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Augsbourg : L’hôtel de ville et sa superbe salle dorée!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 30e d’une longue série de reportages relatifs à un fascinant voyage en Allemagne que nous avons réalisé avec Voyages Lambert à l’automne 2015!

Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Augsbourg, Bavière, Allemagne, jeudi 15 octobre 2015 – La ville d’Augsbourg est impressionnante. D’entrée de jeu, nous avons découvert « La Fuggerei », un ensemble de logements sociaux datant du Moyen-Âge, et la cathédrale Notre-Dame, qui affiche quatre belles œuvres de Hans Holbein l’Ancien.

Nous poursuivons maintenant notre visite de la cité en nous baladant dans le secteur de son magnifique « Hôtel de Ville », un édifice entièrement reconstruit, à l’identique ou presque, après la Deuxième Guerre mondiale… Un superbe bâtiment qui affiche deux tours à bulbes encadrant une pomme de pin… et qui abrite une salle de réception époustouflante !

Photo ci-dessus : Hôtel de ville d’Augsbourg, bâti par un architecte augsbourgeois, Elias Holl, entre 1615 et 1620… Un bâtiment qui a dû être reconstruit après avoir été lourdement endommagé lors de la Deuxième Guerre mondiale.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Au terme de notre visite de la cathédrale Notre-Dame, nous poursuivons notre promenade dans la vieille ville d’Augsbourg.

Notre charmante guide locale ici, Sabine, nous indique que la ville d’Augsbourg s’étend sur 15 km de longueur par 25 km de largeur. « Conséquemment, nous n’en verrons qu’une toute petite partie. »

Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Nous croisons une bâtisse qui affiche un magnifique chevalier sculpté dans la pierre.

« Quelques entreprises importantes sont installées à Augsbourg, mentionne-t-elle, dont Airbus, Audi et une importante fabrique de papier. »

Nos recherches pour la rédaction de ce texte nous ont permis d’apprendre qu’Airbus, qui fabrique à Augsbourg le fameux Airbus 380, est présente ici depuis qu’elle a acquis le groupe Messerschmitt-Bölkow-Blohm, une entreprise, fondée en 1926 par Willy Messerschmitt. On se souviendra que Messerschmitt avait construit de nombreux chasseurs pour la Luftwaffe durant la Seconde Guerre mondiale.

Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Depuis notre arrivée en Allemagne nous avons vu une foule de très jolies affiches de commerce… en voici une autre.

« Augsbourg est également une ville universitaire », nous informe notre guide. « En fait, depuis 1970 seulement, précise-t-elle, alors que Universität Augsburg était fondée. Aujourd’hui quelque 17,000 jeunes étudient dans l’une de ses facultés, soit de théologie catholique, de droit, d’économie, de mathématiques, de sciences naturelles, de philosophie, de sciences sociales, d’histoire ou de technologies de l'information. »

Elle nous signale, probablement pour nous consoler, qu’après un été très chaud, octobre s’est amené avec une baisse de température très importante. «Actuellement, c’est vraiment beaucoup plus froid qu’à l’habitude ».

L’Hôtel de Ville
Nous arrivons sur la place de l’Hôtel de Ville… L’édifice construit dans les années 1600 est tout simplement superbe.

Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Les images de marque de la ville d’Augsbourg sont bien en vue sur sa façade même de l’Hôtel de Ville, alors qu’on y retrouve le « Reichsadler », l'aigle impérial du Saint Empire romain germanique, et le « Zirbelnuss », la « pomme de pin », l’emblème de la ville d’Augsbourg.

« La pomme de pin est un souvenir du passé de notre ville. Il s’agit du symbole des légions romaines venues ici quelques années avant Jésus-Christ. »

« L’édifice a été conçu par l’architecte augsbourgeois Elias Holl (1573-1646). Les travaux ont commencé le 25 août 1615 et se sont terminé en mars 1620, alors que la décoration intérieure, elle, a nécessité quatre années supplémentaires de labeur. »

« La façade est très « renaissance italienne », note Sabine, ce qui est normal, ajoute-t-elle parce qu’Augsbourg est considérée comme la ville la plus italienne située au nord des Alpes. »

« À cette époque, construire un tel bâtiment était carrément une prouesse technique ! L’édifice est d’ailleurs devenu le premier au monde d’une hauteur de six étages. »

« Il était tout à fait normal qu’Augsbourg soit dotée d’un si bel Hôtel de Ville, car elle accueillait des ducs, des rois et des empereurs et cette bâtisse devait démontrer leur puissance. »

Tout à côté de l’Hôtel de Ville, il y a une haute tour. « Il s’agit de la « Tour Perlach », la Perlachturm en allemand », annonce notre guide.

« Cette tour de 70 mètres de hauteur prenait place à cet endroit bien avant l’Hôtel de Ville, un document du Xe siècle attestant déjà l’existence d’un donjon à cet endroit ! »

« Lors de la construction de la « mairie », Elias Holl a tout simplement modifié la tour pour la mettre en harmonie avec le style de la mairie… y ajoutant quelques mètres de hauteur afin d’y faire installer des cloches pour donner l’alarme en cas d’incendie ou de guerre. Depuis, les cloches ont été remplacées par un carillon, celui que nous avons entendu un peu plus tôt ce matin. »

Tour Perlach, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : La « Tour Perlach » dont nous avons entendu le carillon ce matin.

La Fuggerplatz et le Maximilianmuseum
Nous nous trouvons présentement sur la place Fugger et devant le « Musée Maximilen » où une grande statue en bronze de Jakob Fugger domine les lieux !

Tour Perlach, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Jakob Fugger, le fondateur de « La Fuggerei ».

Nous entrons dans la cour intérieure du Musée.

Le « Musée Maximilien » est un complexe architectural de quatre ailes disposées autour d’une cour intérieure qui est libre d’accès, elle est recouverte d’une verrière et abrite notamment les statues originales en bronze des somptueuses fontaines Renaissance d’Augsbourg, les fontaines d’Auguste, de Mercure et d’Hercule.

« Ce musée, signale Sabine, a été créé grâce à un généreux donateur de la ville. »

Musée Maximilien, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : La fontaine d’Auguste, « Augustusbrunnen » est sur la place de l’Hôtel de Ville. Elle est l’œuvre du sculpteur néerlandais Hubert Gerhard qui l’a réalisée entre 1588 et 1594.

Musée Maximilien, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : La fontaine de Mercure, « Merkurbrunnen » a été réalisée entre les années 1596 et 1599 par le sculpteur hollandais Adriaen de Vries. Elle décore la Morritzplatz.

Musée Maximilien, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : La fontaine d’Hercule, « Herkulesbrunnen » a été réalisée entre 1597 et 1600, également par le hollandais Adriaen de Vries. Elle domine la place du Marché du vin en face de la maison Siegel.

Musée Maximilien, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Sous la statue de l’homme fort de la mythologie romaine, sur la fontaine d’Hercule de la place du Marché du vin, trois autres statues prennent place. Celle-ci représente une Naïade enlevant l’eau de ses cheveux.

Musée Maximilien, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Puis, celle de cette autre Naïade essorant un chiffon.

Musée Maximilien, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Et finalement une autre Naïade qui verse de l’eau sur ses jambes.

Musée Maximilien, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Nous admirons également cette statue représentant une déesse de la rivière arborant une corne d’abondance.

Il y a une belle maquette en bois montrant la ville construite par les Romains au IIe siècle avant Jésus-Christ. Nous voyons bien la « gran via Augusta » !

La Weberhaus et la Zeughauss
Nous poursuivons notre promenade dans la ville.

Sabine enchaîne en nous mentionnant qu’Augsbourg était une ville de textile. « Les tisserands d’Augsbourg étaient universellement reconnus. »

À peu près au même moment, nous croisons une bicyclette servant d’étal publicitaire. Charmant !

Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Que c’est joli !

Nous arrivons devant une maison aux couleurs remarquables.

« C’est la Weberhauss. Elle a été construite en 1389 et a été le siège de la corporation des tisserands jusqu'à la dissolution de la corporation en 1548. La bâtisse était au centre du commerce du textile à Augsbourg. »

Weberhauss, Augsbourg, Allemagne

Weberhauss, Augsbourg, Allemagne

Weberhauss, Augsbourg, Allemagne

Photos ci-dessus : La « Weberhauss » avec ses couleurs superbes a été entièrement rénovée en 2007… suite à un incendie.

Nous continuons notre balade et après avoir passé devant l’église Saint-Maurice, nous nous retrouvons devant l’impressionnante façade de la «Zeughauss », un ancien palais de Jakob Fugger… de style renaissance italienne. Le riche marchand y a vécu durant sept ans.

Zeughauss, Augsbourg, Allemagne

Zeughauss, Augsbourg, Allemagne

Zeughauss, Augsbourg, Allemagne

Photos ci-dessus : La « Zeughauss » a été construite par Elias Holl, le même architecte qui a érigé l’Hôtel de Ville, entre 1602 et 1607. La façade de l’édifice est une œuvre de l’artiste suisse Joseph Heintz l’Ancien. Le bronze représentant l’archange Saint-Michel dans sa lutte contre Satan est époustouflant !

« Le palais appartient encore aujourd’hui à un membre de la famille Fugger, mais l’édifice a été transformé en logements d’habitation. »

« Jakob Fugger est mort sans héritier et c’est le fils de son frère qui a hérité de tout…, et ce, à l’époque de l’empereur Charles Quint ! »

Nous entrons dans la « Cour des dames », où il y a le blason de la famille Fugger sur un mur. « Le blason y est depuis 1473 », affirme notre guide. Au centre de la cour, il y a un immense tilleul. « Il a été planté en 1508 », nous dit Sabine. »

Zeughauss, Augsbourg, Allemagne

Zeughauss, Augsbourg, Allemagne

Photos ci-dessus : Un immense tilleul et les armoiries de la famille Fugger!

Nous ressortons de la cour intérieure et marchons jusqu’à la fontaine de Mercure.

Zeughauss, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Avant de traverser la rue pour entrer dans l’édifice de l’Hôtel de Ville, nous laissons passer un des beaux tramways de la ville d’Augsbourg.

L’époustouflante salle dorée de l’Hôtel de Ville
Nous entrons dans le magnifique bâtiment de l’Hôtel de Ville. Nous montons au troisième étage où se situe la Goldener Saal, la « salle dorée » où l’attrait principal est le plafond à caissons… recouvert de feuilles d’or et affichant de superbes peintures !

Pendant que les membres du groupe s’assoient pour admirer les lieux et écouter les explications de Sabine, je tente d’immortaliser cette salle!

« La salle dorée est utilisée pour les réceptions et les cérémonies officielles de la Mairie d’Augsbourg. Elle est l'un des monuments culturels les plus importants de la fin de la Renaissance en Allemagne et une des principales attractions de la ville. »

« Elle couvre une superficie de 544 mètres carrés (32m X 17m) avec un plafond situé à 14 mètres du sol. Outre le plafond qui est splendide, les portes sont impressionnantes, tout comme ses peintures murales. »

« Les feuilles d’or qui ont été utilisées sont dix fois plus fines qu’un cheveu ! Malgré tout, pas moins de 2,6 kilogrammes de feuilles d’or ont été nécessaires! »

« Maximilien 1er a vécu ici durant deux ans. À l’époque, l’endroit était le lieu des assemblées nationales de l’empire, du moins jusqu’à la « Guerre des 30 ans » (1618-1648). »

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Photos ci-dessus : Le magnifique plafond de la salle dorée de l’Hôtel de Ville d’Augsbourg.

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Les portes de la salle dorée sont en parfaite harmonie avec la décoration intérieure… remarquez la pomme de pin.

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Salle dorée de l’Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Photos ci-dessus : Des toiles… des sculptures… et encore des feuilles d’or !

Notre guide nous rappelle qu’ici c’est l’Hôtel de Ville… et que tout a été refait après la guerre, une bombe ayant détruit l’édifice !

Finalement, nous entrons dans une chambre, celle d’un prince. Elle a été rénovée de 1970 à 1985 et elle affiche une cheminée d’apparat.

Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Dans la chambre du prince, nous pouvons admirer ce magnifique buste du grand artiste allemand Bertold Bretch (1896-1956), une réalisation du sculpteur augsbourgeois Friedrich Brenner.

Nous redescendons et sortons.

C’est la fin de la visite guidée. Notre accompagnatrice de Voyages Lambert, Krystyna Wozniak, remercie chaleureusement notre guide.

En route pour le château de Neuschwanstein
Nous repartons en autocar à 13 heures.

Après quelques minutes de trajet, Krystyna distribue à chacun de nous… un délicieux « bretzel », à l’intérieur des plus moelleux ! Sublime !

Hôtel de Ville, Augsbourg, Allemagne

Photo ci-dessus : Nous en avons encore l’eau à la bouche !

« Nous avons une heure et demie de route à faire pour nous rendre à Neuschwanstein », nous rappelle-t-elle.

Puis elle ajoute : « À notre arrivée au stationnement des autocars, nous prendrons une navette qui nous amènera sur le site. Nous nous rendrons sur le pont de Marie, d’où nous aurons la meilleure vue qui soit sur le château et sur les Alpes ! Au terme de la visite, nous redescendrons à pied, une agréable balade. »

« Ce soir, nous coucherons à Ettal, aux portes du Tyrol ! Il s’agit d’un tout petit village d’au plus une cinquantaine de maisons.

Méli-Mélo
Notre accompagnatrice profite du trajet nous menant à notre prochaine visite pour nous suggérer quelques lectures et films traitant de l’Allemagne. Voici ses suggestions et un résumé des œuvres :

La part de l’autre, Éric Emmanuel Schmidt
« Il s’agit, nous dit Krystyna, d’une biographie romancée de la vie d’Adolf Hitler. L’auteur s’interroge sur ce qui se serait passé si l'École des beaux-arts de Vienne avait décidé d’accepter la candidature d’Adolf Hitter plutôt que de la refuser. Cette décision aurait changé le cours d'une vie, celle d’Adolf Hitler, mais elle aurait aussi changé le cours de l’histoire... »

Le mur dans les têtes, chroniques d’Allemagne, Yannick Pasquet
« Le 9 novembre 1989, le Mur a tombé après plus de 28 ans ans de séparation. Mais contrairement aux apparences, l'Est et l'Ouest demeurent deux entités dissemblables : à l'Est, une ex-RDA économiquement déboussolée regarde avec envie l'ex-RFA, arrogante de prospérité.

Vingt ans après ce que les Allemands appellent "le tournant", le fossé n'est pas comblé. À travers ses chroniques insolites, drôles ou poignantes, entre Berlin, Munich, Dresde et ailleurs, l’auteur propose une radioscopie d'un pays à la fois proche et lointain. »

Notre accompagnatrice nous lit quelques extraits, dont un parlant d’Hagen Koch, un ancien officier de la Stasi, et une autre relatant l’annonce au monde faite par Günter Schabowski quant à l'ouverture du Mur !

Inconnu à cette adresse, Kressman Taylor

« Le roman prend la forme d'une correspondance épistolaire fictive étalée du 12 novembre 1932 au 18 mars 1934 entre deux très bons amis âgés de 40 ans : Martin Schulse Max Eisenstein. Ils sont associés de longue date dans une affaire prospère de commerce de tableaux à San Francisco.

Schulse, sa femme et leurs enfants sont allemands de souche, tandis que Max est un juif américain d'origine suisse. En 1932, Martin retourne vivre à Munich où il est de plus en plus tenté par le nazisme montant. Il monte en grade dans la société nazie et finalement, en 1933, renie son amitié pour Max et lui annonce qu'il ne peut ni ne veut plus correspondre avec un juif, notamment en raison de la censure et de la police politique qui lit tous les courriers. Max lui écrit pourtant encore une dernière fois, pour lui demander de veiller sur sa sœur, Griselle.

La dernière lettre de Max adressée à sa sœur lui est retournée avec la mention inconnue à cette adresse, ce qui signifie qu'elle a sans doute disparu. Martin lui écrit avec mépris que Griselle s'est « conduite comme une imbécile » en se présentant chez lui alors qu’elle était poursuivie par une patrouille nazie. Martin lui a ouvert sa porte, mais ne l’a pas laissée entrer. Finalement, les SS l'ont attrapée et l'ont tuée.

Le cœur de l'histoire est la réaction de Max… »

La vie des autres, film de 2006 de Florian Henckel von Donnersmarck
« L’histoire a lieu en 1984 à Berlin-Est où Gerd Wiesler, capitaine dans la police secrète de la RDA, la Stasi, a la responsabilité de surveiller le dramaturge Georg Dreyman. Wiesler ignore qu'il s'agit en fait d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la Culture Bruno Hempf, lequel est amoureux de la compagne de Dreyman — l'actrice Christa-Maria Sieland — et qu’il souhaite compromettre son rival pour l'éliminer. Le supérieur de Wiesler, le lieutenant-colonel Grubitz, espère quant à lui que cette mission sera bénéfique pour la suite de sa carrière.

Good Bye, Lenin!, film allemand de 2003 de Wolfgang Becker
« Ce film retranscrit la vie de la famille Kerner, constituée de Christiane, la mère, ainsi que d'Alexander et d'Ariane, ses deux enfants, vivant à Berlin-Est en République démocratique allemande (RDA). Au début du film, pendant l'été 1978, après que leur père a fui à l'ouest, Christiane décide de s'investir dans la vie sociale du régime communiste, et dirige même l'organisation d'une chorale.

Le 7 octobre 1989, Christiane doit assister aux célébrations du 40e anniversaire de la RDA. Sur le trajet, elle est contrainte de s'arrêter, à cause du désordre causé par une manifestation, pour la liberté de circulation et pour la liberté d'expression, à laquelle participe Alex. Voyant les policiers réprimer la manifestation et arrêter avec violence son fils, elle s'évanouit et a un infarctus. Les secours étant arrivés trop tard, elle tombe dans le coma.

Quelques semaines plus tard, le mur de Berlin tombe et les deux jeunes gens s'intègrent dans la vie occidentale. En juin 1990, leur mère se réveille. Le médecin conseille à Alex de tout mettre en œuvre pour éviter une rechute causée par un deuxième choc, ce qui conduit Alex et Ariane à cacher à Christiane les changements politiques qui ont eu lieu pendant son coma. »

À suivre…
En route pour le mythique château de Neuschwanstein !

Château de Neuschwanstein , Allemagne

Photo ci-dessus : Nous avions déjà vu de si belles photos du château de Neuschwanstein. Malheureusement, lors de notre passage le château était dans les nuages et le pont Marie d’où la vue sur l’antre de Louis de Bavière est superbe était fermé. Nous avons dû nous contenter de cette photo prise en grimpant vers celui-ci !

Textes précédents :
Vous pouvez lire les textes précédents de nos reportages sur l'Allemagne en cliquant sur les liens ci-dessous ou en accédant directement à l'onglet "Allemagne" de la rubrique « Voyages » de la barre de menu.

Notre voyage en Allemagne : Trajet proposé par "Voyages Lambert"

1er texte : Willkommen in Köln… Bienvenue à Cologne, sur les berges du Rhin!

2e texte : Cologne: sa cathédrale, ses berges sur le Rhin et ses belles maisons !

3e texte : À Aix-la-Chapelle… sur les traces de Charlemagne!

4e texte : La cathédrale d’Aix-la-Chapelle ou Charlemagne en pièces détachées!

5e texte : La Porta Nigra et le Haupmarkt, la place du Marché!

6e texte : L’imposante cathédrale de Trèves et son cloître!

7e texte : Trèves : l’ancien palais du prince-électeur… et la basilique romaine de Constantin!

8e texte : Trèves, métropole romaine... dont le cœur bat toujours… au Musée de Rhénanie!

9e texte : Bernkastel-Kues… ville aux bellissimes maisons médiévales à colombages !

10e texte : Cochem : fontaines, église aux magnifiques vitraux, une mosaïque, etc.!

11e texte : Coblence… de passage seulement et c’est dommage !

12e texte : De Coblence à Bacharach… au fil du Rhin romantique!

13e texte : Bacharach sublime découverte d'une ville...

14e texte : Heidelberg : le Vieux pont et le Chemin des philosophes… pour commencer !

15e texte : Le château de Heidelberg… et surtout ses impressionnantes ruines !

16e texte : Les jolies places au cœur de la vieille ville de Heidelberg et l’église Saint-Esprit !

17e texte : Bad Wimpfen : une haute tour, une superbe église et de jolies maisons...

18e texte : L’Hôtel Eisenhut de Rothenbourg… Wow !

19e texte : Wurtzbourg : l’imposante forteresse de Marienberg !

20e texte : Le « Maître de Wurtzbourg » : Tilman Riemenschneider !

21e texte : Wurtzbourg : Vieux Pont, centre historique, cathédrale et Résidence! (1re partie)

22e texte : Wurtzbourg : Vieux Pont, centre historique, cathédrale et Résidence! (2e partie)

23e texte : Rothenbourg: l'église Saint-Jacques, des tours médiévales..., etc. !

24e texte : Nuremberg: les ruines d’un centre de congrès nazi, un château… !

25e texte : Nuremberg : l’église Saint-Sébald… et une vue imprenable sur la rivière Pegnitz!

26e texte : Nuremberg: l’église Saint-Laurent, la vieille ville, les saucisses et le procès!

27e texte : Dinkelsbühl : une belle cathédrale, de jolies maisons et une touchante légende !

28e texte : La Fuggerei d’Augsbourg: les plus anciens logements sociaux au monde!

29e texte : Augsbourg : La cathédrale Notre-Dame, les chefs-d’œuvre d’Holbein l’Ancien!

Bibliographie
Aachen, Aix-la-Chapelle, guide de la ville et de la cathédrale,, Édition Michael Imhof Verlag, 2011, 31 pages;

Allemagne, Guide Vert, Michelin guides touristiques, 2015, 690 pages;

Allemagne, faits et réalités,, Societäts Verlag, 2010, 192 pages;

Allemagne, des villes vivantes, Office national allemand du tourisme, 2010, 198 pages;

Atlas en fiches,, Éditions Atlas, 2008;

Cartoville - Berlin, Guides Gallimard, 12e édition ;

Encyclopédie libre Wikipédia Allemagne, Cologne, Aix-la-Chapelle, Trèves et plusieurs autres pages;

LonelyPlanet - Berlin , Publication LonelyPlanet, 2013, 352 pages;

Patrimoine mondial de l'UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages;

Trèves, à la découverte de la plus vieille ville d’Allemagne,, Rahmel-Verlag, 48 pages.

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