10
Août/10
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Origine, Inception : un film stressant de la première à la dernière minute

Texte de Jacques Lanciault

Origine, Inception

Laval, le 10 août 2010 – Le film de Christopher Nolan, Inception, qui devient en français « Origine », sans que l’on sache vraiment pourquoi, et ce, même après le visionnement, tient le spectateur en haleine de la première à la dernière seconde. Même après la dernière image on ne sait toujours pas si nous sommes de retour à la réalité ou si nous sommes toujours dans le rêve.

L’histoire est simple, Dom Cobb (Leonardo DiCaprio) est un spécialiste du vol d’idées ou de secrets enfouis profondément dans le subconscient de ses victimes. Or, sa dernière mission est un échec, et la victime lui offre la chance de retrouver une vie normale… en échange non pas d’un vol d’un secret, mais plutôt de l’implantation d’une idée dans le subconscient d’une personne qu’il lui désignera! Autrement dit, emprunter le chemin inverse de celui où il a fait sa marque. Et c’est là où tout se complique avec des rêves de premier, de deuxième et de troisième niveaux!

Photo ci-dessus : Affiche du film, Origine, avec en vedette Marion Cotillard.

Remplis sous: Arts et spectacles - Critique Mots clés:
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Août/10
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« Hésitation » au cinéma, emballant!

Texte de Jacques Lanciault

Hésitation.

Laval, le 7 août 2010 - Le troisième volet de la saga « Twilight » porté à l’écran par David Slade sous le titre « Hésitation », se colle vraiment, tout comme les deux premiers films de la série, au roman du même nom de Stephenie Meyer. La version française du film «Eclipse » est impressionnante, entre autres, quant à ses effets spéciaux.

Vivement le quatrième et dernier volet de cette aventure au pays des vampires, « Révélation », celui dont lecture m’a le plus emballé!

P.-S. : Film vu au cinéma Guzzo Pont-Viau un lundi après-midi avec un autre couple pour tout autres spectateurs dans la salle!

22
Jan/10
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Pas de nus dans les lieux publics à Verdun (Revue de presse)

NDLR : Au tour du Devoir de rapporter la désolante situation vécue par notre ami Carl Duplessis avec un projet d’exposition à Verdun. Et sur le site Internet du quotidien centenaire, les commentaires des lecteurs sont des plus intéressants! C'est à lire sur www.ledevoir.com

Toile de Carl Duplessis. La division arts et culture annule une exposition à l'île des Sœurs

Isabelle Paré, Le Devoir, vendredi 22 janvier 2010

Pas facile, la vie d'artiste à Verdun. L'arrondissement montréalais, qui a démantelé une oeuvre d'art public à l'île des Soeurs en septembre 2009 à la suite de plaintes de citoyens, juge que d'exposer les bambins de cette tranquille banlieue insulaire à des tableaux de nus dans un lieu public déroge «au gros bon sens».

Photo ci-dessus : Selon la division arts et culture de l’arrondissement de Verdun, exposer des oeuvres comme Se prélasser, de Carl Duplessis, dans un lieu public, dérogerait au «gros bon sens». (Photo courtoisie de Carl Duplessis)

30
Déc/09
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L’exposition « Personnages, univers et atmosphères » de Carl Duplessis est annulée!

Texte de Jacques Lanciault, photos de Carl Duplessis

Divine jeunesse, de Carl Duplessis.Laval, le 30 décembre 2009 - Dans une chronique parue dans La Presse du 23 décembre dernier (et reproduite en partie sur notre site le lendemain), Patrick Lagacé nous racontait les péripéties vécues par l’artiste lavallois Carl Duplessis relativement à certaines des œuvres qu’il devait exposer en janvier prochain dans un centre communautaire de Verdun. Quelques-unes de ces toiles affichant des nus (es), les dirigeants du service culturel de l'arrondissement ont demandé à notre ami Carl de retirer les tableaux représentant des nus de l’exposition. Évidemment, le peintre a refusé une telle censure… et a annulé sa participation à l’événement. Il nous a transmis la missive qu’il a fait parvenir aux médias et les photos des toiles en question! Du bien beau travail… qui, à mon avis, n’a rien, mais vraiment rien d’offensant!

Notre photo : Divine jeunesse, de Carl Duplessis.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

24
Déc/09
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Tout le monde tout nu

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault

Karl Duplessis dans son atelier.Dans sa chronique du mercredi 23 décembre 2009 publiée dans le quotidien La Presse, Patrick Lagacé raconte que la censure est toujours présente au Québec, du moins dans les arts ! Il nous apprend en effet que l’artiste Carl Duplessis, un de nos amis, ne pourra vraisemblablement pas exposer ses œuvres de « nus » lors d’une exposition qui se tiendra en janvier prochain dans un centre communautaire de Verdun. Après avoir traité du cas d’un américain qui vient d'être reconnu coupable de grossière indécence en Virginie et de la photo de Catherine Pogonat nue pour le calendrier d’ART TV, Patrick Lagacé attire notre attention sur le cas de Carl! Son texte est présenté ci-dessous :

Notre photo : Karl Duplessis dans son atelier.

21
Nov/09
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Adamo termine sa tournée québécoise en beauté (Revue de presse)

Félix sous oxygène.

N.D.L.R. Dimanche le 8 novembre dernier, nous avons assisté à un spectacle de Salvatore Adamo à la Place des Arts. Un tour de chant qui nous a ramenés à l’époque de notre adolescence, Céline et moi. Dans le quotidien électronique, Rue Frontenac.com, le journal des journalistes en lock-out du Journal de Montréal, Richard Bousquet a rédigé une critique on ne peut plus exacte de ce spectacle. J’en profite pour la publier.

Richard Bousquet, Rue Frontenac.com, lundi 9 novembre 2009

Salvatore Adamo a célébré la fin de sa tournée québécoise avec ses fans à la Place des Arts dimanche soir en leur offrant ses grands succès qu’ils ont fredonnés en chœur, des chansons de son plus récent disque paru en novembre 2008 et quelques nouvelles chansons pour lesquelles la réception du public démontre qu’il n’a pas fini de les séduire.

Photo ci-dessous d'Alain Décarie : Bien en voix, Adamo a su charmer son public qui ne demandait que cela.

Pour agrandir la photo, il suffit de cliquer sur celle-ci.

Remplis sous: Arts et spectacles - Critique Mots clés:
24
Nov/08
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À voir : « L’échange », un superbe film de Clint Eastwood!

Texte de Jacques Lanciault

Angelina Jolie dans le rôle de la mère d'un enfant enlevé : fantastique!

Laval, le 24 novembre 2008 - Mené à la façon d’un thriller, le tout dernier film de Clint Eastwood, « Changeling » - en français « L’échange » _, vaut la peine d’être vu et certainement revu. La trame du film est dramatique à souhait : « Dans les années 1920, le fils âgé d’une dizaine d’années d’une mère célibataire vivant à Los Angeles est kidnappé. La police retrouve un enfant en Illinois et le ramène à Los Angeles comme l’enfant disparu. Mais, dès le premier contact avec cet enfant retrouvé, la mère déclare qu’il n’est pas son fils. Les forces de police sont ulcérées de cette déclaration et à leur tour “déclare” la guerre à la mère. Ils verront à nuire à sa réputation, puis la feront enfermer dans un asile sans autre avis! Seuls, un révérend qui dénonce la corruption au sein du corps de police et un policier qui désobéit aux ordres et découvre les affres d’un tueur en série finiront par faire en sorte que la mère soit libérée! »

8
Oct/07
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Une soirée magique dans le monde parallèle de Martin Rozon!

Un magicien-humoriste-clown qui mérite d'être découvert

Texte de Jacques Lanciault

Martin Rozon.

Laval, le 8 octobre 2007 – Revenir en enfance, ne serait-ce que pour une ou deux heures! Rire sans qu’automatiquement le cerveau ne se place en mode critique. Quelle merveilleuse thérapie pour se guérir du monde « jamais rien de beau, jamais rien de bon » dans lequel nous vivons! Eh bien, sachez que cette thérapie existe : il s’agit du spectacle du magicien-humoriste Martin Rozon.

Un inconnu pour le moment dans le monde du spectacle. Un inconnu qui mérite pourtant à être découvert. Ce dernier nous offre actuellement, dans de petites salles d’un peu partout en province, son tout premier « one man show », un spectacle tout simplement réjouissant!

12
Oct/06
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Girodet : un regard sensible sur l’histoire de l’humanité et de la France

Texte et photo Jacques Lanciault

Les funérailles d'Atala, Anne-Louis Girodet.Montréal, le 12 octobre 2006 – Œuvre après œuvre, de cimaise en cimaise, l’exposition nous étonne, car force est de constater que les personnages des peintures d’Anne-Louis Girodet, de leur toile, nous parlent, tant le talent et le génie de l’artiste leur a insufflé d’émotion dans les scènes où il les a placés, sur les visages qu’il leur a dessinés et surtout, surtout dans leur regard. C’est un merveilleux présent que nous offre le Musée des beaux-arts de Montréal en présentant, jusqu’au 21 janvier 2007, l’exposition « Girodet, le rebelle romantique ».

Ci-dessus, « Atala au tombeau » photographié à même la revue du Musée des beaux-arts de Montréal, "M".

N.B. Pour agrandir la photo, il suffit de cliquer sur celle-ci.

26
Sep/06
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Des photos des collections du musée McCord font le trottoir sur l’avenue McGill College

Une exposition à ne pas rater

Texte et photos Jacques Lanciault

Équipements de hockey des Canadiens de Montréal, utilisés par Henri et Maurice Richard, Montréal, vers 1960, John Taylor, Exposition Transactions, avenue McGill College, Montréal, 2006.Montréal, le 26 septembre 2006 - Visiter un musée en se promenant sous les chauds rayons du soleil en plein cœur du centre-ville de Montréal. Assez invraisemblable, non? C’est pourtant ce qu’offre aux passants de l’avenue McGill College le musée McCord. Une cinquantaine de magnifiques images en couleurs d’objets tirés des renommées collections du musée McCord ainsi que des photographies historiques en noir et blanc provenant des archives photographiques Notman. Déambuler sur l’avenue McGill College devient une expérience magique. Des photographies magnifiques, qui bien souvent nous rappellent des souvenirs d’enfance, mais beaucoup plus fréquemment elles évoquent le lointain souvenir d’anecdotes que nous racontaient nos parents et surtout nos grands-parents dans notre tendre enfance. C’est une exposition à ne pas manquer et il ne reste pas beaucoup de temps, car le tout se termine le 16 octobre.

Voici un très bref aperçu de ce que l’on peut admirer. Mais, n’oubliez pas de considérer qu’il s’agit de photos de photos.

La photographie ci-dessus, représente bien l’époque où Montréal avait deux religions officielles : le catholicisme et le hockey.

N.B. Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.