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Août/16
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Art public – « Forgotten Memories »… de Mateo !

Texte, recherches et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays !

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements !  Voici le 9e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Forgotten Memories, Montréal, Québec

Laval, Québec, 17 août 2016 – À l’angle de la rue Beaubien et de la neuvième avenue à Montréal, sur le mur sud-ouest d’un petit commerce prend place une belle murale montrant un enfant heureux les deux bras au ciel !

L’œuvre qui date de 2013 est de l’artiste de rue Mateo, de son vrai nom Mathieu Bories, un Français d’origine ayant étudié à Montréal.

Photo ci-dessus : L’œuvre « Forgotten memories » de l’artiste Mateo que l’on peut admirer à l’angle de la rue Beaubien et 9e avenue est joyeuse !.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Forgotten Memories, Montréal, Québec

Forgotten Memories, Montréal, Québec

Forgotten Memories, Montréal, Québec

Photos ci-dessus : la murale «Forgotten Memories» que l’ont peut admirer en face du parc Beaubien à Montréal!

Nos recherches en vue d’identifier cette murale nous ont permis d’apprendre ceci au sujet de l’auteur, le tout provenant d'un texte publié sur le site d'Ici  Radio-Canada :

Mateo, l'artiste nomade

Mateo, de son vrai nom Mathieu Bories, est de passage à Montréal pour quelques semaines cet été. Une autre escale dans sa vie de voyageur, lui qui a décidé de vivre sa vie sans domicile permanent. Partout dans le monde, là où il pose sa valise pendant un temps, le Français d'origine sort ses cannettes de peinture et laisse sa marque sur les murs des villes.

« J'aime bien cette idée de laisser une trace de mon passage », confie-t-il. Enjoliver la ville, lui donner des couleurs, susciter des émotions, tel est l'un des buts poursuivis par Mateo.

À 29 ans, le jeune homme a surtout exploré l'Amérique du Sud, où il a souvent échangé le logis contre une oeuvre. Une façon de rester plus longtemps sur place à moindre coût.

Car la vie de bohême à travers le monde a un mauvais côté : celui d'une certaine instabilité financière. C'est le prix de la liberté, estime Mateo. « J'ai essayé de travailler de 9 à 5, dit-il, mais au bout d'un moment, ça m'a fatigué. »

À Montréal 
L'artiste a fait des études à l'Université du Québec à Montréal et a travaillé pour des entreprises de jeux vidéo et de publicité à Montréal. C'est chez nous qu'il a peint le plus grand nombre d'oeuvres murales, particulièrement dans le quartier Rosemont.

Texte publié sur le site d’ICI Radio-Canada.

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