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Alexandre Bédard poursuivra sa carrière au Colorado

Revue de presse

Richard Boutin, Le Journal de Québec, le 6 mai 2016

Alexandre Bédard Alexandre Bédard a obtenu la nouvelle tant souhaitée, hier.

L’inter des Canonniers de Québec a reçu une bourse pour s’aligner avec les Trojans du Trinidad State College, institution basée au Colorado. «Ça fait une couple de semaines qu’on se parlait et j’ai finalement reçu une offre, mercredi, a raconté Bédard. Je suis vraiment content. Je n’aurai qu’à payer ma nourriture et mes livres.»

Étudiant au cegep Garneau, Bédard voulait quitter pour les États-Unis le plus rapidement possible. «Je ne voulais pas faire deux années collégiales, a-t-il expliqué. Je voulais partir à 18 ans. Je dois commencer par avoir du succès au collège, mais mon objectif est d’évoluer dans la NCAA dans deux ans.»

Photo ci-dessus : L’inter des Canonniers de Québec a reçu une bourse pour s’aligner avec les Trojans du Trinidad State College. (Photo : Martin Métivier, photographe)

Vitesse
Membre des Ailes du Québec l’an dernier et de la formation des 18 ans et moins de l’ABC cette année, Bédard mise sur sa vitesse et son gant pour connaître du succès.

«Ma rapidité est l’aspect qui a attiré l’attention du coach de Trnidad State College, a-t-il souligné. Ils m’ont demandé un vidéo où je courrais. Ma vitesse et ma défensive sont mes principales forces. J’aime salir mon uniforme. Je pense que ma mère va être contente de ne plus avoir de lavage à faire. Avec le vétéran qui quitte, mon objectif est de mériter le poste d’arrêt-court partant. Ça va se décider à l’automne. Je peux aussi jouer au 2e but ce que j’ai fait dans les séries éliminatoires en 2015 avec Charlesbourg. J’ai évolué partout l’an dernier avec les Ailes.»

Pour avoir discuté beaucoup avec son ami Yan-Éric Tremblay qui porte les couleurs des Trojans depuis un an, Bédard a une bonne idée de ce qui l’attend au Colorado.

«La plus grosse adaptation sera l’aspect mental, a-t-il prévu. Je devrai aligner mes flûtes parce que l’entraîneur est exigeant. Je devrai performer à 100 pour cent autant sur le terrain qu’à l’école sinon je ne jouerai pas. Je n’ai pas de crainte. Je suis prêt à ça. Je suis rendu là dans ma carrière.»

Bédard est bien content de retrouver son ami. «On se connaît depuis longtemps et on se parle tout le temps. Sa présence n’est pas l’aspect qui a influencé ma décision, mais c’est un plus. Monroe avait démontré de l’intérêt, mais je n’ai pas reçu d’offre. Luis Melendez n’est plus l’entraîneur-chef. Ça va être plus dépaysant au Colorado.»

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.

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