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Juin/13
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Tour de ville de Dublin – la cathédrale St-Patrick, les murailles, le parc Phoenix, les ponts… (1re partie)

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 39e d’une série de reportages relatifs à un long périple intitulé « Le grand tour des îles britanniques » que nous avons réalisé avec Voyages Lambert au printemps 2013!

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Dublin, république d’Irlande, dimanche 9 juin 2013 – Déception! Nous ne consacrons à Dublin, la capitale de l’Irlande, qu’une journée ! Et encore là, une grande partie de la matinée consistera en un tour de ville en autocar, un procédé que tant Céline que moi abhorrons !

Suivre les explications d’une ou d’un guide dans un « Tour de ville en autocar » tient du prodige ! Avouons-le, c’est pratiquement un défi impossible à relever. Le guide étant installé à l’avant du véhicule, il a une vue sur la ville totalement différente de celle des voyageurs qui dans la majorité des cas sont totalement incapables de suivre les descriptions de celui où celle qui voit à 180 degrés devant lui. Qui plus est, le véhicule est en mouvement, ce faisant, bien souvent, l’objet de la description du guide n'est soit pas encore visible par le voyageur, soit du côté opposé à son siège, soit déjà derrière lui…

Ajoutons à cela que pour le voyageur amateur de photos, la situation devient infernale.

Il s'agit vraiment d'un type de visite dont nous nous passerions !

Et c’est dommage de visiter Dublin ainsi, alors que cette ville a tant à offrir ! Dublin est cosmopolite, jeune et vivante, et connaît un essor sans précédent depuis plusieurs années. Elle est devenue un véritable paradis pour le tourisme.

Tentons tout de même de profiter des quelques descentes de l’autocar qui sont au programme : la cathédrale Saint-Patrick, les murailles de la ville, le parc Phoenix, les ponts sur la rivière Liffey…

Photo ci-dessus : La cathédrale Saint-Patrick possède de très beaux vitraux du XIXe siècle… par où le soleil pénètre dans le lieu saints.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Dès notre réveil ce matin, à 6 h 30, nous constatons que le ciel est de nouveau d'un bleu céruléen, toujours libre de nuages! Côté température, nous sommes vraiment bénis des Dieux!

Après notre excellent petit-déjeuner au restaurant du O’Callaghan Stephen’s Green Hotel, nous rejoignons notre groupe de Voyages Lambert à 9 h 20 et nous partons dix minutes plus tard, en autocar, avec notre guide locale à Dublin, Joséphine.

Lorsque nous amorçons le tour panoramique de Dublin, le thermomètre extérieur du véhicule indique déjà 19 degrés Celsius.

Pour l'heure, en ce beau dimanche matin, nous sommes presque seuls dans les rues de la ville.

Nous passons devant le parc St Stephen’s Green, le plus important parc de Dublin. Comme nous l'avons déjà mentionné dans un texte précédent, il est situé tout en face de notre hôtel.

Tout près, des édifices d'habitations à loyer modique (HLM) ont été construits dans les années 1950.

Nous passons devant l'École de technologie et ingénierie.

Nous voyons un homme complètement ivre sur le trottoir… et pourtant, il tient encore une bouteille d'alcool dans les mains!

La cathédrale Saint-Patrick
Nous arrivons devant la cathédrale Saint-Patrick. L'édifice qui se trouve devant nous date du XIIe siècle, mais il a été bâti sur un ancien lieu de culte, datant, quant à lui, du Ve siècle. Ce site aurait été celui sur lequel Saint Patrick baptisait les convertis irlandais.

« C'est la plus grande cathédrale d'Irlande », affirme notre guide.

« C'est ici que se trouve le baptistère, en fait un puits, qu'utilisait Saint Patrick pour baptiser les nouveaux convertis. »

« Il y a une autre cathédrale à Dublin, Christ Church qui est toute proche d'ailleurs. Aujourd'hui, ce sont deux églises protestantes ».

« Le dimanche, nous pouvons visiter la cathédrale Saint-Patrick entre deux messes… et c'est justement le cas pour le moment », nous indique notre guide.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : L'impressionnante cathédrale Saint Patrick de Dublin.

Il est 9 h 35. Joséphine nous indique que nous allons descendre. Elle nous demande d'apporter nos petits récepteurs - ce que nous appelons nos « bidules » dans le jargon de Voyages Lambert - , car il devrait y avoir foule à l'intérieur. Elle pourra ainsi nous entretenir tout au long de la visite.

Nous descendons et entrons dans la cathédrale St-Patrick.

« La cathédrale est le siège du culte anglican de l'église d'Irlande », lance-t-elle en pénétrant dans l'église.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : La nef centrale de la cathédrale Saint-Patrick.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Les monuments funéraires sont partout… et ils sont très impressionnants. Ici, un chevalier à son dernier repos.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Une pierre tombale celtique… affichant des signes chrétiens.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photos ci-dessus : Une statue représentant Henry Richard Dawson (1792-1840) qui a été doyen de la cathédrale Saint-Patrick de 1828 à 1840.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Une statue de Gerald Fitzgibbon (1837-1909), un avocat considéré comme l'un des plus éminents juristes irlandais de son époque.

Nous arrivons devant le superbe monument funéraire de Richard Boyle (1566-1643). Il a été le premier comte de Cork, tout comme il a été lord trésorier du Royaume d'Irlande.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Le monument funéraire de Richard Boyle est immense. Une de ses femmes y gît, ainsi qu'un de ses fils et son père. Les tombes font toutes la hauteur du mur.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Cette superbe statue de Saint Patrick a été réalisée par l'artiste irlandaise Mélanie Le Brocquy en 1941, mais elle n'a été coulée dans le bronze qu'en 2001.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Les vitraux de la cathédrale Saint-Patrick sont superbes.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : …Et les colonnes sont impressionnantes.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Un trou dans une vieille porte… « Il s'agit de la porte de la réconciliation », nous indique notre guide! « Il fut percé en 1492 pour célébrer la réconciliation des seigneurs de Kildare et d'Ormond… et leur permettre de se serrer la main, malgré qu'aucun des deux ne faisait confiance à l'autre. »

Il y a un mur de monuments aux guerres… et un livre où sont inscrits les noms des Irlandais décédés durant les guerres.

« Au fil des siècles, les Irlandais ont toujours fait la guerre, soit contre les Anglais, soit avec les Anglais. »

« Lors de la Première Guerre mondiale, les Irlandais voulaient avoir un métier et un salaire, ils ont joint les rangs de l'armée anglaise. »

« Puis, lors du deuxième conflit mondial, Belfast fut détruit à 50% en raison de la présence d'un chantier naval… alors les Irlandais ont de nouveau joint l'armée de la couronne britannique. »

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Une des pièces d'argenterie du trésor de la cathédrale Saint-Patrick, une réalisation de l'orfèvre Richard Williams… dans les années 1779!

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Une autre oeuvre d'art!

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photos ci-dessus : Il y a un grand nombre de drapeaux et de décorations représentant des régiments irlandais!

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : L'escalier qui mène à l'orgue de la cathédrale.

Au plafond, nous pouvons voir des statues des quatre évangélistes!

Nous voyons un trèfle surmonté de la couronne d'Angleterre. « C'est l'emblème de Saint Patrick », précise notre guide.

Il y a une chaire superbement sculptée.

Joséphine attire notre attention sur le sol. « Le plancher a été refait au XIXe siècle, pour le rendre identique à celui qui existait à l'origine… au XIIe. »

Nous voyons une plaque honorant la mémoire de Douglas Hyde qui fut le premier président de l'Irlande, un protestant.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Il y a une foule de touristes dans l'église, mais on ne peut manquer cette jeune femme vêtue… aux couleurs de l'Irlande!

Notre accompagnateur de Voyages Lambert, Abel Rodrigue, nous indique que la visite de la cathédrale est terminée. Il ajoute que nous avons quinze minutes de temps libre pour continuer notre tour de la cathédrale.

Cathédrale Saint-Patrick, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Céline profite du temps libre pour acheter quelques cartes postales à la boutique de la cathédrale.

Nous repartons en car à 10 h 15. Le mercure continue de grimper. Pour l'heure, il indique 23 degrés Celsius.

Joséphine reprend son micro et, d'un ton indigné, nous lance qu'Oliver Cromwell, au XVIIe siècle, a utilisé la cathédrale Saint-Patrick comme écurie! « Quant à la cathédrale Christ Church, ajoute-t-elle, il en fit un tribunal. »

Elle fait également valoir que la brasserie Guinness a contribué financièrement à la restauration de la cathédrale Saint-Patrick, tandis que la famille du distilleur Henry Roe en a fait de même pour la cathédrale Christ Church… Concurrence oblige.

Les murailles de Dublin
Nous passons justement devant la cathédrale Christ Church, puis devant l'Hôtel de Ville, à proximité desquels notre chauffeur immobilise son véhicule pour un arrêt photo… des murailles de la ville!

Avant de descendre du car, notre guide avance quelques données historiques :

« Même si au IXe siècle les Vikings ont construit un fort sur les rives de la Liffey, là où prend place actuellement la ville de Dublin, les historiens ont fixé à 988 l'année de fondation de la ville. »

« Dublin fut par la suite conquise par les Normands en 1170… Ces derniers construisirent un château et fortifièrent la ville. »

Fortifications, Dublin, république d’Irlande

Fortifications, Dublin, république d’Irlande

Fortifications, Dublin, république d’Irlande

Photos ci-dessus : Une plaque précise « Dublin, City wall and gates »… datant de 1240.

Dublin… vu de l'autocar
Nous regrimpons dans l'autocar et poursuivons notre balade. Nous passons sur la rue des cuisiniers, la Cook st., puis devant le plus vieux pub de Dublin, The Brazen Head.

Fortifications, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Le plus vieux pub de Dublin, le « The Brazen Head ». (Photo Wikipédia)

« On dit que ce pub a ouvert ses portes en 1198, une information bien difficile à vérifier cependant », note Joséphine.

« Certaines sources indiquent plutôt une date d'établissement possible entre 1613-1775. Une chose est certaine toutefois, plusieurs personnalités célèbres s'y sont rendues, dont l'auteur James Joyce, qui a mentionné le pub dans son roman Ulysse. Outre Joyce, Jonathan Swift, l'auteur des Voyages de Gulliver, était un habitué des lieux. »

Nous sommes dans le quartier Liberties et nous longeons la rivière Liffey. Nous traversons un pont et nous nous retrouvons sur le côté nord de Dublin.

Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Nous passons devant la cour criminelle de justice, un édifice ouvert en 2010.

Le parc Phoenix
Nous longeons le parc Phoenix… entouré de 11 km de clôture.

« Il s'agit du plus grand parc d'Europe », claironne notre guide. « En fait, il est deux fois plus grand que Central Park à New York. il se compose de lacs, de jardins, de terrains de sport et même d’un zoo. Il abrite également la maison du président de la République irlandaise, ainsi que celle de l’ambassadeur des États-Unis…Initialement, le parc a été dessiné… pour être un terrain de chasse. »

« Le président actuel du pays est Michael D. Higgins. Il est en poste depuis le 11 novembre 2011. Notre président est élu par le peuple pour sept ans. L'élection de monsieur Higgins mettait un terme 14 années de présidence féminine! »

Du car, nous apercevons un immense monument.

« Cet obélisque de 62 mètres de hauteur a été érigé en l'honneur du comte de Wellington, Arthur Wellesley (1769-1852). Ce militaire et homme politique anglo-irlandais est bien connu pour avoir défait Napoléon à Waterloo. »

« Il n'était pas fier d'être né en Irlande. On lui doit d'ailleurs cette citation célèbre : "Naitre dans une écurie ne fait pas de toi un cheval". »

Nous croisons deux grands parcs de cricket, puis nous passons devant le zoo de Dublin… qui a ouvert ses portes en 1934.

Nous traversons entièrement le parc de Phoenix. Il y a de la verdure des deux côtés de la rue.

Notre guide attire notre attention sur une croix érigée dans le parc. « Elle l'a été suite à la visite du pape Jean-Paul II en 1979. Pour l'occasion, un million de fidèles ont assisté à la messe qu'il a célébrée!  »

Il y a beaucoup de marcheurs et de joggeurs dans le parc. Qui plus est, de nombreuses familles arrivent de tous les côtés pour profiter de la magnifique journée!

Nous revenons près de la rivière Liffey et nous passons devant le Musée national d'Irlande. « Une destination qui pourrait être intéressante pour votre après-midi libre. »

Puis, Joséphine fait remarquer que l'ancienne distillerie Jamieson a été convertie en musée. On y présente l'histoire de la compagnie… et l'on peut y goûter le whiskey.

Notre guide attire notre attention sur le palais de justice, un bâtiment que date de 1780.

Le Ha'penny Bridge
Nous croisons un pont piétonnier. « Il y a 14 ponts qui traversent la Liffey à Dublin », affirme-t-elle.

« Ce pont est nommé le Ha'penny Bridge, ce qui signifie "pont à un demi-penny". »

« Le passage sur cette passerelle au-dessus de la Liffey construite en 1816 coûtait alors un demi-penny. »

« À l’origine, la passerelle s’appelait Wellington Bridge, en hommage à Arthur Wellesly dont nous avons parlé il y a quelques minutes. Le nom fut ensuite changé en Liffey Bridge, qui est toujours le nom officiel, mais il n'y a plus personne qui utilise ce nom. »

Ha'penny Bridge, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Le Ha'penny Bridge a été entièrement restauré entre 2001 et 2003.

« Nous approchons de la rue O'Connell, les "Champs Élysées" de Dublin », lance notre guide.

« Le nom de la rue vise à honorer la mémoire de Daniel O'Connell, le premier catholique à avoir été élu député au parlement irlandais, c'était en 1823. Il a également été maire de Dublin en 1844. Ici, il est un héros, car il a obtenu l'émancipation des catholiques d'Irlande… et avec eux, ceux de tout le Royaume-Uni! »

Un magnifique monument a été érigé en son honneur.

Monument of Light
Nous apercevons une flèche haute de 120 mètres. Il s'agit d'un monument intitulé Monument of Light.

Durant notre temps libre en après-midi, nous reviendrons pour le photographier.

Spire, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : L'encyclopédie Wikipédia nous apprend que la construction de le « Spire » s'est achevée le 21 janvier 2003 sur l'emplacement de l'ancienne colonne Nelson détruite en 1966. Le Spire, conçu par la firme Ian Ritchie Architects, est un cône allongé d'un diamètre de 3 m à sa base se rétrécissant jusqu'à 15 cm tout en haut. Elle est constituée de 8 tubes d'acier.

Nous continuons la visite croisant… le monument Charles Parnell, puis le premier hôpital public de Dublin, la Dublin City Gallery, la The hugh Lane municipal galleries of modern art et un musée à la mémoire des écrivains.

« Au fil des ans, quatre écrivains originaires de Dublin ont mérité des Prix Nobel de littérature : William Butler Yeats (1923), George Bernard Shaw (1925), Samuel Beckett (1969) et Seamus Heaney (1995). De plus, James Joyce et Oscar Wilde ont laissé leurs traces dans la capitale. »

Et justement, toujours dans l'autocar, nous apercevons une sculpture représentant Jame Joyce.

Nous passons devant l'Hôtel de la poste, « le siège du soulèvement de 1816, où des hommes furent exécutés sans procès. »

Et nous continuons… l'hôtel des Douanes, avec quatre statues pour les quatre continents, la gare routière et une flamme dans une sphère métallique, en mémoire du fondateur d'Amnistie internationale.

Nous passons devant le nouveau palais des congrès, « une réalisation de l'architecte Kevin Roach, alors âgé de 87 ans. L'endroit a ouvert en 2010 », ajoute Joséphine.

Nous voyons un bateau de croisière allemand qui est accosté.

Le pont Samuel Beckett
Notre autocar fait demi-tour et nous revenons sur nos pas longeant de nouveau la rivière Liffey dans un quartier totalement refait dans les années 1980.

Notre guide attire notre attention sur un autre pont, récent celui-ci : le pont Beckett, nommé ainsi en l'honneur de Samuel… Il prend la forme d'une harpe, le symbole de l'Irlande.

Durant notre promenade de l'après-midi, nous le prendrons également en photo.

Pont Samuel Beckett, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Officiellement inauguré en 2009, le pont Samuel Beckett est une réalisation de l'architecte espagnol Santiago Calatrava Valls, auteur de nombreux ponts et bâtiments de conception originale. Sa section principale est supportée par 31 câbles d'acier et par une hampe en arc tubulaire, avec un tablier prévu pour 4 bandes routières et deux passages pour piétons, nous apprend l'encyclopédie libre Wikipédia. Le pont est également rotatif à un angle de 90 degrés, permettant le passage de navires sur la rivière, et ce ,via un mécanisme situé au niveau du pylône.

« Deux canaux se rendent à la rivière Liffey, puis sur le Shannon, le plus grand fleuve britannique, nous informe notre guide. »

Nous voyons des kayaks sur la rivière!

À suivre…
Poursuite du tour de ville de Dublin...

Famine Memorial, Dublin, république d’Irlande

Photo ci-dessus : Cette oeuvre intitulée "Mémorial à la famine" a été réalisée en 1997 par le sculpteur dublinois Rowan Gillepsie. Les visages semblent clamer leur souffrance. Parmi eux, un homme semble porter sur ses épaules le corps inerte d’un enfant… Une scène difficile.

Bibliographie
À la découverte de l’Écosse, Luc Giard, 2005, 65 pages;

Atlas en fiches, Royaume-Uni, l’Angleterre, l’Écosse, régions d’Angleterre, Cambridge et Oxford, Édimbourg, la Tamise, l'Irlande du Nord, Londonderry, l'Irlande, etc., Éditions Atlas, 2008;

Bleinheim Palace, Guide des lieux, 1988, 49 pages;

Encyclopédie libre Wikipédia Royaume-Uni, Angleterre, Oxford, la Tamise, Écosse, Édimbourg, Glasgow et plusieurs autres pages;

Irlande, Édition Bonechi, 2012, 128 pages;

La Gloire de l’Écosse, JarroldColour Publications, 1989, 116 pages;

Le Patrimoine mondial de l'UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages;

Les plus belles légendes irlandaises, Eithne Massey, The O’Brien Press, 2013, 64 pages;

LonelyPlanet - Écosse , Publication LonelyPlanet, 2011, version numérique;

L’Écosse, Jean-Louis Mathon, 1990, 125 pages.

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