Jonathan Malo: «Ils ne m’ont pas menti»

Revue de presse

Carl Tardif, Le Soleil, le 18 mai 2012

(Québec) Jonathan Malo avait souvent entendu parler Karl Gélinas et Ivan Naccarata lui vanter l'ambiance du Stade municipal, où il a vécu sa première expérience avec les Capitales, hier.

Photo ci-dessus : Jonathan Malo pose ici avec ses nouveaux coéquipiers Jeff Helps, Josh Colafemina et Rene Leveret (LE SOLEIL, PASCAL RATTHÉ)

«Ils ne m'ont pas menti. C'était vraiment le fun, c'est le mot juste. Ça faisait bizarre d'entendre parler français partout. Les fans ont l'air dédié à la cause, ils sont bruyants. On dit souvent que Québec est une ville de hockey, mais je pense que c'en est aussi une de baseball», notait le vétéran, qui a réussi un coup sûr à sa dernière présence, les quatre autres lui ayant permis d'enlever un peu de rouille dans son élan.

Dans le corridor menant au vestiaire, Josué Peley n'en revenait pas encore de ce premier contact avec les partisans. «C'était malade! Ça parlait français, même sur les buts avec Pat [Scalabrini]. Je n'avais jamais joué avec Malo et Boucher, je suis content de pouvoir le faire. Et en plus, j'ai participé au ralliement en frappant la balle dans le trou avec des gars postés aux extrémités du terrain [en sixième]», racontait celui qui agissait à titre de frappeur de choix.

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.