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Musée des arts hispano-américains, Musée des armes et la librairie El Ateneo Grand Splendid!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 42e d’une série de reportages sur notre superbe odyssée à Buenos Aires en Argentine, un périple réalisé à la fin de l’hiver 2016!

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Buenos Aires, Argentine, vendredi 11 mars 2016 - Notre treizième journée de visites à Buenos Aires aura été riche en découvertes! Deux beaux parcs du quartier Retiro pour amorcer la journée, la Plaza Fuerza Aérea Argentina puis la Plaza San Martín, une tour impressionnante, la Torre Monumental, une pléthore de monuments fabuleux et d’anciens palais superbes… le tout suivi d’un délicieux repas dans le grand restaurant de l’Hôtel Sofitel Buenos Aires!

Et ce n’était que la matinée! En après-midi, nous nous extasions devant les magnifiques pièces des collections du Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, puis devant les impressionnantes armes et surtout devant les soldats miniatures d’une grande beauté du Museo de Armas de la Nación… et pour terminer cette riche journée, une libraire située dans un ancien théâtre à l’italienne, la librairie El Ateneo Grand Splendid!

Vraiment une journée débordante de plaisir!

Photo ci-dessus : Des soldats miniatures en céramique sur leurs chevaux! D’époustouflants chefs-d’œuvre de réalisme de l’artiste uruguayen Juan Manuel Blanes. À voir au « Museo de Armas de la Nación ».

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N.-B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Il est 14 heures lorsque nous sortons du restaurant « Le Sud » de l’Hôtel Sofitel Buenos Aires, où nous avons fait bombance.

Depuis le début de la journée, nous avons réalisé plusieurs visites prévues à notre programme d’activités du jour… mais il en reste encore beaucoup, dont trois musées! Nous filons vers le premier de ces trois musées, le Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, lui qui est situé tout près du Sofitel, sur la calle Suipacha.

Le Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco
Le musée renferme une des plus grandes collections au monde d’objets décoratifs et d’art de la période coloniale hispano-américaine.

C’est au milieu des années 1910 qu’Isaac Fernández Blanco a transformé la résidence où il habitait avec sa famille en musée. Il s’agissait alors du premier musée privé de l’Argentine. La collection présentée alors était celle qu’il avait lui-même accumulée au fil des ans.

En septembre 1921, Blanco et sa famille déménagent et transforment leur ancien palais en musée permanent. Mais dès 1922, il en fait don à la municipalité de Buenos Aires, qui après avoir reçu d’autres dons, inaugure le « nouveau musée » le 25 mai de la même année.

Ce n’est qu’en 1947 que la collection a été déplacée au Palacio Noel, c’est-à-dire à son endroit actuel, où prenait déjà place la collection du « Musée colonial ».

Ce palais Noel avait été construit entre 1920 et 1924 par l’architecte Martín Noel comme résidence personnelle. Malgré la prédominance des influences françaises et italiennes dans les constructions de cette époque à Buenos Aires, Noel insiste pour retourner aux sources hispano-américaines, inspirées par l’architecture baroque coloniale espagnole.

Puis, en 1936, il vend le palais à la ville de Buenos Aires, pour un montant symbolique. La ville y installe alors son musée de l’époque coloniale.

Depuis 1947, la collection du musée n’a cessé de grandir en raison de nombreux dons que le musée reçoit et des pièces achetées.

Cette collection regroupe principalement des objets artistiques et décoratifs d’Amérique du Sud couvrant la période de la domination coloniale à l’ère de l’indépendance.

Nous entrons un peu avant 15 heures et payons les 10 pesos argentins réclamés.

Après avoir passé les guichets, nous arrivons dans un jardin d’inspiration espagnole, en fait nous nous retrouvons plutôt dans un jardin andalou.

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Le jardin andalou du « Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco ».

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Un banc de parc entièrement décoré d’azulejos.

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Une petite maison typiquement espagnole au fond du jardin.

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Par un trou dans la verdure, nous apercevons un bel édifice.

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Il y a même un grenadier arborant des fruits presque mûrs.

Dommage que le jardin ne soit pas bien entretenu… les azulejos sont très abîmés, les arbustes poussent en tout sens. Il a certainement été très beau à une autre époque.

Nous entrons… Les photos sont interdites.

Le musée expose des pièces d’argenterie et des meubles ibéro-américains du XVIe au XIXe siècle. Il y a des documents, des livres, des ornements religieux, des gravures, des céramiques, des vêtements civils et des accessoires féminins.

Nous entrons dans une salle où il y a plusieurs sculptures en bois, des figures religieuses : Saint François d’Assise, Saint Ignace de Loyola, le Christ en croix, l’Immaculée Conception, etc.

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : De nombreuses sculptures religieuses. (Photo provenant d’Internet)

Toutes les informations sont écrites en espagnol, mais après pratiquement deux semaines en Argentine, nous en comprenons assez bien le sens.

Nous passons à une autre salle… remarquable avec quelques meubles, des toiles, des objets datant de la période allant du XVIIIe au XXe siècle. Plusieurs pièces proviennent d’autres pays d’Amérique du Sud, comme la Bolivie.

Dans une pièce en forme de rotonde, sont exposés des instruments de musique, dont des violons du XVIIe siècle.

Nous pouvons appuyer sur des touches numérotées sur un clavier… nous permettant de voir des films montrant un artiste jouant l’instrument que nous avons sélectionné!

Nous appuyons sur la touche correspondant à un violon réalisé par Giovanni Grancino (1637-1709), l’un des premiers luthiers milanais. La musicienne qui apparaît sur le film est Silvina Alvarez.

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : D’ailleurs, la violoniste Silvina Alvarez a déjà donné un spectacle dans les locaux mêmes du « Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco ». (Photo provenant d’Internet)

Nous montons à l’étage où se trouvent des sculptures et des objets dédiés à la Vierge Marie, dont une pietà où le Christ a de très longs cheveux. Il s’agit d’une Piedad provenant de Bolivie.

Il y a aussi une magnifique toile… dont nous avons retrouvé la photo sur Internet.

Museo de Arte Hispanoamericano Isaac Fernández Blanco, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : La « Virgen de Belén », une œuvre provenant d’un artiste anonyme! (Photo provenant d’Internet.

Il y a une chambre à coucher… entièrement meublée. Un lit, une commode, des chaises et un secrétaire. C’était la chambre de Mariquita Sánchez de Thompson (1786-1868), une des premières femmes argentines politiquement actives. Mariquita Sánchez de Thompson est considérée comme la figure féminine la plus active du processus révolutionnaire en Amérique du Sud.

Nous voyons une sculpture d’Esteban Sampzon. C’est une Dolorosa grandeur nature, tout habillée de noir et de blanc. L’œuvre date de 1800.

Nous sortons à 15 h 15. C’était un très beau musée.

Le Museo de Armas de la Nación
Nous revenons sur nos pas pour nous rendre au Museo de Armas de la Nación situé dans le Circulo militar, un musée qui était fermé lors de notre passage plus tôt ce matin.

Nous y entrons à 15 h 30 et nous nous retrouvons dans un tout petit vestibule où il y a déjà de très intéressantes pièces de collection.

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Un buste du général José de San Martín (1778-1850), un des héros des guerres d’indépendances sud-américaines avec Simón Bolívar et Bernardo O’Higgins.

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Une collection de lances!

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Un buste de Manuel Belgrano (1770-1820), un intellectuel, avocat, homme politique et militaire argentin, un des principaux leaders de la guerre d’Indépendance, à qui l’on doit la création du drapeau argentin, et ce, comme nous l’avons déjà mentionné dans nos textes précédents.

Puis, nous entrons dans une pièce où il y a un canon allemand datant de 1880… et le guichet d’entrée du musée.

Nous payons 40 pesos argentins chacun.

D’entrée de jeu, nous voyons plusieurs sabres, des lances, des armes de dissimulation, des baïonnettes, des machettes, des fusils, etc.

Puis nous passons dans une salle dédiée à la guerre des Malouines…

Dans une toute petite pièce, une vitrine affiche une foule de figurines en céramique représentant des soldats sur leur cheval. L’œuvre est de l’artiste uruguayen Juan Manuel Blanes (1830-1901). C’est époustouflant de réalisme.

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : De magnifiques soldats miniatures…

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : L’artiste Juan Manuel Blanes se serait inspiré de cette toile pour réaliser ses miniatures.

Nous passons dans une autre salle où sont exposées des armes plus récentes : des obus, des canons, des boulets de canon… et où une affiche nous indique qu’elles ne sont pas fonctionnelles. Une chance!

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Des armes plus modernes exposées au « Museo de Armas de la Nación ».

Certaines salles exposent des collections privées.

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Une toile intitulée « La bataille de San Lorenzo ». Une œuvre réalisée en 1909 par le peintre chilien Pedro Subercaseaux Errázuriz (1880-1956), un artiste s’étant illustré dans la composition de grands ensembles de tableaux historiques.

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Il y a également des armures datant du Moyen Âge.

Dans la salle Belgrano sont exposées des figurines de soldats vêtus d’uniformes portés en Argentine au cours de la période allant du XVIe siècle jusqu’à 1942.

Museo de Armas de la Nación, quartier Retiro, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Les figurines sont de l’artiste français Léonidas Mivié qui les a réalisées entre 1940 et 1960 avec la collaboration de son fils Rizzo. Un miroir est installé en fond de vitrine ce qui nous permet de voir le dos des uniformes.

Nous sortons, il est 16 h 15.

Nous prenons l’avenida Marcelo Torcuato de Alvear qui est tout près et nous filons vers notre prochain musée, celui de la Fundación Federico Jorge Klemm.

L’exposition permanente de la « Fondation Federico Jorge Klemm » est dédiée la collection nationale et internationale d’art moderne et contemporain… mais lorsque nous arrivons devant l’édifice l’abritant, nous constatons à regret que c’est fermé pour rénovation!

Nous décidons donc de continuer notre promenade pour nous rendre à la librairie El Ateneo Grand Splendid, un magasin installé dans une ancienne salle de spectacle. Nous avions prévu cette visite hier, mais en raison de la pluie, nous l’avons rayé de notre programme.

Nous continuons sur l’avenida Marcelo Torcuato de Alvear, et ce, même si nous savons que nous avons une longue marche à réaliser pour y arriver…

Ce sera agréable avec le soleil qui brille maintenant de tous ses feux, il fait plus chaud.

Le Palacio Sarmiento et la Plaza Rodriguez Peña
Nous passons devant le Palacio Sarmiento… dont la façade est d’une largeur incroyable.

Palais de Sarmiento, Buenos Aires, Argentine

Palais de Sarmiento, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Le palais de Sarmiento est un monument historique national de l’Argentine. Il a été construit entre 1886 et 1888. C’est aujourd’hui le siège du ministère de l’Éducation et des Sports de la nation et il abrite également la bibliothèque nationale des professeurs.

Il y a un très beau parc situé devant le palais. Un parc où plusieurs enfants jouent sous la surveillance de leurs parents…

Il y a plusieurs « sans-abri » installés sur les lieux avec tout leur attirail… sacs verts, sacs à dos, nourriture éparse, matelas de fortune, etc., comme nous en avons vu souvent depuis notre arrivée dans la capitale argentine.

Il s’agit de la Plaza Rodriguez Peña qui est dominée par un monument honorant la mémoire de Nicolás Rodriguez Peña.

Nicolás Rodríguez de la Peña, Buenos Aires, Argentine

Nicolás Rodríguez de la Peña, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : La statue de Nicolás Rodríguez de la Peña (1775-1853). Cet homme d’affaires, militaire et homme politique argentin est né au Chili. Il se signala en particulier par ses actions lors de la « Révolution de Mai », en 1810. Par la suite, il occupa plusieurs fonctions au sommet du jeune État argentin… comme nous pouvons le voir sur le magnifique bas relief de la base de la statue.

La librairie El Ateneo Grand Splendid
Nous tournons sur l’avenida Callao et marchons longtemps, très longtemps, jusqu’à l’avenida Santa Fe… et nous arrivons finalement devant la librairie El Ateneo Grand Splendid.

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Nous voici devant l’entrée de la librairie « El Ateneo Grand Splendid »! (Photo provenant d'Internet)

Nous entrons. Wow! La librairie est située dans un ancien théâtre.

C’est la librairie la plus connue de Buenos Aires. Le quotidien d’informations britannique The Guardian place cette librairie comme la deuxième plus belle librairie du monde.

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Voici ce qui s’offre à nous lorsque nous mettons les pieds dans la librairie « El Ateneo Grand Splendid »!

Le bâtiment a été conçu par les architectes Peró et Torres Armengol pour l’impresario Max Glücksmann (1875-1946). Le théâtre à l’italienne y a été inauguré en mai 1919 sous le nom de Teatro Gran Splendid.

Après avoir abrité un théâtre, puis un cinéma, il a été loué par le Grupo Ilhsa en février 2000 et une succursale des librairies El Ateneo y a été installée.

Nous voyons les loges de chaque côté.

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : La librairie s’étire sur plusieurs étages… les anciennes loges!

C’est très beau. Il y a plusieurs sections de livres et un espace café.

D’en bas nous pouvons admirer la coupole au plafond.

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Les fresques peintes au plafond sont de l’artiste italien Nazarene Orlandi, tandis que les cariatides sculptées sont deTroiano Troiani.

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Librairie El Ateneo Grand Splendid, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Les loges de l’ancien théâtre sont encore présentes.

C’est la plus grande librairie d’Amérique du Sud… La seule qui loge dans un ancien théâtre à l’italienne!

Nous sortons, prenons l’avenida Rio Bamba et marchons jusqu’à l’avenida Córdoba où se trouve la station de subte Facultad de Medicina. C’est congestionné dans les rues, un vrai parc de stationnement. Seuls les cyclistes et les motocyclistes réussissent à se frayer un chemin.

Devant le Palacio de las Aguas Corrientes, que nous avons visité plus tôt dans notre périple, il y a un accident d’auto. Il y a beaucoup de policiers et même un véhicule de la police scientifique!

Nous descendons dans la station de métro. C’est une ligne qui nous mène directement à la estación Scalabrini Ortiz, sise tout près de notre appartement. Nous n’aurons pas à transférer. C’est le bonheur, car nous sommes très fatigués.

Nous arrivons à l’appartement épuisés à 17 h 30. Le mercure a grimpé à 24 degrés Celsius cet après-midi apprend-on à la télévision.

Pas de souper, ce soir, le dîner nous aura permis de nous sustenter pour plusieurs heures!

À suivre…
Le Jardin botanique de Buenos Aires, le Jardín Botánico Carlos Thays.

Jardín Botánico Carlos Thays, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Un superbe bassin de nénuphars au « Jardín Botánico Carlos Thays ».

Pour lire l'ensemble de nos textes sur Buenos Aires, cliquez sur le lien suivant pour obtenir la table des matières :Buenos Aires, Argentine

Bibliographie

Atlas en fiches, Buenos Aires, Éditions Atlas, 2008;

Cartoville - Buenos Aires, Guides Gallimard, 2014;

Buenos Aires, Le petit futé, 2014, 360 pages;

Encyclopédie libre Wikipédia, Argentine, Buenos Aires, Plaza de Mayo, Casa Rosada, et plusieurs autres pages;

Escale à Buenos Aires, Ulysse, 2014, 176 pages.

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