du clocher s'est effondrée et le monument, autrefois visité par plus d'un demi-million de touristes chaque année, n'est plus que le souvenir de l'une des pires catastrophes naturelles du pays.

Le 22 février 2011, Christchurch a été frappé au coeur par un séisme de magnitude 6,3 qui a presque tout détruit sur son passage. Les semaines suivantes, les secouristes ont extirpé les corps des 185 victimes ensevelies sous les décombres. Les dommages étaient tellement importants que les autorités ont envisagé de faire table rase et de reconstruire le centre-ville ailleurs.

Photo ci-dessus : L'architecte Shigeru Ban, qui a dessiné la nouvelle cathédrale de Christchurch, assemble le carton en immenses tubes qu'il utilise comme des poutres. Le matériau est traité contre l'eau et le feu. (Photo : Jacques Lanciault, janvier 2017)

27
Août/11
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Le «pays du long nuage blanc» et la Coupe du monde de rugby

La Coupe du monde de rugby se tiendra du 9 septembre au 23 octobre en Nouvelle-Zélande. Une occasion de découvrir la verdoyante île du Nord, tout en suivant le XV canadien.

Revue de presse

Marie-Morgane Le Moel, Le Devoir, le 27 août 2011

Auckland — Avis aux amateurs du ballon rond: pour suivre la Coupe du monde de rugby, il ne faudra pas hésiter à emprunter les routes sinueuses du «pays du long nuage blanc». Car le XV canadien jouera dans pas moins de trois villes, à diverses extrémités de l'île du Nord. 

Photo ci-dessus : Le souffre sur les mares d'eau chaude de Rotorua compose presque des tableaux de grands maîtres (Photo : Jacques Lanciault, janvier 2017)

17
Jan/09
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Nouvelle-Zélande – Une incursion dans la culture maorie

Sur l'île du Nord, en Nouvelle-Zélande, Rotorua est réputée pour ses geysers et ses mares de boue chaude. C'est aussi l'un des berceaux de la communauté maorie.

Revue de presse

Marie-Morgane Le Moel, Le Devoir, le 17 janvier 2009

Guerrière maori

Rotorua — Rapidement, on se rend compte — on sent, plutôt — que Rotorua sera une destination particulière. Car dès l'arrivée dans cette ville de 65 000 habitants, une odeur de soufre vous titille les narines. Le site, dans la baie de Plenty, sur l'île du Nord, est connu pour son activité géothermale, et ses paysages sont parsemés de geysers et de sources d'eau minérale brûlante. L'odeur d'oeuf vous accompagnera donc tout le long du séjour, plus ou moins forte selon qu'on s'approche ou qu'on s'éloigne des rives du grand lac au sud duquel la ville s'est établie.

Photo ci-dessus : Une guerrière maorie rencontré à Rotorua. (Photo : Jacques Lanciault, janvier 2017)

30
Août/08
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Nouvelle-Zélande – Auckland, ville nautique

Elle n'a pas la prétention de ses riches rivales australiennes, ni l'exotisme des ports des îles du Pacifique. Mais Auckland a pour elle le coeur des marins.

Revue de presse

Marie-Morgane Le Moel, Le Devoir, le 30 août 2008

Freemans Bay, Auckland, Nouvelle-Zélande

Auckland — «Parés à virer?» À la barre, le capitaine John Briand encourage son équipage, six sexagénaires bénévoles. Tous les midis, ou presque, le Ted Ashby, un voilier de 17,4 mètres, quitte le quai d'Auckland et part vers les îles. Coup de chance, le vent est modéré, les voiles se gonflent bien. À bord, deux touristes et de joyeux volontaires discutent politique ou sport. Ayant atteint l'âge de la retraite, les marins confirmés emmènent maintenant les visiteurs sur les voiliers du musée maritime de la Nouvelle-Zélande. Presque tous ont un jour possédé leur propre bateau et observent, l'oeil savant, les embarcations qui passent au large, discutent mât en carbone ou continuent de poncer la vieille coque.

Photos ci-dessus : De belles bâtisses d’Auckland, dont évidemment encore une fois la « Sky Tower ». Sur la deuxième photo, l'édifice en grès et en brique est le Ferry Building érigé en 1912. (Photo : Jacques Lanciault, janvier 2017)