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Nov/16
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Art public – « Marjo » (Laurent Gascon)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 21e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Marjo, Laurent Gascon, Montréal, Québec

Montréal, Québec, dimanche 13 novembre 2016 – « Sur les traces de Laurent Gascon », lors d'une belle promenade rue Ontario en ce superbe dimanche ensoleillé, nous découvrons la murale que l'artiste a consacrée à la chanteuse québécoise Marjo intitulée «J’lâche pas...», en référence au titre d’un de ses plus grands succès!

La grande mosaïque « J’lâche pas…», la quatrième de la série amorcée en 2009 par Laurent Gascon, a nécessité pas moins de 250 heures de labeur à l'artiste.

Rappelons que Gascon, un muraliste montréalais, a réalisé sept autres oeuvres constituant une magnifique série. Outre celle faisant place à Marjo, nous avons déjà présenté les murales honorant Vittorio et Paul Buisonneau. Les autres remettent sous les feux de la rampe le poète et chanteur Raymond Lévesque, le comédien Robert Gravel, et trois autres sont consacrées aux chanteurs et poètes Pauline Julien, Plume Latraverse et Gilles Vigneault… Et toutes ces murales se trouvent sur la rue Ontario à Montréal.

Photo ci-dessus : La murale réalisée par Laurent Gascon mettant en scène la chanteuse rock Marjo », de son vrai nom Marjolaine Morin, a été inaugurée en septembre 2012. Elle prend place sur une façade de 150 pieds carrés de l’édifice de «La Boîte à Musique», entre les rues Fullum et Parthenais.

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Nov/16
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Art public – « Paul Buissonneau » (Laurent Gascon)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 20e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Paul Buissonneau, Laurent Gascon, Montréal, Québec

Montréal, Québec, dimanche 13 novembre 2016 – Toujours au cours de notre belle promenade « Sur les traces de Laurent Gascon », en ce superbe dimanche ensoleillé, nous découvrons son oeuvre rendant hommage au comédien Paul Buissonneau et à son théâtre « La Roulotte ».

Rappelons que Gascon, un muraliste montréalais, a réalisé sept autres oeuvres constituant une magnifique série. Nous avons déjà présenté sa murale relativement à Vittorio. Les autres honorent le poète et chanteur Raymond Lévesque, la chanteuse Marjo, le comédien Robert Gravel, et trois autres sont consacrées aux chanteurs et poètes Pauline Julien, Plume Latraverse et Gilles Vigneault… Et toutes ces murales se trouvent sur la rue Ontario à Montréal.

Photo ci-dessus : La murale réalisée par Laurent Gascon représentant Paul Buissonneau et «La Roulotte» a été inaugurée en présence de l'artiste lui-même en novembre 2010 à l'angle des rues Ontario Est et Beaudry. Rappelons que Buissonneau était le Picolo de mes émissions de jeunesse à Radio-Canada. Il a également été le fondateur du théâtre ambulant « La Roulotte » et le cofondateur du Théâtre de Quat'sous en 1965.

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Nov/16
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Art public – « Vittorio, l’affichiste » (Laurent Gascon)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 19e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Vittorio, Laurent Gascon, Montréal, Québec

Montréal, Québec, dimanche 13 novembre 2016 – En ce superbe dimanche ensoleillé, nous partons, Céline et moi, dans une superbe balade sur la rue Ontario à Montréal, une promenade que nous pourrions intituler : « Sur les traces de Laurent Gascon ».

Laurant Gascon est un muraliste montréalais que nous découvrons aujourd'hui. Fort actif dans les gigantesques murales dans les années 1970, depuis 2009 il réalise de superbes murales en céramique rendant hommage à des artistes de chez nous qui ont marqué son évolution personnelle et artistique. Il a réalisé sa première en 2009, rendant hommage à son ami l'affichiste Vittorio Fiorucci décédé le 31 juillet 2008.

Depuis, il en a réalisé sept autres constituant une magnifique série. Il y en a une du comédien Paul Buissonneau et son théâtre La Roulotte, une du poète et chanteur Raymond Lévesque, une de la chanteuse Marjo, une autre du comédien Robert Gravel, et trois autres consacrées aux chanteurs et poètes Pauline Julien, Plume Latraverse et Gilles Vigneault… C'est à la découverte de ces oeuvres que nous consacrons notre belle incursion dans un quartier fort intéressant.

Photo ci-dessus : Pour sa première murale en céramique à Montréal, Laurent Gascon a représenté la célèbre affiche créée par Vittorio pour l'Opéra de Montréal dans les années 1970, une affiche qui annonçait l'opéra « Don Juan ». La murale peut être admirée derrière l'ancien bain Mathieu, au coin des rues Florian et Ontario Est.

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Nov/16
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Fabuleuse et fascinante Écosse… que de souvenirs!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Carter Bar, Angleterre, Écosse, Royaume-Uni

Laval, Québec, le 12 novembre 2016 - En 2013, dans le cadre du « Grand tour des îles britanniques » de Voyages Lambert, de Londres nous sommes partis à la découverte de l’Écosse.

Malheureusement, nous avons tardé et tardé encore à rédiger et à publier nos textes détaillés. Mais voilà, c’est fait.

Nos récits sont agrémentés de nombreuses photos, rendant ainsi nos découvertes en Écosse inoubliables !

Pour ceux qui sont intéressés de les lire, voici les liens à nos « histoires » :

Photo ci-dessus : Nous voici à Carter Bar, au « Border View Point », la frontière entre l’Angleterre et l’Écosse. L’endroit est situé à une altitude de 418 mètres dans les monts Cheviot. Selon notre guide : « Carter Bar est considéré comme le plus beau passage entre ces deux provinces du Royaume-Uni. »

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Art public – « La croix du mont Royal » (Pierre Ayot)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 18e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Croix du mont Royal, Pierre Ayot, Montréal, Québec

Montréal, Québec, mercredi 26 octobre 2016 – Le quotidien Le Devoir a beaucoup parlé au cours des derniers mois de l’installation d’une réplique de « La croix du mont Royal » de l’artiste québécois Pierre Ayot sur l’avenue du Parc devant le couvent des Religieuses hospitalières de Saint-Joseph. Ces textes ont piqué ma curiosité, si bien que je me suis rendu sur la montagne pour admirer l’œuvre.

L’œuvre originale d’Ayot a été victime de censure, tout comme toutes les autres œuvres de l’exposition Corridart en 1976, alors que l’administration du maire Jean Drapeau avait fait démanteler l’exposition… à la veille des Jeux olympiques prétextant « que les œuvres exposées contrevenaient aux règlements de la Ville concernant l’occupation du domaine public, et que certaines d’entre elles étaient indécentes et représentaient un danger pour la sécurité publique ! »

Dans le cadre d’une rétrospective majeure sur Pierre Ayot tenue dans plusieurs lieux à Montréal, Nicolas Mavrikakis, commissaire et critique d’art, a souhaité réactualiser cette œuvre, dont tout le monde a entendu parler, mais que personne n’a jamais vue.

Or, 40 ans plus tard, l’œuvre d’Ayot est encore victime de censure, cette fois-ci de la part du maire Coderre « qui estime que le site choisi pour exposer l’œuvre, soit devant le mur du couvent des Religieuses hospitalières de Saint-Joseph, ne convient pas ! »

Et le maire Coderre n’y va pas de main morte, annonçant qu’il retire la subvention de 10 000 $ promise au projet, et ce, même si les responsables ont obtenu toutes les autorisations et respecté toutes les conditions qui leur étaient imposées.

Mais finalement, le maire de la métropole a donné son aval au projet… après que les responsables du projet aient rencontré les religieuses qui se sont montrées réceptives à l’installation de l’œuvre d’art.

Une véritable tempête dans un verre d’eau !

Photo ci-dessus : « La croix du mont Royal », une réplique de l’œuvre de 1976 de l’artiste québécois Pierre Ayot, mort accidentellement en 1995 à l’âge de 52 ans.

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Nov/16
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Art public – « Monument Sir George-Étienne Cartier » (Montréal)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 17e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Monument George-Étienne Cartier, Montréal, Québec

Montréal, Québec, mercredi 26 octobre 2016 – Lors d’une promenade sur le mont Royal, nous avons eu la chance d’admirer le monument de George-Étienne Cartier sur la montagne montréalaise, face au parc Jeanne-Mance

Les sculptures et leur socle brillent de tous leurs feux, ayant subi une restauration majeure de 2005 à 2008.

Commandé pour célébrer le centième anniversaire de naissance de George-Étienne Cartier en 1914, le monument ne fut inauguré qu’en 1919 en raison de la Première Guerre mondiale.

L’imposant monument est l’œuvre du sculpteur québécois George William Hill (1862–1934). Il est haut de 30 mètres et comporte 18 personnages en bronze !

Une plaque commémorative nous indique qui était Sir George-Étienne Cartier. On peut y lire : « Avocat et homme d’État. Il s’engage tôt dans le mouvement des Patriotes et prend une part active aux conflits de 1837-1838, notamment à la bataille de Saint-Denis-sur-Richelieu.

Après un exil forcé aux États-Unis, il se fait élire en 1848 dans Verchères, comme député de l’Assemblée législative du Canada Uni.

Chef du Parti conservateur pendant 25 ans, premier ministre conjoint du Canada avec John Alexander MacDonald de 1858 à 1862. Il contribue de façon importante à la Confédération canadienne. »

Cartier a déjà mentionné ce qui suit : « Pour assurer notre existence, il faut nous cramponner à la terre, et léguer à nos enfants la langue de nos ancêtres et la propriété du sol. »

Photo ci-dessus : L’imposant monument de George-Étienne Cartier est haut de 30 mètres et compte pas moins de 18 statues en bronze.

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Art public – « La liseuse » de Rose-Aimée Bélanger!

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 16e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

La liseuse, Québec, Québec

Québec, Québec, jeudi 20 octobre 2016 – Il pleut légèrement sur Québec ! Nous sommes vraisemblablement sur les derniers pas d’une belle promenade qui nous a menés sur la Grande Allée, sur la rue Saint-Louis, sur la terrasse Dufferin, sur les Plaines d’Abraham et finalement de nouveau sur la magnifique rue Grande Allée, où nous marchons actuellement tout près de notre hôtel « Le Concorde », mais à l’opposé de l’édifice du Parlement.

Sur la pelouse d’une bâtisse, nous apercevons une belle sculpture représentant trois femmes bien en chair, une œuvre qui nous fait penser à celles du sculpteur colombien Fernando Botero. Mais non, les trois femmes que nous voyons ne sont pas de sa main. Elles sont de celles d’une artiste de chez nous, Rose-Aimée Bélanger, une dame aujourd’hui âgée de 93 ans.

L’œuvre que nous admirons, une sculpture en bronze intitulée « La liseuse », date de 2011 !

Nos recherches en vue de rédiger ce texte nous ont appris qu’une autre œuvre de l’artiste, « Les Chuchoteuses », est installée rue Saint-Paul à Montréal. Nous nous y rendrons prochainement.

Photo ci-dessus : « La liseuse », une sculpture de bronze de Rose-Aimée Bélanger réalisée par l’atelier du bronze d’Inverness en 2011, prend place devant le 500 Grande Allée Est à Québec.

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Art public – « La fontaine de Tourny » (Québec)!

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 15e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Fontaine de Tourny, Québec, Québec

Québec, Québec, jeudi 20 octobre 2016 – En 2007, quelques semaines après son installation devant l'édifice du Parlement, nous nous sommes rendus à Québec pour admirer la fontaine de Tourny. Puis aujourd'hui, à l'occasion de notre passage à Québec pour visiter l'hôtel du Parlement, nous retrouvons de nouveau ce superbe monument offert à la ville de Québec par la Maison Simons!

Rappelons que la fontaine de Tourny a été acquise par la Maison Simons en 2003 pour la somme de quatre millions de dollars canadiens. Simons l'a fait restaurer et l'a offerte à la Ville de Québec pour son quatre centième anniversaire.

Initialement, la fontaine de Tourny avait été installée à Bordeaux en 1857! En fait, elle faisait partie d'un groupe de deux fontaines identiques qui ont été mises au rancart en 1960 en raison des frais d'entretien requis pour les maintenir en activité.

Photo ci-dessus : La fontaine de Tourny prend place au centre du carrefour giratoire de l'avenue Honoré-Mercier, devant l'hôtel du Parlement à Québec! Elle mesure près de 7 mètres de hauteur et fait 4 mètres de diamètre!

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Art public – Au seuil d’un siècle (Pascale Archambault)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 14e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Au seuil d'un siècle, Québec, Québec Québec, Québec, jeudi 20 octobre 2016 – Nous nous trouvons face à l'hôtel du Parlement du Québec sur le boulevard René-Lévesque. Nous sommes sur la «promenade Desjardins» entre le Centre des congrès et l'hôtel Hilton, où prend place un magnifique monument en bronze intitulé «Au seuil d'un siècle», une oeuvre de l’artiste sculpteure Pascale Archambault rendant hommage à Alphonse et Dorimène Desjardins.

Le monument a été érigé le 28 mars 2008 à l'occasion du 400e anniversaire de la fondation de Québec.

Soulignons toutefois que ce monument est une réplique, le monument Alphonse-et-Dorimène-Desjardins original ayant été élevé sur le campus Desjardins, à Lévis en juin 2000 à l'occasion des fêtes soulignant le centenaire du Mouvement Desjardins.

Photo ci-dessus : Un très beau monument de l'artiste Pascale Archambault qui honore la mémoire d'Alphonse et Dorimène Desjardins!

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Art public – « Le Quatuor d’Airain » (Lucienne Cornet)

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements ! Voici le 13e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Le Quatuor d'Airain, Québec, Québec

Québec, Québec, jeudi 20 octobre 2016 – Devant l'entrée du Centre des congrès de Québec, face de l'hôtel du Parlement du Québec sur le boulevard René-Lévesque, prend place un magnifique ensemble de sculptures, une oeuvre intitulée « Le Quatuor d'Airain ».

Quatre animaux fantastiques de bronze et de granit sont à bondir. L'ensemble crée un mouvement parfaitement palpable. C'est comme si l’énergie de l'un se transmettait aux autres!

L'oeuvre est de l'artiste québécoise contemporaine Lucienne Payan-Cornet et a été inaugurée en 1996.

Photo ci-dessus : Dès le premier regard… on sent le mouvement!

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