Juil/060
Plaisirs d’été
Texte et photos Jacques Lanciault
Laval, 27 juillet 2006 - En juillet, le mercure a souvent dépassé les 30 degrés Celsius. Beau ciel bleu, soleil brillant, douce chaleur; toutes conditions réunies pour profiter de l’été. Durant ce bref vrai été, notre petit-fils Félix nous rendait visite. Nous avons donc partagé avec lui les plaisirs de la baignade. Tantôt dans une petite piscine conçue spécifiquement pour les ébats des jeunes enfants de son âge que nous avons installée dans la cour arrière de notre maison, en d’autres temps à la pataugeoire municipale de notre quartier. Séances de crémage, baignades rafraîchissantes, pauses soleil et même de la grande visite : le bonhomme de neige. Que de plaisirs!
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Juil/060
Félix au parc safari d’Hemmingford… : Oui, intéressant les animaux, mais craquante est la crique magique
Texte et photos Jacques Lanciault
Hemmingford, Québec, lundi 17 juillet 2006 - En visite au Parc Safari de Hemmingford, Félix, 18 mois et demi, visitait un jardin zoologique pour la première fois de sa courte vie. La surprise se lisait sur son visage lorsque les zèbres, les girafes, les bisons ou encore les chèvres passaient leur tête dans la fenêtre de la voiture pour venir se régaler des carottes qui leur étaient offertes. Mais, une heure de ce petit manège a largement satisfait sa curiosité. D’ailleurs, s’il n’avait pas eu la chance durant le parcours de s’installer au volant du véhicule automobile de ses parents, sur les genoux de son père, il aurait vraisemblablement trouvé le temps long. On ne peut toutefois pas en dire autant de sa visite à la crique magique : il s’y est tellement amusé que malgré une chaleur suffocante, nous adultes sommes restés au gros soleil à s’émerveiller de le voir gambader dans l’eau.
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Juil/060
« Mon terrain de jeu n’a plus de frontière » – Félix
Photos, propos recueillis et traduits par Jacques Lanciault
Déjà, j’ai un peu plus de 18 mois. C’est complètement fou comment mon goût de la découverte ne semble jamais être rassasié. Maintenant, que je peux aller partout en marchant, en courant ou en grimpant, à présent que je suis capable de communiquer mes désirs ou mes besoins soit avec des gestes, soit avec des mots, je ne peux imaginer de limites à ma progression.
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