Sébastien Boucher en panne sèche

Revue de presse

Mario Morissette, Le Journal de Québec, le 27 juillet 2013

LITTLE FALLS, New Jersey | Les chiffres ne mentent pas. Sébastien Boucher traverse une période creuse à l’attaque. Sa pire léthargie depuis celle vécue à son arrivée chez les Capitales, en juin 2009.

Photo ci-dessus : Dans le grand livre du baseball, les instructions pour stopper une léthargie ne sont pas indiquées. «Dans mon cas, a mentionné Patrick Scalabrini, c’était souvent un coup de circuit qui réglait le problème. » (Photo Le Journal de Québec)

Depuis le début de juillet (et avant le match d’hier), le vétéran frappait dans une moyenne de ,175 avec aucun coup de circuit, seulement deux doubles et sept points produits.

Sa moyenne saisonnière a chuté de ,350 à ,281 en trois semaines.

«Ce n’est pas ma première période creuse ni ma dernière, mais je constate qu’elle se prolonge un peu trop à mon goût. Je me mets beaucoup de pression sur les épaules et je change parfois mon approche durant une présence dans le rectangle. «Dernièrement, je tire beaucoup trop de balles dans mon champ (la droite). Je vais m’en sortir...»

Bons élans recherchés
Le gérant Pat Scalabrini estime que quelques bons élans peuvent mettre fin à une léthargie.

«Je comprends dans quel état d’esprit se trouve Sébastien. Rien ne fonctionne pour lui actuellement. Il cherche parfois à trop en faire. On le remarque durant l’absence de Rene Leveret.»

Dans le grand livre du baseball, les instructions pour stopper une léthargie ne sont pas indiquées. «Dans mon cas, c’était souvent un coup de circuit qui réglait le problème. Ce fut aussi le cas pour Royce Consigli récemment.»

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.