Le mot du jour : afeshienne

Textes et recherches de Jacques Lanciault

Je consigne ici le fruit de recherches sur le sens, l’étymologie, l’écriture ou encore la prononciation de certains mots ou expressions sur lesquels je bute, ou qui tout simplement suscitent ma curiosité au fil de mes lectures…

Lundi, 30 novembre 2020

Source de la recherche
Le paragraphe suivant tiré d’un texte de Mathieu Bock-Côté publié dans le quotidien Le Journal de Montréal du 26 octobre 2020 :

« Cette position, la jeunesse afeshienne de l’UQAM l’a encore faite sienne récemment. Dans sa récente prise de position, elle le disait clairement : “La liberté d’expression devrait nous permettre d’exprimer des opinions qui vont à l’encontre des pensées dominantes et de l’autorité. Le sexisme, l’homophobie, la transphobie et le racisme ne sont PAS de simples ‘idées qu’on déteste’. Ce sont des systèmes de domination. Les discours n’en sont qu’une manifestation, ils ne sont qu’un élément qui les compose”. Ce n’est probablement pas ce que Patrice Roy veut dire. Mais que veut-il dire? »

Définition
Évidemment, aucun de nos dictionnaires ne définit « la jeunesse afeshienne de l’UQAM ». Mais, nous en concluons que l’auteur fait référence aux étudiants de l’UQAM qui sont membres de l’Association Facultaire Étudiante de Sciences Humaines, soit l’AFESH.

Nous avons lu sur Internet que l’AFESH est une association facultaire uqamienne, un organe politique qui s’occupe de la défense des droits de toutes les étudiantes et de tous les étudiants d’une faculté, tant au niveau interne de l’UQAM qu’au niveau national. Celle-ci siège dans toutes les instances uqamiennes déterminant les orientations prises par l’Université et ses différentes composantes, ainsi qu’au sein de la faculté. C’est elle qui élit notamment la ou le délégué-e étudiant-e de la faculté à la Commission des études de l’UQAM!