20
Juin/15
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Notre championne de soccer : Chloé!

Textes et photos de Jacques Lanciault

Chloé

Saint-Léonard, le 20 juin 2015 - Même si elle est extrêmement douée au baseball, même si son frère joue au baseball en classe AA et même si son grand-papa est mordu de baseball, Chloé, notre petite-fille, joue au soccer! Et elle se débrouille plus que bien.

Ce matin, elle et ses coéquipières des Pumas de Montréal-Nord participaient à un festival au parc Giuseppe-Garibaldi de Saint-Léonard. Les Pumas y disputaient trois matchs consécutifs, un à 10 heures, un à 11 heures et un à midi. Et bien les Pumas ont remporté les trois matchs. Le premier 2 à 1, le deuxième 3 à 1 et le dernier beaucoup à très peu.

Chloé, qui évolue à la défense semble avoir un sens inné du spectacle et des montées à l’emporte-pièce d’un bout à l’autre du terrain pour, rendue à un jet de pierre du but, passer la balle à une coéquipière.

À sept et huit ans, les joueuses m’ont grandement impressionné, tant par leur discipline à jouer leur position que dans leurs tentatives de contrôler la balle le plus longtemps possible!

Tout un spectacle!

Voici quelques instantanés que j’ai croqués sur le vif lors de cet événement :

13
Juin/15
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Une défaite où les lanceurs n’ont rien à se reprocher !

Texte et photos de Jacques Lanciault

Félix Lanciault

Saint-Jérôme, samedi 13 juin 2015 – Avec toute la pluie qui est tombée sur la région métropolitaine au cours des derniers jours, nous étions une équipe bénie des Dieux ce matin… de jouer à Saint-Jérôme, et non sur un des terrains de la ville de Montréal ! Déjà en mauvais état quand il fait beau, alors vous vous imaginez bien que nous n’aurions jamais entendu l’arbitre crier « play ball » ce matin au parc Henri-Julien !

Mais cette chance, les joueurs des Orioles « Blancs » moustique AA de Montréal ne l’ont pas saisie, disputant un match difficile tant en défensive qu’en attaque, et ce, au grand dam des lanceurs (Mathis Des Roches, Charles Lamarre et Zachary Gosselin)… qui pourtant obligeaient leurs adversaires à frapper des balles qui normalement auraient dû leur valoir des retraits !

En fait, si les jeux en défensive avaient été réussis, nous aurions peut-être perdu quand même, mais chose certaine le pointage aurait été corsé et nous aurions joué les six manches régulières de la rencontre. Mais, impossible de réécrire l’histoire, les Orioles se sont inclinés au compte de 12-2 aux mains des Red Sox « rouges » des Laurentides, et ce, en cinq manches.

Photo ci-dessus : Félix Lanciault a réussi un coup sûr en deux présences officielles au bâton ce matin, croisant le marbre pour le premier point de son équipe.

4
Juin/15
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Philadelphie… une ville à découvrir, au même titre que New York, Barcelone, Paris, etc.!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Philadelphie, Pennsylvanie, É.-U.

Laval, Québec, jeudi 4 juin 2015 - Nous voici de retour de notre merveilleux périple de dix jours à Philadelphie. Il n’y a qu’un seul mot pour décrire comment nous qualifions tant notre voyage que la ville de l’Amour fraternel elle-même : enchanteur et enchanteresse!

Notre programme était impressionnant et honnêtement nous doutions de pouvoir le réaliser en entier! Pourtant nous avons réussi et même en y ajoutant quelques endroits!

Nous avions prévu des musées (le Philadelphia Museum of art, le 3e plus grand musée des États-Unis, le musée Rodin, le Pennsylvania Academy of the Fine Arts, la Barnes Foundation, le Benjamin Franklin Museum, le National Liberty Museum, etc.), des parcs (le Fairmount Park, dix fois plus grand que Central Park, et le Penn Treaty Park qui borde la rivière Delaware), un pont (le Benjamin Franklin Bridge), des promenades à la découverte de milliers de fresques murales éparpillées un peu partout en ville, une balade dans la plus vieille rue habitée du pays, la Elfreth's Alley, des monuments, dont la cloche de la liberté et évidemment la statue de Rocky Balboa dans les marches Philadelphia Museum of art! Wow et re wow!

Évidemment, nous avons quelques petits regrets, comme de ne pas avoir pu grimper au sommet de la tour de l’Hôtel de Ville, de ne pas nous être rendus au marché italien ni au vieux pénitencier et ni dans les stades de sports de la ville. Mais, il ne suffira que de revenir.

Comme à notre habitude, nous offrons à ceux et celles qui le souhaitent l'occasion de nous suivre au jour le jour dans ce périple, alors que nous avons publié des textes détaillés accompagnés de plusieurs photos de chacune de nos découvertes.

Pour lire nos reportages, rendez-vous sur la rubrique « Voyages » de notre blogue ou cliquez sur un des liens ci-dessous :

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Mai/15
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48 heures à Bucarest

Revue de presse

Jean-Christophe Laurence, La Presse, le 23 mai 2015

Palais du Parlement, Bucarest, Roumanie

Photo ci-dessus : Le colossale Palais du Parlement, dont la construction s'est soldée par la démolition de quelque 40 000 maisons. (Photo : Jacques Lanciault, 2023)

À première vue, ce n'est pas forcément le coup de foudre. Ravagé par l'architecture brutaliste et la folie des grandeurs du dictateur Ceausescu, Bucarest ressemble par endroits à une immense cicatrice en plein air. Mais au deuxième regard, la capitale roumaine se révèle d'une extraordinaire richesse. Au-delà des grands boulevards et des immeubles gris, on découvre un monde plein de trésors, où passé glorieux et jeunesse en ébullition se côtoient dans un total éclectisme. C'est un cliché, mais il faut le dire: Bucarest est un secret bien gardé, qui mérite bien plus qu'une halte de deux jours entre un voyage en Transylvanie et une croisière sur le Danube.

JOUR 1 - 9h30: l'éléphant blanc
Il est incontournable, alors aussi bien commencer par là. Le Palais du Parlement, créé par le dictateur Ceausescu dans les années 80, est une « maison monstre » puissance 10, construite en plein coeur de Bucarest. Un million de tonnes de marbre, 550 000 tonnes de ciment, 3500 tonnes de cristal réparties sur 1000 pièces et une surface au sol de 66 000 m2!

La visite d'une heure (qui ne couvre que 10% du bâtiment!) se résume en une succession de grandes salles vides, où le marbre, les tentures et les candélabres de cristal rivalisent de luxe inutile. Un tiers du centre-ville (40 000 maisons) a été rasé pour faire place à cet éléphant blanc, inauguré en 1994, cinq ans après la mort de Ceausescu. Outre le Parlement, le bâtiment abrite aussi un musée d'art contemporain. Mais la majorité des pièces sont inoccupées. Quel gaspillage!

Strada Izvor 2-4 - 11h: ça sent l'encens
Bucarest regorge de petites églises orthodoxes plus ou moins dissimulées, qui font battre l'âme de la ville. Certaines ont une histoire plus spéciale que d'autres. L'église du «Couvent des nonnes», par exemple, fut sauvée de la démolition pendant la construction du Palais du Parlement, en étant déplacée de quelques mètres sur des rails de chemins de fer. L'ingénieur derrière ce miracle (Eugen Iordachescu) est aujourd'hui considéré comme un héros national. Un peu plus loin, l'église Mihai Voda fut rescapée de la même façon. À l'intérieur, une fresque représente le roi Michael (toujours vivant) et le collaborateur Ion Antonescu, le « Pétain roumain » dans son uniforme nazi. Étonnant.

Strada Stavropoleos 4 - 13h: un peu d'Histoire
Les bulldozers n'ont heureusement pas détruit tout Bucarest! La vieille ville, en premier lieu, reste un des beaux endroits de la capitale, avec ses rues pavées piétonnières et ses bâtiments historiques. Passons devant les vestiges de la citadelle construite au XVe siècle par Vlad l'Empaleur, et la superbe église Stavropoleus (1730) pour aboutir à l'Auberge de Manouc. Cet ancien caravansérail, construit en 1808 pour les marchands ottomans de passage, est une superbe cour intérieure, qui abrite aujourd'hui des restaurants et même un Starbucks. On n'arrête pas le progrès!

Auberge de Manouc: Strada Franceza 62-64

14h30: la belle librairie
La vieille ville, ce n'est pas que du vieux. C'est aussi des bars, des cafés et des terrasses où les touristes et la jeunesse locale se mélangent pour faire la fête. Côté magasinage, c'est pas mal non plus.

Coup de coeur pour la superbe librairie Carturesti, située dans la populaire rue Lipscani. Cette ancienne banque de style Art déco, retapée par de jeunes designers, a ouvert ses portes début 2015. Courbes harmonieuses, blanc virginal, éclairage moderne, espace grand ouvert, passerelles, café: l'endroit est en soi une attraction... Évidemment, les livres sont en roumain, mais quelle importance?

Strada Pictor Arthur Verona 13-15 librarie.carturesti.ro

15h: le grand parc
Assez de culture, un peu de verdure! En sortant de la vieille ville, prenons la direction du parc Cismigiu, le plus vieux - et le plus beau - parc de Bucarest. Créé au XIXe siècle, dans l'esprit des buttes Chaumont à Paris, cet espace vert surgi d'une autre époque a quelque chose d'ensorcelant. Du parc pour enfants aux petits vieux jouant aux échecs, en passant par les stands à crème glacée ou le lac artificiel, tout ici respire la flânerie et la douceur de vivre. Les week-ends et jours fériés, on peut aussi acheter de la cuisine artisanale dans l'un des nombreux stands qui bordent le parc. Génial.

Aleea Magnoliei

17h: 5 à 7
C'est l'heure du 5 à 7. À deux pas du parc Cismigiu, Kaffeewagen propose du très bon café torréfié sur place, et même du bon vin roumain si le coeur vous en dit. Pour les amateurs d'exotisme, on suggère le passage Macca-Villacrosse, tout près de la vieille ville. Ce couloir «belle époque» en forme de «u», recouvert de vitre jaune, abrite une dizaine de cafés et de bars où l'on peut fumer le narghilé, un autre rappel de l'influence ottomane à Bucarest.

Kaffeewagen: Bulevardul Regina

20h: Garou en scène
Et pourquoi pas un spectacle pour boucler la journée? La salle Palatiliu, un bâtiment aux formes modernes construit en 1960, est l'endroit tout indiqué pour aller pour voir des vedettes populaires roumaines et même internationales. Tiens, pendant notre visite, Garou - oui, celui-là - y présentait son spectacle Rhythm'n'blues. On ne savait pas que Garou était populaire au pays de Zamfir!

Strada Ion Câmpineanu 28 htsalapalatului.ro

JOUR 2 - 9h: la vraie affaire
Pour bien sentir le pouls de Bucarest, une visite s'impose à Obor. Cet immense marché, vieux de 150 ans, n'est pas exactement sur le circuit touristique, mais si vous voulez voir «la vraie affaire», vous êtes au bon endroit. On a aimé ce lieu vivant, vibrant et chaotique, avec ses étalages de fruits, légumes, noix, viandes ou desserts orientaux, tenus par des femmes de la campagne avec foulards sur la tête.

Soseaua Stefan cel Mare

11h: rustique
Il fait beau, passons par le Musée du village, un lieu bien connu des Bucarestois. Ce musée ethnologique à ciel ouvert, créé dans les années 30, est constitué d'environ 300 bâtiments rustiques authentiques (maisons, ateliers, moulins, églises) importés des quatre coins de la Roumanie. Une bonne façon de saisir en un coup d'oeil la diversité culturelle du pays. L'endroit est situé au nord, tout près de l'immense parc Herastrau, où l'on peut louer des bateaux et des vélos.

Musée du village: Soseaua Pavel Dimitrievici Kiseleff 28-30

13h30: rhapsodie roumaine
Retour au centre-ville pour faire le plein de culture. Optons pour le musée George-Enescu, consacré au grand compositeur roumain, qui se trouve dans un remarquable bâtiment Art nouveau. On peut y voir plusieurs objets ayant appartenu au musicien: partitions, redingotes, lunettes... Mais la révélation se trouve à l'arrière, dans la maison plus modeste qu'habitait Enescu dans les années 40. Du lit à la baignoire, tout a été préservé tel quel. La salle de musique vaut à elle seule le déplacement.

Calea Victoriei 141

14h30: pour Baba
Un peu plus bas, dans la rue Calei Victorei, les amateurs de peinture apprécieront le Musée national d'art de Roumanie, situé dans l'ancien Palais royal. Beaucoup de salles et surtout, beaucoup trop de surveillants! Bon. Faisons avec. Coup de coeur pour les peintures dérangeantes de Corneliu Baba, le Munch roumain, à qui deux salles complètes sont consacrées.

Calea Victoriei 49-53

15h30: In memoriam
Face au musée se trouve la place de la Révolution. Un «must». C'est ici que Ceausescu a donné son dernier discours sous les huées, le 21 décembre 1989, avant de s'enfuir en hélicoptère avec sa femme. Aujourd'hui, c'est le lieu de mémoire de la révolution roumaine. On y a érigé plusieurs sculptures pour rendre hommage à ceux qui se sont battus ou sont morts pour la cause, la plus notable étant cette grande flèche transperçant un oeuf, évocation symbolique des souffrances du peuple roumain sous la dictature communiste.

Piata Revolutiei

17h: prendre l'air
Restons dehors. Derrière les immeubles d'habitation bâtis par les communistes et les grands axes routiers, Bucarest est plein de petits quartiers sympas qui ne demandent qu'à être découverts. Ces zones de silence, où le temps semble suspendu, permettent de découvrir l'éclectisme architectural de la ville, avec ses maisons Art nouveau, ses appartements Art déco typiques des années 30, et ses bâtiments de style roumain, au carrefour de l'Orient et de l'Occident. Échouez sur la terrasse de Dianei 4, le café-bar des hipsters de Bucarest.

Strada Dianei 4

19h: tourner la tête
La visite serait incomplète sans un concert à l'Atheneum, où se produit régulièrement l'orchestre philharmonique George-Enescu. Ce bâtiment circulaire néoclassique, créé par l'architecte français George Galleron en 1888, est l'un des joyaux du patrimoine de Bucarest, avec son dôme, ses coupoles, son design fin de siècle, ses colonnes de marbre et ses ornements à n'en plus finir. Le hall d'entrée en lui-même est un spectacle, tout comme la salle de concert. À faire tourner la tête, peu importe le programme.

Strada Benjamin Franklin 1-3

21h: resto Art déco
Ventre vide? Bouclons le séjour chez Caru Cu Bere, le restaurant le plus célèbre de Bucarest. Ambiance assurée dans cette brasserie dès 19h, où touristes et locaux viennent pour manger roumain ou simplement prendre une bière.

Vers 21h30, deux couples de danseurs déboulent au centre du resto. Regardons le spectacle de notre table avec un verre de palinca (l'eau-de-vie roumaine) et une bonne cigarette. On avait oublié de vous dire: Bucarest est le paradis des fumeurs. Ici, on peut en griller une à peu près n'importe où!

Strada Stavropoleos 5

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault

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Mai/15
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Soirée idéale pour des photos… de baseball!

Texte et photos de Jacques Lanciault

Félix

Terrebonne, Québec, mercredi 6 mai 2015 - Mercredi dernier, Félix disputait son troisième match hors concours de la saison avec son équipe moustique AA des Orioles « blanc » de Montréal, le dernier avant le début officiel de la campagne dans la Ligue de baseball inter-cité métropolitaine. La rencontre était disputée au parc Charles-Bruneau de Terrebonne, par une soirée idéale pour le baseball.

J’en ai profité pour réaliser quelques clichés de notre petit-fils baseballeur.

Photo ci-dessus : Au cours de la rencontre, Félix a évolué au deuxième but (notre photo), au champ droit ainsi que dans l’enclos des releveurs, comme receveur.

7
Mai/15
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Le Maroc chérifien et l’Espagne mauresque racontés dans de magnifiques couleurs!

Texte et photos de Jacques Lanciault

Tête de Maure, Benjamin Constant, MBAM, 2015Montréal, Québec, dimanche 5 avril 2015 – Époustouflante cette exposition intitulée « Merveilles et mirages de l’Orientalisme - de l’Espagne au Maroc » qui est présentée au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) jusqu’au 31 mai 2015!

Si déjà nous avions pu admirer quelques œuvres de Benjamin Constant, notamment au Musée d’Orsay à Paris, et de Eugène Delacroix au Caixa Forum de Barcelone où on y présentait justement une exposition sur la période orientaliste du peintre français, jamais nous n’avions eu l’occasion d’admirer autant d’œuvres d’artistes différents qui nous étaient inconnus… et qui ont tous prit comme toile de fond… le soleil, le sable, les corps vêtus et dévêtus des habitants de ces chaudes contrées!

Outre les toiles de Constant et de Delacroix, nous avons eu l’occasion de découvrir les œuvres d’artistes tels Henri Régneault, Jean-André Rixens, Jean-Paul Laurens, George Rochegrosse, Charles Émile Hippolyte Lecompte, Édouard Debat-Ponsan, etc. Et d’artistes contemporaines, dont, entre autres, Lalla Essaydi et Majida Khattari, qui ont réalisé de très beaux montages photographiques!

Voici quelques-unes des toiles ayant retenu notre attention, notamment par l’évocation d’images que nous nous étions faites de cette région du monde, surtout lors de nos lectures des « Contes des mille et une nuits »!

Photo ci-dessus : Cette superbe toile intitulée « Tête de Maure », réalisée par Benjamin Constant vers 1875 est devenue l’icône de l’exposition « Merveilles et mirages de l’Orientalisme - de l’Espagne au Maroc », elle qui est présentée par le MBAM en collaboration avec le Musée des Augustins de Toulouse!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

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28
Avr/15
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Chloé ou à la recherche de la perfection technique !

Texte et photos de Jacques Lanciault

Chloé Laval, Québec, le 28 avril 2015 - Chloé, notre petite fille âgée de sept ans n’a jamais joué dans une équipe de baseball… et pourtant elle y ferait certainement fureur, car elle a superbement assimilé, et avec une facilité étonnante, tous les petits détails techniques qui font le succès d’un joueur ou d’une joueuse de baseball, et ce, tant au bâton qu’en défensive.

Cette année, je croyais bien qu’elle opterait pour le baseball, surtout qu’elle avait adoré sa participation à l’école de baseball automnale et hivernale de mon ami Guy Paris à Pointe-aux-Trembles. Et non, elle retourne jouer au soccer, car dit-elle : « Le baseball, je peux le pratiquer avec mon grand-papa. Si je joue au baseball, je ne pourrai pas jouer au soccer et je veux pratiquer les deux sports ! » Pas fou.

Photo ci-dessus : Chloé à l'atelier de "bâton" d'une clinique de baseball réservée exclusivement pour les jeunes filles voulant jouer au baseball. Une belle initiative de Baseball Montréal.

28
Avr/15
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Félix devient un «Orioles de Montréal » moustique AA!

Texte et photos de Jacques Lanciault

FélixLaval, Québec, le 28 avril 2015 - Wow ! Après son papa qui a joué dans la Ligue de baseball inter-cité métropolitaine (St-Léonard et Concorde de Laval), voilà que notre petit Félix y fera son entrée dans quelques jours sous les couleurs d'une des deux  équipes de la division "moustique AA" des Orioles de Montréal, celle des blancs!

Invité au camp d’entraînement de l’équipe en mars dernier, après une première saison de baseball atome à Montréal-Nord, Félix a travaillé fort tout au long des séances d’entraînement pour se tailler un poste parmi les quatre joueurs de première année que l’entraîneur-chef Jean-Philippe Giroux a gardé au sein de son équipe.

Photo ci-dessus : Félix était extrêmement fier, le week-end dernier, de revêtir pour la première fois son uniforme des Orioles de Montréal blancs !

26
Mar/15
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Belles découvertes sur la côte est de la Floride et lors d’une croisière dans le sud des Antilles!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

MS Maasdam, Holland America

Laval, Québec, 26 mars 2015 - Nous voici de retour d’une escapade d’une vingtaine de jours où, après avoir exploré quelques superbes endroits de la côte est de la Floride (Coconut Creek, Fort Lauderdale, Miami et Key West), nous nous sommes embarqués sur le MS Maasdam de la compagnie Holland America pour une croisière de 14 jours où nous avons fait escale à St-Thomas aux îles Vierges, à St-Barthelemy, à Sainte-Lucie, à la Barbade, à Grenade, à Bonaire et à Curaçao.

Comme à notre habitude, nous offrons à ceux qui le souhaitent l'occasion de nous suivre au jour le jour, alors que nous avons publié des textes détaillés accompagnés de plusieurs photos de chacune de nos découvertes.

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22
Fév/15
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Malgré le froid… Chloé et Félix profitent de l’hiver!

Texte et photos de Jacques Lanciault

Chloé et Félix

Laval, Québec, le 22 février 2015 - Oui, l’hiver est froid, même très froid! Mais cela n’empêche pas nos deux petits-enfants, Chloé et Félix, de pratiquer leurs sports d’hiver favoris! Vendredi, par une soirée plutôt venteuse et où le mercure ne réussissait pas à grimper à moins 15 degrés Celsius, tous les trois avons patiné sur la grande surface glacée du Centre de la nature à Laval. Puis, le lendemain, avec une température plus douce, dû uniquement à l’absence de vent, nos deux amours dévalaient avec plaisir les pentes du mont Olympia à Piedmont!

Mais tout de même… Vivement la chaleur!