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Capitales: Jonathan Lamy jumelle ses passions du baseball et du hockey

Revue de presse

Anthony Toupin, Le Journal de Québec, le 11 mai 2019

Jonathan Lamy

Les Capitales de Québec ne comptent pas uniquement sur de nouveaux visages sur le terrain. L’entraîneur adjoint des Chevaliers de Lévis dans la Ligue de hockey midget AAA du Québec, Jonathan Lamy, a accepté de relever un tout nouveau défi en devenant le gérant d’équipement de l’équipe.

Au moment où le poste de gérant d’équipement s’est libéré, Jonathan Lamy n’a pas hésité une seconde avant d’envoyer son C.V. à l’organisation des Capitales et il est loin de regretter sa décision jusqu’ici.

«Partout où j’ai été entraîneur, j’ai toujours aimé cet aspect du jeu. Cette année et même au niveau universitaire, je donnais un coup de main au gérant d’équipement. Lorsque l’opportunité s’est présentée, j’ai tenté ma chance», a indiqué Lamy qui réalise un travail qui ne passe pas inaperçu.

Photo ci-dessus : L’entraîneur adjoint des Chevaliers de Lévis dans la Ligue de hockey midget AAA du Québec, Jonathan Lamy, a accepté de relever un tout nouveau défi en devenant le gérant d’équipement des Capitales de Québec. (Photo : Jean-François Desgagnés)

«Il fait très bien ça jusqu’à maintenant. Nos joueurs sont impressionnés. Je crois qu’il aime ce qu’il fait. Il a l’air de triper. Les gars ne manquent de rien dans le vestiaire. On est très satisfait», a louangé le gérant des Capitales, Patrick Scalabrini, à son égard.

Le coaching dans le sang
L’an dernier, alors qu’il était aux côtés de Mathieu Turcotte à la barre des Chevaliers, Jonathan Lamy a vécu toutes sortes d’émotions. Son équipe a connu énormément de succès en saison régulière comme le démontrent leurs 34 victoires consécutives, un record dans la Ligue de hockey midget AAA. Cet été, il croit que «travailler aux côtés des professionnels va l’aider dans son cheminement».

«Je suis sur le terrain avec les gars et on se lance la balle. Quand Patrick fait des réunions de groupe, je me tiens près pour savoir ce qui leur dit. Il a une belle feuille de route comme entraîneur. Le succès parle par lui-même, que ce soit par les chiffres, les championnats, etc.»

«J’essaie de capter le plus d’information à propos de sa manière de travailler avec les joueurs. C’est deux sports complètement différents, mais je suis à un niveau auquel je n’ai pas travaillé. Si j’ai l’occasion de devenir entraîneur à un niveau professionnel, je vais pouvoir prendre ce bagage d’expériences», a-t-il indiqué.

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.

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