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Des « ho » et des « ha » devant les œuvres sublimes au Musée des beaux-arts de Séville!

Texte, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 76e d’une longue série de reportages relatifs à une étourdissante odyssée en Andalousie et en Algarve, un voyage à quatre que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal au printemps 2014

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Séville, Espagne, mercredi 28 mai 2014 - Journée riche en découvertes aujourd’hui à Séville!

Tout d’abord la plaza de Toros de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla et de son petit, mais très intéressant musée. Puis la Torre del Oro et la vue sur Séville de son sommet et pour terminer la matinée, le somptueux édifice de l’Hospital de la Caridad.

Finalement, nous terminons notre journée de visites par une longue déambulation dans le magnifique « Musée des beaux-arts de Séville », lui qui cache ses innombrables chefs-d’œuvre dans l’ancien couvent de la Merced, un édifice bâti entre 1603 et 1672. Le musée n’y prend place toutefois que depuis 1841.

Photo ci-dessus : Bartolomé Esteban Murillo a réalisé un grand nombre d’Immaculée-Conception durant sa carrière. Ici il en a représenté une dans un tableau octogonal. L’œuvre intitulée « Inmaculada » date de 1670.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N. B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Pour nous rendre au Museo de bellas artes de Sevilla, le Musée des beaux-arts de Séville… rien de plus facile. De notre appartement, nous n’avons qu’à traverser la rue. En effet, notre appartement est situé sur la calle de Alfonso XII, tout juste en face du musée!

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’entrée principale du musée est située sur la « plaza del Museo », là où nous avons eu la chance, il y a quelques jours, d’admirer le monument à Bartolomé Esteban Murillo. La façade principale est une œuvre de l’architecte Balbino Marrón (1812-1867).

Comme nous l’avons indiqué en introduction, le « Musée des beaux-arts de Séville » a été inauguré au milieu de XIXe siècle dans un magnifique bâtiment, l’ancien couvent de la Merced Calzada de la Asunción… entièrement reconstruit entre 1603 et 1672.

Les moines ont été expulsés en 1835 et leur couvent, tout comme les biens ecclésiastiques, ont été confisqués par la couronne lors de la desamortización, dont nous avons déjà parlé.

La collection du musée s’est principalement alimentée, tout au long de son histoire, de biens ecclésiastiques confisqués, de donations privées et d’acquisitions publiques.

Ses nombreuses salles permettent de contempler de brillants chefs-d’œuvre de peintres tels que Pacheco, Velázquez, Zurbarán ou Alonso Cano, entre autres.

Parmi les points forts de l’exposition, mentionnons l’espace consacré à Murillo et à l’école sévillane du XVIIe siècle et les tableaux religieux de Zurbarán.

La qualité des œuvres que le musée présente lui vaut d’être considéré aujourd’hui la deuxième pinacothèque d’Espagne… après le Musée du Prado, évidemment.

Nous y entrons à 14 h 45… après avoir payé la somme de 1,50 €.

Nous pénétrons dans une cour intérieure, un patio où il y a un puits et un bassin.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un bassin où sous les nénuphars nagent des poissons.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un puits prend place dans cette belle cour intérieure.

Nous entrons dans une première salle de l’exposition permanente. Une pièce consacrée à l’art médiéval espagnol.

Voici nos photos des œuvres qui nous ont le plus impressionnés!

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’une des plus belles œuvres de Pedro Millán est ce groupe intitulé « Llanto sobre Cristo Muerto », ce qui peut se traduire par « Pleurs sur la mort du Christ ». Les personnages prennent place sur un sarcophage où l’on remarque sur la partie frontale, entre les symboles de la passion et les fleurs de chardon, la signature de l’artiste en lettres gothiques. Ce sarcophage aurait été réalisé en 1490 et il provient de la « cappilla de San Loreano ».

Nous passons à la deuxième salle, elle qui se consacre aux arts de la Renaissance.

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Photos ci-dessus : Une magnifique Vierge à l’enfant, une « Virgen con el niño », une sculpture datant de 1561 et réalisée par l’artiste flamand Roque Balduque (????-1561).

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Photo ci-dessus : Une toile intitulée « Le jugement dernier », une œuvre du peintre flamand Martin de Vos (1532-1603). La toile, datant de 1570, provient du retable de la Rédemption du « convento de San Agustín de Sevilla ».

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Photo ci-dessus : Une sculpture intitulée « Virgen de Belén », c’est-à-dire « Vierge de Bethléem », une œuvre probablement réalisée en 1525 par l’artiste italien Pietro Torrigiano (1472-1528). Elle provient du « Monasterio de San Jerónimo de Buenavista ».

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Photo ci-dessus : Et du même artiste, Pietro Torrigiano, nous avons la chance d’admirer ce magnifique « Saint Jérôme pénitent »… qui provient également du « Monasterio de San Jerónimo de Buenavista ».

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Photo ci-dessus : Un très beau portrait du frère (Fray) Hortensio Félix de Paravicino (1580-1633), un religieux de l’ordre de la Sainte Trinité reconnu comme un grand poète. La toile a été réalisée par un disciple de El Greco (1541-1614).

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Photo ci-dessus : Une des cinq toiles du peintre Miguel Adán (1532-1610) réalisées pour le retable de « San Juan Bautista » du « monasterio de las Dueñas » de Séville.

Nous entrons dans la salle numéro III où sont rassemblées des œuvres issues du mouvement artistique nommé « Le maniérisme ».

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Photo ci-dessus : Une toile de l’artiste Francisco Pacheco (1564-1644) intitulée « Desposorios Místicos de Santa Inés », une œuvre réalisée en 1628. On y voit Jésus enfant offrir une bague à sainte Agnès.

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Photo ci-dessus : Un portrait du peintre espagnol Diego Velázquez (1599-1660) intitulé « Cabeza de apóstol », se qui signifie « Tête d’Apôtre ». La toile qui est prêtée par le Musée du Prado aurait été réalisée vers 1619-1620.

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Photo ci-dessus : Une sculpture dans un tableau… intitulée « Asunción », une œuvre de 1601 de l’artiste Juan de Oviedo el joven (1565-1625). L’œuvre provient du « Convento de las Monjas de la Pasión », à Séville.

Nous sortons et arrivons dans un autre patio.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne
Photo ci-dessus : De l’extérieur nous pouvons admirer l’architecture des édifices du musée.

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Photo ci-dessus : Le patio est aménagé en véritable jardin!

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Photo ci-dessus : Un magnifique relief en bronze réalisé en 1893 par Antonio Susillo (1857-1896) et intitulé en espagnol « Presentación de Colón a los Reyes Católicos en el Salón del Tinell de Barcelona », ce qui signifie en français « Présentation de Colomb aux Rois Catholiques au Salón del Tinell à Barcelone ». L’œuvre commémore le retour de Colomb de son quatrième voyage en Amérique.

Nous entrons dans la salle V du musée, elle qui occupe l’ancienne église du couvent de la Merced. Sa hauteur est vertigineuse et le plafond superbement décoré de peinture très coloré.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

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Photos ci-dessus : La magnifique coupole de l’ancienne église du couvent de la Merced.

Il y a plusieurs toiles sur les murs.

Nous montons l’escalier impérial datant de1612 et qui divise les deux patios du rez-de-chaussée.

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Photo ci-dessus : Nous empruntons un très bel escalier.

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Photo ci-dessus : Et marchons sous un magnifique plafond.

Nous arrivons dans une salle consacrée aux œuvres de Bartolomé Esteban Murillo (1618-1682) et de ses disciples.

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Photo ci-dessus : Une toile exceptionnelle de Bartolomé Esteban Murillo. Elle est titrée « Santa Justa y Santa Rufina » et a été réalisée vers 1666. Le tableau mesure 200 cm de haut sur 176 cm de large. Sainte Justa et Sainte Rufina sont deux sœurs nées à Séville en 268 et 270 et toutes deux mortes en 287. Elles sont vénérées comme saintes par l’Église catholique et par l’Église orthodoxe.

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Museo de Bellas Artes, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : « Adoración de los pastores », en français, « L’adoration des bergers »… une superbe toile datant de 1668-1669 du peintre espagnol Bartolomé Esteban Murillo.

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Photos ci-dessus : « L’Anunciación »! Dans cette toile de l’Annonciation, l’archange Saint Gabriel apparaît annonçant à la Vierge Marie qu’elle sera la mère du Messie. Une toile peinte par Murillo en 1668 et 1669.

Le Musée des beaux-arts de Séville a le privilège d’avoir en sa possession quatre « Immaculée-Conception » créées par le grand Bartolomé Esteban Murillo dans sa collection.

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Photo ci-dessus : « Inmaculada », dite « La colossale » réalisée vers 1650, une des Immaculée-Conception de Murillo. La Vierge est monumentale, élevée sur une pleine lune brouillée par la brume vaporeuse et illuminée par la lumière dorée qui l’entoure.

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Photo ci-dessus : Une « Immaculée Conception » provenant de l’atelier de Murillo.

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Photos ci-dessus : Murillo présente ici dans un tableau octogonal les traits traditionnels de l’Immaculée Conception : une jeune femme aux cheveux longs, une tunique blanche et un manteau bleu froncé sur son épaule. Elle est couronnée de douze étoiles et à ses pieds plusieurs anges tiennent la base. L’œuvre intitulée « Inmaculada » date de 1670.

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Photos ci-dessus : Une autre toile de Murillo, celle-ci intitulée « Dolorosa », une œuvre de 1665.

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Photo ci-dessus : Une sculpture intitulée, tout comme la toile précédente « Dolorosa ». Celle-ci est une réalisation de Pedro de Mena (1628-1688).

Dans une autre salle, il y a des œuvres de Juan de Valdés Leal (1622-1690), dont nous avons admiré quelques réalisations ce matin dans l’église de l’Hospital de la Caridad.

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Photo ci-dessus : La toile « La Asunción de la Virgen » a été réalisée entre 1670 et 1672 par Juan de Valdés Leal pour l’église du couvent des Augustins de San Agustín à Séville.

Nous sommes maintenant dans la salle X qui se consacre à la peinture baroque européenne. On y retrouve essentiellement des œuvres flamandes et italiennes.

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Photo ci-dessus : « Le Paradis terrestre » de Jan Brueghel dit « de velours » (1568-1625). Cette œuvre est significative d’un type de paysage flamand qui apparaît à la fin du XVIe siècle. Dans celui-ci, la vue panoramique disparaît pour attirer l’attention sur le premier plan. Insérées dans un fond d’arbres luxuriants, les figures nues d’Adam et Eve apparaissent entourées d’animaux, certains d’entre eux sont mythologiques. En arrière-plan, à droite, le paysage s’ouvre sur un lac, autour duquel sont disposés d’autres animaux. La minutie de la facture se distingue par des détails d’une grande beauté qui nous rapprochent de la miniature.

Les Brueghel constituent une dynastie de peintres flamands importants.

La toile ci-dessus est de Jan Brueghel dit « de velours ». Il est le second et plus jeune fils de Pieter Brueghel l’Ancien, Jan aurait reçu le sobriquet de « velours », pour son exceptionnelle maîtrise des fondus et des dégradés.

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Photo ci-dessus : Une sculpture datant de 1623 intitulée « Virgen de las Cuevas ». Elle est de l’artiste Juan de Mesa (1583-1627) et provient du « Monasterio de Santa María de las Cuevas ». L’œuvre est haute de 137 cm.

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Photo ci-dessus : « El niño de la espina », une œuvre de 1645 de Francisco Zurbaran (1598-1664). Cette toile, pleine de sens allégorique subtil, représente l’un des sujets préférés de Zurbarán : la Maison de Jésus à Nazareth. La scène nous présente un Enfant Jésus adolescent, d’une beauté angélique. Il apparaît assis, sur un banc, la tête légèrement inclinée, regardant pensivement son index dans lequel une épine de la couronne qu’il tisse vient de pénétrer.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

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Photos ci-dessus : « Santo Domingo de Guzman pénitent », une sculpture de Juan Martínez Montañés (1568-1649) qui a représenté le saint à genoux, nu jusqu’à la taille, avec son habit baissé, dans une attitude pénitente. il tient dans sa main gauche un crucifix et dans sa droite un fouet avec lequel il se fouette le dos. L’œuvre a été réalisée entre 1605 et 1609. La sculpture provient du retable du maître-autel du « Convento de Portaceli ».

En regardant les yeux du saint, nous avons l’impression qu’ils bougent pour nous regarder.

Nous arrivons dans une salle où les toiles ne sont plus nécessairement religieuses. On y retrouve des scènes de flamenco…

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une très très belle toile intitulée « Baile en una caseta de feria ». Elle est de Manuel Cabral Aguado-Bejarano (1827-1891). On y voit une scène de danse à l’intérieur d’un stand de foire, qui s’ouvre sur l’extérieur. Toute la fête s’organise autour de la figure de la femme, qui apparaît assise, vêtue d’une jupe à volants et d’une mantille, tandis que le reste des personnages, des hommes, dansent, boivent et applaudissent autour d’elle. Au premier plan, un personnage joue de la guitare.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un portrait de Irene Jimenez réalisé en 1889 par l’artiste-peintre sévillan José-Jimenez Aranda (1837-1903).

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une très belle image de Séville! La toile s’intitule « Vista de Sevilla 1893 » et elle est l’œuvre de Nicolás Jiménez Caballero Alpériz (1865-1928).

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne
Photo ci-dessus : Portrait de María Roy en 1890, une toile de Gonzalo Bilbao (1860-1938). Ce portrait d’une grande beauté est dédié à l’épouse du peintre. Celle-ci apparaît allongée sur un divan enveloppé de fourrure blanche. La figure émerge sur un fond sombre qui accentue encore l’élégance de la scène.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une magnifique toile de 1913 de José Villegas Cordero (1844-1921) titrée « La Muerte del Maestro ». La scène de grand drame se distribue en deux parties : à gauche le défunt est allongé sur le lit et un prêtre prie… et à droite prennent place les amis du torero. L’expressivité dans les visages et les attitudes des personnages montrent la désolation et le désespoir à la mort de leur maître!

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : « La Pescadora », c’est-à-dire « La pêcheuse », une superbe toile de 1885 de Rafael Senet (1856-1926). La femme apparaît à contre-jour sur un fond marin et dans un instant que l’on pourrait considérer comme « de grâce » pour un photographe.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : « Sevillana en su patio », une œuvre de 1918 de Diego López (1876-1969). Il s’agit d’un portrait d’une femme allongée sur un canapé. elle affiche des traits andalous, des yeux et des cheveux noirs, avec un peigne sur la tête et une robe blanche avec une rose rouge à l’encolure et un éventail dans sa main gauche qu’elle laisse tomber détendue.

Le musée offre de belles grandes salles très bien aménagées.

Nous sommes enchantés de notre visite et achetons un petit livret présentant les principales œuvres de la collection permanente… d’où nos descriptions détaillées.

Il est 16 h 15 lorsque nous sortons… devant le monument à Murillo.

Museo de bellas artes de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Le monument au peintre Murillo a été inauguré en 1864. La sculpture est une œuvre de l’artiste madrilène Sabino Medina (1812-1888).

Nous retournons à l’appartement où nous partageons tous les quatre un agréable souper.

À suivre
Expédition en autobus à Jerez de la Frontera… une ville située à presque 100 km de la capitale de l’Andalousie. Jerez de la Frontera est mondialement reconnue pour ses chevaux de la Real Escuela Andaluza, son école royale d’art équestre, et pour son xerez, un vin que nous appelons chez nous « le sherry », mais que nous devrions nommer le xérès!

Cathédrale San Salvador, Jerez de la Frontera, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : La cathédrale San Salvador de Jerez de la Frontera, une immense église qui n’est plus utilisée pour la célébration du culte, et ce, puisqu’elle a été transformée en musée.

Pour lire nos autres textes portant sur notre périple en Andalousie et en Algarve que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal, cliquez sur le lien suivant : Douce chaleur andalouse

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