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Cádiz : la Plaza de la Constitución, l’ancienne cathédrale et l’Oratorio de la Santa Cueva!

Texte, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 89e d’une longue série de reportages relatifs à une étourdissante odyssée en Andalousie et en Algarve, un voyage à quatre que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal au printemps 2014

Oratorio de la Santa Cueva, Cádiz, Andalousie, Espagne

Cádiz, Espagne, jeudi 5 juin 2014 - Déjà notre dernière journée de visites à Cádiz. Demain, nous quittons l’Espagne pour Faro au Portugal. Il est vrai que trois petites journées pour découvrir Cádiz, ça passe vite.

Notre hôtel étant situé sur la plage de la Victoria, donc un peu à l’écart du centre historique de Cádiz, nous devons prendre l’autobus pour nous rendre sur les lieux de nos visites. Nous descendons à deux pas de la Plaza de San Juan de Dios, alors que pour une des rares fois depuis le début de notre périple en Andalousie, le ciel est nuageux!

De là nous prenons la direction de la Plaza de la Constitución, là où se trouve la puerta de Tierra, l’une des trois portes qui demeurent encore des remparts du XVIe siècle. Elle a été construite au XVIIIe siècle par l’architecte Torcuato Cayón.

Puis, nous retournons vers la cathédrale Santa Cruz que nous avons visitée hier, et ce, pour voir dans l’ancienne cathédrale, celle qui a été initialement érigée en 1260. Celle-ci est de taille plus modeste que la nouvelle.

Nous continuons nos visites en nous rendant à l’Oratorio de la Santa Cueva. Une toute petite église-musée qui s’étale sur trois étages.

Photo ci-dessus : Trois magnifiques toiles de Francisco de Goya (1746-1826) décorent la chapelle haute de « l’Oratorio de la Santa Cueva »… dont celle-ci, « La última cena », « La dernière Cène », où le Christ et ses apôtres sont assis au sol!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N. B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

À notre réveil ce matin, à 7 h 30, nous constatons que le ciel est complètement couvert de nuages, une situation qui a été plutôt rare au cours de nos 38 derniers jours… en Andalousie!

Nous rejoignons nos amis Carole et Claude à la réception de l’hôtel à 9 heures, et nous filons vers l’arrêt de l’autobus qui nous amènera au centre du vieux Cádiz.

Assez curieusement, même si nous sommes face à la mer, il n’y a pas de vent ce matin.

Comme hier, nous descendons de l’autobus à la Plaza de San Juan de Dios et prenons place sur la terrasse du restaurant El Jardino pour le petit-déjeuner. Au menu, croissants et cafés pour nous quatre (21 €).

Nous repartons à 10 heures et filons vers l’océan. Nous nous arrêtons à la gare pour prendre connaissance des horaires du train Cádiz-Séville que nous prendrons demain matin.

Puis, nous prenons la direction de la Plaza de la Constitución dans le but d’admirer de près la puerta de Tierra, que nous avons entrevue lors de notre tour de ville en Bus Turístico.

Sur notre route, tout près de l’ancienne usine de tabac, maintenant convertie en palais des congrès, nous nous arrêtons devant un très beau monument en bronze.

Il s’agit du Monumento a La Cigarrera, un monument en bronze montrant deux femmes fabriquant des cigares. L’œuvre a été sculptée dans les années 1960 par l’artiste Celso Escamilla.

Monumento a La Cigarrera, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : En route pour la « Plaza de la Constitución. », nous croisons ce très beau monument… Il n’y a aucune affiche pour l’identifier, mais nos recherches sur Internet nous ont appris qu’il s’agissait du « Monumento a La Cigarrera ».

La Puerta de Tierra
Nous arrivons sur l’immense Plaza de la Constitución. Il s’agit en fait d’un grand rond-point qui s’ouvre sur la Puerta de Tierra.

La Puerta de Tierra constitue l’une des pièces maîtresses du système défensif articulé dans la ville de Cádiz à l’époque moderne. Son origine remonte au XVIe siècle. L’apparence actuelle de la porte est le résultat de différentes phases de construction.

Puerta de Tierra, Cádiz, Andalousie, Espagne

Plaza de la Constitución, Cádiz, Andalousie, Espagne

Puerta de Tierra, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Une vue d’ensemble de la plaza de la Constitución fermée par la magnifique « Puerta de Tierra », elle qui a été érigée au XVIIIe siècle par l’architecte Torcuato Cayón (1725-1783). Elle ressemble plus à un retable d’autel qu’à une fortification militaire. De chaque côté du monument, des colonnes portent des statues des patrons de la ville de Cádiz : Saint-Germain et Saint-Servan. Concrètement, la porte sépare le quartier historique de Cadix de la ville moderne.

Puerta de Tierra, Cádiz, Andalousie, Espagne

Puerta de Tierra, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Sous la tour centrale qui préside la « Puerta de Tierra » et encadrant l’accès, s’élève le portail sculpté en marbre, conçu par l’ingénieur militaire José Barnola en 1756 et exécuté par l’architecte Torcuato Cayón. Il est articulé par deux paires de colonnes toscanes fixées au mur, présentant une inscription sur le linteau faisant allusion à la construction de la porte. Au-dessus, dans le grenier, se trouvent les armoiries de la ville et les armoiries royales.

En face de la Puerta de Tierra, nous pouvons admirer une grande structure métallique représentant un oiseau. Cette œuvre d’art a été installée en mai 2008 pour commémorer le 30e anniversaire de la signature de la constitution actuelle de l’Espagne, elle qui a été signée en 1978.

Puerta de Tierra, Cádiz, Andalousie, Espagne

Puerta de Tierra, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : La sculpture, une œuvre de Luis Quintero Brea (1953-2017), représente une cage, symbole de l’oppression dont la Constitution de 1978 a mis fin, sous la forme d’un oiseau, un symbole de liberté! Le monument est en acier inoxydable et a des dimensions de 9 mètres de haut sur 10 mètres de large. Sur son piédestal, l’article 1 de la « Magna Carta » est gravé.

Statue de Lucio Cornelio Balbo le Jeune, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un vestige romain que nous retrouvons tout au bout de l’avenue Amílcar Barca.… Il s’agit d’une statue représentant Lucio Cornelio Balbo le Jeune. Il était un militaire et homme politique hispanique de la famille de los Balbos, originaire de Cádiz.

Nous prenons la direction de la cathédrale et nous nous mettons à la recherche de l’Iglesia de Santa Cruz, en fait l’ancienne cathédrale!

La Perla de Cádiz, Cádiz, Andalousie, Espagne

La Perla de Cádiz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Avant d’arriver à la cathédrale, nous croisons cette sculpture d’Antonia Gilabert Vargas (1924-1975), mieux connue sous son nom de scène « La Perla de Cádiz ». Elle a été une chanteuse de flamenco tzigane espagnole.

Cathédrale, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Comme nous l’avons mentionné dans notre texte précédent, le dôme de la cathédrale de Cádiz est visible de partout en ville… en voici une belle preuve.

Sur la Calle del Mirador, nous passons devant la maison où est né en 1848, celui qui fut le plus grand créateur du chant flamenco, Francisco Antonio Enrique Jiménez Fernández.

Il y a un petit monument avec son buste et sur la maison une plaque en azulejos.

Buste de Enrique El Mellizo, Cádiz, Andalousie, Espagne

Buste de Enrique El Mellizo, Cádiz, Andalousie, Espagne

Buste de Enrique El Mellizo, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Le buste de Francisco Antonio Enrique Jiménez Fernández (1848-1906), connu dans l’art sous le nom d’Enrique El Mellizo.

Nous passons devant une église, l’Iglesia del Convento de Santa María, que nous aurions aimé visiter, mais elle est fermée.

Puis, nous voici devant l’Arco de los Blanco, un vestige d’une ancienne porte romaine.

Arco de los Blanco, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Le portique extérieur de l’Arco de los Blanco est à arcades en ogive. À l’époque, il donnait accès aux bouchers royaux.

Cathédrale, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une autre vue du dôme de la Cathédrale de Cádiz.

Tout juste avant d’arriver à la cathédrale, nous voyons un autre monument.

Fray Dominico de Silos Moreno, Cádiz, Andalousie, Espagne

Fray Dominico de Silos Moreno, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Une statue représentant l’évêque Fray Dominico de Silos Moreno… dont l’obsession était la fin de la construction de la cathédrale. Le peintre Javier de Urrutia (1803-1869) a créé un dessin de l’évêque avec, en main, les plans de la cathédrale alors en pleine construction. C’est le sculpteur sévillan Leoncio Baglieto qui a réalisé la sculpture en 1854.

L’ancienne cathédrale
Nous arrivons devant l’Iglesia de Santa Cruz, une église qui est en fait l’ancienne cathédrale de Cádiz!

Il s’agit d’un lieu chargé d’histoire! Selon la tradition, l’église fut édifiée sur l’emplacement d’une ancienne mosquée musulmane. Elle a été construite à la demande du roi Alphonse X Le Sage. Sa construction a commencé en 1238 et l’église a été consacrée en 1263.

Toutefois, elle a été incendiée en 1596 et réouverte en 1603!

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’ancienne cathédrale de Cádiz, nommée surtout par les locaux la « Catedral Vieja ».

Nous entrons.

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’ancienne cathédrale, l’Iglesia de Santa Cruz est de taille plus modeste que la nouvelle cathédrale. Elle affiche des colonnes en pierre brune, tandis que les murs et le plafond sont blancs.

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Le grand retable du maître-autel est une pièce maîtresse parmi les œuvres du baroque gaditan. Réalisée sur bois doré, cette œuvre fut dessinée et exécutée en 1640 par Alejandro de Saavedra, tandis que la décoration sculpturale est une réalisation de 1658 d’Alonso Martínez.

Il y a de très belles statues, toutefois il n’y a aucune indication nous informant du titre ou des auteurs des œuvres.

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une superbe Vierge et son fils.

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Un Christ pour le moins curieux.

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un Christ portant sa croix… avec des statues de la Vierge Marie à gauche et probablement Sainte Véronique à droite, puisqu’elle semble tenir en main le « Saint Suaire ».

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une Vierge Marie en pleurs.

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un Christ en croix… Sa mère en pleurs devant et un autre saint à droite.

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un magnifique cercueil en argent et en verre avec un Christ couché à l’intérieur.

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’autel de la « Virgen de la Soledad », la « Vierge de la Solitude ».

Iglesia Santa Cruz, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un magnifique tableau de l’assomption de la Vierge Marie… son ascension miraculeuse au Ciel.

Nous sortons alors que les nuages ont disparu… Nous avons droit à un beau et chaud soleil.

Entre les deux cathédrales, il y a un mirador! Il se nomme d’ailleurs El Mirador entre Catedrales! Nous y montons.

Mirador entre Catedrales, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Le « Mirador entre Catedrales » est une construction de l’architecte Alberto Campo Baeza (1946- ). Le résultat est une structure qui, en plus de servir de revêtement pour protéger le site archéologique sous-jacent, est une terrasse panoramique avec vue sur la mer. (Photo provenant d’Internet)

Nous redescendons, poursuivons notre promenade, nous arrêtant devant la casa de la Almirante… qui semble abandonnée, puis devant la Casa de las Cadenas.

Cette dernière maison, un ancien palais du XVIIe siècle, est actuellement le siège des « Archives historiques provinciales de Cádiz. Elle a été entièrement rénovée en 1987 par les architectes Cruz y Ortiz pour justement abriter le siège des Archives.

Casa de las Cadenas, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : La Casa de las Cadenas était autrefois la maison privée d’un marchand du XVIIe siècle, le portugais D. Diego Barrios de la Rosa. Il a fait construire sa maison en hommage au Saint-Sacrement! Au cours de ses trois siècles d’existence, elle n’a pas seulement été une maison privée, elle a également été utilisée aussi comme magasin de tissus, comme hôtel, comme restaurant, comme couvent et même comme entrepôt.

L’Oratorio de la Santa Cueva
Nous arrivons finalement devant l’édifice abritant l’Oratorio de la Santa Cueva. Nous y entrons et payons 3 € chacun.

On nous remet un feuillet en français présentant le lieu.

On y apprend que « l’Oratorio de la Santa Cueva » appartenait à la « Congrégation de la Retraite spirituelle», elle qui a vu le jour à Cádiz vers 1730. 

« C’est un des membres de cette congrégation, le marquis de Valde-Íñigo, qui a utilisé une grande partie de la fortune familiale, issue du commerce avec le Mexique, pour la construction de l’oratoire actuel. »

L’intérieur est divisé en deux zones, une partie souterraine dédiée à la passion et à la mort du Christ, et une chapelle supérieure dédiée à l’exaltation de l’Eucharistie.

Nous descendons dans la chapelle basse, elle qui date de 1783. Elle a été conçue par Torcuato Cayón comme une enceinte austère propice aux pratiques pénitentielles…

Oratorio de la Santa Cueva, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : La chapelle basse est dépouillée de toute décoration. La pièce est dominée par un calvaire. Au pied du Christ en croix, cinq personnages sont représentés : La Vierge Marie, saint Jean l’évangéliste, sainte Marie-Madeleine, sainte Marie-Cléophas et sainte Marie Salomé. Le groupe sculptural réalisé dans la deuxième partie du XVIIIe siècle est une œuvre des sculpteurs Juan Gandulfo et Jácome Vaccaro.

Nous remontons et accédons à la chapelle haute… qui affiche une richesse décorative impressionnante, un contraste intentionnel avec la zone pénitentielle d’où nous arrivons.

Cette chapelle a été achevée en 1796 et elle est l’œuvre de Torcuato Benjumeda (1757-1836).

Oratorio de la Santa Cueva, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’autel de la chapelle haute est doté d’un magnifique retable où le tabernacle est à six colonnes corinthiennes d’argent à l’intérieur et de jaspe à l’extérieur.

Dans la partie supérieure de la chapelle haute, des toiles en demi-cercle se distinguent par leur importance artistique.

Oratorio de la Santa Cueva, Cádiz, Andalousie, Espagne

Oratorio de la Santa Cueva, Cádiz, Andalousie, Espagne

Oratorio de la Santa Cueva, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Trois des toiles que nous pouvons admirer sont des œuvres de Francisco de Goya. Elles présentent : “La multiplicación de los panes y los peces”, c’est-à-dire “La multiplication des pains et des poissons”, “La parábola de los convidados a la boda”, soit “La parabole des invités au mariage” et finalement “La última cena”, “La dernière Cène”.

Oratorio de la Santa Cueva, Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : La chapelle haute est aussi décorée de beaux bas-reliefs, dont celui-ci.

Nous sortons à 12 h 35 et entrons dans l’Iglesia de San Agustín, sise tout à côté.

Elle a été construite dans la première moitié du XVIIe siècle. C’est une église en croix latine avec trois nefs. Elle est petite et sobre avec murs et un plafond blanc.

Le retable est en bois, orné de statues dont une est jolie, éclairée.

Des confessions sont en cours et une dame est à préparer l’autel pour le début d’une messe.

Nous sortons.

Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Nous marchons sur une jolie petite “calle”.

Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Finalement, avant de nous arrêter pour dîner, nous croisons sur la “plaza San Francisco” où il y a une “Tour clocher”, celle du « convento de San Francisco ».

Cádiz, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Nous pouvons également admirer cette belle tour, qui fait également partie du « convento de San Francisco ».

Nous nous rendons sur la Plaza de Mina, où la végétation est luxuriante.

Il est 13 h 15, lorsque nous nous installons sur la terrasse de la Cervecería Miguel Ángel, pour dîner.

Vin blanc et bière en apéritif, pâte bolognaise et tortilla espagnole pour Céline et salade méditerranéenne avec poisson pour moi. Tout est délicieux (40 €).

Ainsi se terminent nos visites à Cádiz. Nous revenons finalement à l’appartement 15 h 35 et, après un petit repos, nous préparons nos valises pour notre départ de demain.

En soirée, nous retrouvons Carole et Claude dans le hall et allons souper dans un restaurant des alentours.

À suivre
Journée rocambolesque de transport… Cádiz - Séville - Faro, au Portugal!

Marina, Faro, Portugal

Photo ci-dessus : Après une journée de vives émotions dans les transports, il faisait bon, en soirée, de regarder de notre balcon de chambre d’hôtel la magnifique et paisible petite marina de Faro au Portugal.

Pour lire nos autres textes portant sur notre périple en Andalousie et en Algarve que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal, cliquez sur le lien suivant : Douce chaleur andalouse

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