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Le Museo de Arte Latino Americano ou la découverte d’artistes du « Nouveau Monde »!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 20e d’une série de reportages sur notre superbe odyssée à Buenos Aires en Argentine, un périple réalisé à la fin de l’hiver 2016!

Alejandro Xul Solar, Malba, Buenos Aires, Argentine

Buenos Aires, Argentine, vendredi 4 mars 2016 - Après avoir jeté un coup d’œil à l’étrange édifice du « Planétarium » et avoir admiré les magnifiques aménagements paysagers du « Jardin japonais » de Buenos Aires, nous filons vers le MALBA, le Museo de Arte Latino Americano de Buenos Aires!

Évidemment, notre connaissance des artistes-peintres et des sculpteurs de l’Amérique latine est très très mince. Elle se résume de fait à quelques œuvres des Mexicains Diego Rivera et Frida Kahlo et du Colombien Fernando Botero… Oui, nous aurons la chance d’admirer des œuvres de ces trois artistes… mais ce sont surtout les autres maîtres de l’art que nous découvrons qui nous épatent : Alejandro Xul Solar, Antonio Berni, Maria Martins et bien d’autres!

Évidemment, nous souhaitons partager quelques-unes de leurs œuvres avec vous.

Photo ci-dessus : Chez les artistes argentins, pour l’heure, notre coup de cœur est certes Alejandro Xul Solar. Ces œuvres sont influencées par la musique, les sciences occultes et le mystique, mais surtout elles offrent de petites toiles chargées de couleurs, de signes et de symboles. Wow!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N.-B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Nous sortons du « Jardin japonais » à 11 heures et nous prenons l’avenida Figueroa Alcorta, marchant en direction opposée au Parque tres de Febrero… Notre but est de nous rendre au Musée d’art latino-américain, le Museo de Arte Latino Americano de Buenos Aires, communément appelé MALBA.

En cours de route, nous passons devant la Plaza República del Perú où nous nous arrêtons quelques instants, histoire d’admirer les monuments qui s’y trouvent.

Cette place a été inaugurée en 1972 après avoir été aménagée par l’architecte-paysagiste brésilien Roberto Burle Marx.

Tout près de nous, il y a un monument représentant Inca Garcilaso de la Vega (1539-1616). L’encyclopédie libre Wikipédia nous apprend que son vrai nom est Gómez Suárez de Figueroa et qu’il a été chroniqueur amérindien de langue espagnole.

L’homme était métis, fils du noble conquistador espagnol, Sebastián Garcilaso de la Vega y Vargas, et de la princesse inca Isabel Chimpu Ocllo, une descendante de l’Inca Huayna Capac.

Monument Inca Garcilaso de la Vega, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Inca Garcilaso de la Vega, le premier grand écrivain péruvien.

Tout près, il y a un buste. C’est celui de Miguel Grau (1834-1879), qui était grand amiral de la marine du Pérou.

On dit de lui qu’il est le plus illustre Péruvien de son époque. Cet amiral est mort en défendant l’intégrité de son pays lors de la bataille d’Angamos mettant aux prises le Pérou et le Chili. Malgré son décès et la défaite des siens, les livres d’histoire rappellent comment l’amiral a été le cauchemar de la flotte chilienne pendant les premiers mois de la guerre du Pacifique.

Monument Miguel Grau, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Sur la plaque accompagnant le monument érigé en l’honneur de Miguel Grau, on peut lire qu’il est « El peruano del milenio »… le « Péruvien du millénaire »!

Notre recherche en vue de la rédaction de ce texte nous a permis d’apprendre qu’un monument en son honneur prend place dans le parc de l’Amérique latine de Québec!

Le Museo de Arte Latino Americano de Buenos Aires
Il est 11 h 20 lorsque nous arrivons au musée MALBA, le Museo de Arte Latino Americano de Buenos Aires.

Le musée héberge la collection d’Eduardo F. Costantini, qui est aussi le président de la fondation qui porte son nom et qu’il fonda dans le but de conserver, d’étudier et de diffuser l’art latino-américain du début du XXe siècle à nos jours.

L’édifice abritant le musée a été conçu par les architectes cordouans Atelman-Fourcade-Tapia, les gagnants d’un concours organisé en 1997. Le jury pour ce concours était composé d’architectes de prestige… Norman Foster (Royaume-Uni), Cesar Pelli (Argentine) et Mario Botta (Suisse).

MALBA, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

MALBA, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : La bâtisse abritant le MALBA affiche le style « déconstructiviste », populaire dans les années 1990. On dirait que le musée est construit de boîtes juxtaposées les unes aux autres.

MALBA, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Devant le musée prend place un magnifique jacaranda avec encore quelques fleurs.

MALBA, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

MALBA, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Comme bien des musées dans le monde, au MALBA on présente déjà des œuvres sur le portique d’entrée. Ici, ce sont des œuvres résolument d’art moderne.

Nous nous rendons tout d’abord au café du musée, car les salles d’exposition n’ouvrent qu’à midi.

Céline déguste un cappucino, tandis que je sirote un café doble et deux médialunas… servis avec un verre d’eau minérale (145 pesos argentins).

MALBA, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Nous quittons le café et entrons au musée.

Le début des découvertes
Le prix d’entrée est de 90 pesos argentins par personne.

Le musée a été inauguré en septembre 2001. Au départ, on y retrouvait les 230 œuvres offertes au musée par Eduardo Costantini.

Nous y verrons des œuvres d’arts modernes, ce qui s’agence bien avec le style du bâtiment d’ailleurs.

Les salles sont superbement aménagées.

La première œuvre que nous croisons est une œuvre de l’artiste mexicain Diego Rivera (1886-1957).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Retrato de Ramón Gómez de la Serna », une œuvre de style cubiste réalisée en 1915 par Diego Rivera (1886-1957).

Puis, une foule d’autres suivent!

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Calle de Nueva York », « Rue de New York », réalisée en 1920 par l’Urugayen Joaquín Torres Garcia (1874-1949).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Candombe », une autre œuvre d’un artiste uruguayen, Pedro Figari (1861-1938), une toile datant de 1921.

Museo de Arte Latino Americano, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Autorretrato con chango y loro », soit « Autoportrait avec un singe et un perroquet », une œuvre de 1942 de la Mexicaine Frida Kahlo (1907-1954).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Terraza », « Terrasse », de Lino Enea Spilimbergo (1896-1964), un artiste argentin. Une toile réalisée en 1930.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « La canción del pueblo o La Chanson du peuple », une œuvre de 1927 de l’Argentin Emilio Pettoruti (1892-1971). Le titre de l’œuvre est écrit en espagnol et en français sur la plaquette!

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « El viento », « Le vent », une sculpture réalisée en 1932 par l’artiste mexicain Luis Ortiz Monasterio (1906-1990).

Alejandro Xul Solar, Malba, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Et voilà notre première œuvre d’Alejandro Xul Solar, de son vrai nom Oscar Agustín Alejandro Schulz Solari, (1887-1963). L’œuvre intitulée « Troncos », ce qui signifie « Troncs », date de 1919.

Et voici deux autres toiles de Xul Solar…

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : « Jefe de Sierpes » et « Hypnotismo », deux toiles de 1923 de Alejandro Xul Solar.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « George Gershwin an American in Paris », une œuvre de 1929 du Mexicain Miguel Covarrubias (1904-1957)… dont le titre est en anglais!

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Alegoria del rio de la Plata », « Une allégorie du fleuve Rio de la Plata », de 1928 de l’artiste argentin Alfredo Guttero (1882-1932).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Suzana y el viejo », une représentation moderne de la célèbre toile « Suzanne et les vieillards » également connue sous le nom de « Suzanne au bain ». Elle est d’Antonio Berni (1905-1981), un artiste de Buenos Aires. Il a réalisé cette toile en 1931.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Une sculpture impressionnante intitulée, en 1940, « O impossível », ce qui signifie « Limpossible » en portugais. Elle est de la Brésilienne Maria Martins (1906-1990).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Manifestación », réalisée en 1934 par Antonio Berni.

Nous arrivons dans une pièce où les tableaux sont réalisés avec différentes matières, comme celui de Kenneth Kemble (1923-1998) qui s’intitule « Homenaje a un encuentro entre Hugo Parpagnoli y Alberto Greco », « Hommage à une rencontre entre Hugo Parpagnoli et Alberto Greco ». L’œuvre date de 1961.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : « L’œuvre de Kenneth Kemble qui s’intitule “Homenaje a un encuentro entre Hugo Parpagnoli y Alberto Greco ».

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Dos mujeres », « Deux femmes », de l’Argentin Luis Felipe Noé (1933- ).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « El dia ilustrisimo », une toile réalisée en 1965 par l’Argentin Jorge de la Vega (1930–1971).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Guevara », une œuvre représentant le célèbre révolutionnaire datant de 1968. Elle est de l’artiste brésilien Cláudio Tozzi (1944- ).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « El viudo », ce qui signifie « Le veuf », une toile réalisée en 1968 par le Colombien fort célèbre, Fernando Botero (1928-1986).

Puis, nous voici devant un curieux tableau. Il est immense, composé de neuf parties de 3 m X 3m chacune!

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « 9 variaciones sobre un bastidor bien tensado », une série d’œuvres de l’Argentin Ernesto Deria (1928-1986).

Wow! Deux beaux personnages, en métal!

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Barba Azul y Dona Ines », une œuvre de 1965 de Luis Fernando Benedit (1937-2011), un plasticien et architecte argentin.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « Siete ultimas canciones »… « Les sept dernières chansons », de l’artiste contemporain né à Buenos Aires Guillermo Kuitca (1961- ).

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : « I am made of Blue Sky and Golden Light and I will feel this way forever », une toile récente, datant de 2016… sans mention de son auteur. Elle ferait référence à une publicité de Chanel.

Puis nous arrivons devant un immense tableau réalisé par Antonio Berni probablement entre 1936 et 1940. Une toile qui s’étire sur 330 cm faisant 129 cm de hauteur.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : « Mercado Cola », d’Antonio Berni.

Nous passons rapidement dans une salle où l’on expose plus de 400 petits objets provenant de la collection de la Fundación Costantini qui l’a reçue du docteur Antonio D’Alessandro… Il s’agit d’objets précolombiens datant de la période de 1500 avant Jésus-Christ à 1500 après.

Nous entrons dans une autre salle où il y a une exposition temporaire. Elle est de Claudia Andujar Marcados… et l’exposition commence justement aujourd’hui.

L’artiste brésilienne, une photographe, s’est intéressée à l’aspect anthropologique à travers les photos, elle présente ici une sélection de plus de quatre-vingts photographies en noir et blanc.

Claudia Andujar Marcados est née en Suisse, en 1931, sous le nom de Claudine Haas. Elle était juive et adolescente elle perdit son père qui trouva la mort dans un camp nazi.

On peut lire sur une affiche qui précise « qu’entre 1981 et 1984, Andujar a passé de longues périodes dans le territoire indigène de la tribu des Yanomami, dans le bassin de la rivière Catrimani, en partie en territoire brésilien. Avec deux médecins, elle a réalisé de nombreuses photographies de l’environnement et des expéditions, et a enregistré chaque personne individuellement avec un numéro accroché à son cou. Ces images ont été utilisées dans des registres de vaccination sanitaire, qui ont permis de sauver la vie de nombreux membres de la tribu ».

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : La photographe Claudia Andujar Marcados accompagnait une équipe de médecins en Amazonie lorsqu’elle a réalisé ces photos.

Ce sont des autochtones brésiliens et dans une vitrine sont exposées les fiches de santé de chacun d’eux avec le type de vaccin reçu ainsi que les dates!

Nous sortons et montons un étage, pour arriver à une autre exposition temporaire, celle de Juan Tessi Caméo… qui commence elle aussi aujourd’hui.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Nous montons un étage.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : L’affiche de l’exposition.

Nous ne faisons que passer… c’est une exposition curieuse.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Voici une des œuvres.

Museo de Arte Latino Americano, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine
Photo ci-dessus : Et une autre, celle-ci titrée « Intensidad y meditation », une œuvre qui date de 2016!

Nous sortons à 13 h 20. Il est grandement temps d’aller dîner.

Tentative ratée d’entourloupe!
Nous entrons dans un restaurant tout près du musée. Il se nomme « Dashi ». C’est un très élégant restaurant… dès nos premiers pas dans l’établissement, nous réalisons que c’est un restaurant japonais.

Il y a foule, mais on nous trouve une place malgré tout.

Le menu présente de superbes photos… sur du papier glacé.

Céline commande une coupe de vin Sauvignon blanc et un plat de poulet au sésame. J’y vais d’une bière et de huit morceaux de sushis avec saumon. En prenant ses notes, comme à son habitude, Céline inscrit le prix de nos plats… de l’ordre de 220 pesos argentins chacun.

Tout est excellent et superbement présenté.

Restaurant Dashi, Buenos Aires, Argentine

Restaurant Dashi, Buenos Aires, Argentine

Restaurant Dashi, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Le meilleur repas de Céline depuis notre arrivée en Argentine.

Il pleut pendant que nous mangeons.

Et malgré le prix… nous nous offrons un dessert : un Mount Fuji et un cheese-cake.

Restaurant Dashi, Buenos Aires, Argentine

Restaurant Dashi, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Le dessert de Céline… et le mien…

L’assiette de Céline est composée d’une pyramide de chocolat suisse… fourrée d’une mousse au chocolat et d’un bol de crème glacée décoré d’un coulis de cerise (119 pesos argentins chacun).

On nous apporte l’addition… qui totalise 883 pesos. Mais, Céline veille au grain et elle constate que son assiette de poulet a été facturée à 100 pesos de plus que le prix qu’elle a inscrit dans ses notes.

Nous redemandons la carte de menu pour revérifier les prix. Le serveur prétend à une erreur, mais nous ne le croyons pas vraiment. Il réajuste la facture.

Nous sortons à 15 heures, la pluie a cessé. Hourra!

À suivre…
Promenade dans la plaza República de Chile... avant la visite du magnifique Musée national des arts décoratifs, le Museo Nacional de Arte Decorativo.

Ramón Castilla, plaza República de Chile, quartier Palermo, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Un superbe monument honorant la mémoire d’un président du Pérou, Ramón Castilla. Il a été réalisé en 1953 par le sculpteur Vicente Torró Simó et il est l'un des très nombreux monuments de la "plaza República de Chile".

Pour lire nos textes précédents sur Buenos Aires, cliquez sur les liens suivants :

1er texte: En route pour Buenos Aires en Argentine!

2e texte: Buenos Aires : plaza de Mayo, Casa Rosada... et de beaux monuments!

3e texte: La Catedral Metropolitana de Buenos Aires… un véritable musée!

4e texte: Les musées du Cabildo et du bicentenaire de l’indépendance argentine!

5e texte: La Galería General Güemes et les Galerías Pacífico!

6e texte: De l’art résolument moderne au Centro cultural Borges!

7e texte: Fascinante « flânerie » sur la calle Florida de Buenos Aires!

8e texte: Buenos Aires : première incursion dans le mythique quartier San Telmo!

9e texte: Les Porteños manifestent… la Basílica de Nuestra Señora de la Merced!

10e texte: Café Tortoni, église San-Ignacio... et place des héros des Malouines!

11e texte: L’Avenida 9 de julio et la plaza del Congreso… Wow!

12e texte: Plaza Houssay, faculté de Médecine de l’Université et Palacio de Aguas Corrientes!

13e texte: Le magnifique parc de la Plaza Lavalle et le superbe Teatro Colón!

14e texte: La synagogue, l’Obélisque de Buenos Aires… et le magnifique Palacio Barolo!

15e texte: Gomero, monuments et église superbe: la Basílica Nuestra Señora del Pilar!

16e texte: Buenos Aires : le cimetière de la Recoleta. Wow!

17e texte: L’enfilade de parcs de l’avenida del Libertador... de monuments (1re partie)

18e texte: L’enfilade de parcs de l’avenida del Libertador... de monuments (2e partie)

19e texte: Encore des monuments, le planétarium et le superbe « Jardin japonais »!

Bibliographie

Atlas en fiches, Buenos Aires, Éditions Atlas, 2008;

Cartoville - Buenos Aires, Guides Gallimard, 2014;

Buenos Aires, Le petit futé, 2014, 360 pages;

Encyclopédie libre Wikipédia, Argentine, Buenos Aires, Plaza de Mayo, Casa Rosada, et plusieurs autres pages;

Escale à Buenos Aires, Ulysse, 2014, 176 pages.

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