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L’Ombrie plutôt que la Toscane

Revue de presse

André Désiront, La Presse, le 5 janvier 2012

Orvieto, Ombrie, Italie. Louise Ranger planifie un premier voyage en famille (7 personnes) en Italie, l’été prochain. Elle a l’intention d’emmener sa petite troupe dans le Cinque Terre, puis, en Ombrie, parce que, m’écrit-elle, cette région serait moins chère que la Toscane voisine. Le choix de l’Ombrie, région dont les paysages ressemblent passablement à ceux de la Toscane, avec leurs hauts coteaux tavelés du vert des ifs et du terre-de-Sienne des villages, m’apparaît judicieux.

Photo ci-dessus : Paysage d’Ombrie… saisie tout près de la ville d’Orvieto. (Photo Jacques Lanciault 2012)

Si, mise à part Assise, les petites villes comme Pérouse, Spolète, Orvieto et Gubbio (qui abrite la concentration de bâtiments du Moyen-âge la plus importante, en Italie) sont moins connues que Pise ou San Gimignano, elles n’en méritent pas moins d’être découvertes. Et non loin de Gubbio, Urbino, qui se trouve dans les Marches, vaut le déplacement (pour le palais ducal et la Galleria Nazionale delle Marche).

Quant aux Cinque Terre, avec ses villages longtemps inaccessibles par la route, leur réputation n’est plus à faire. Madame Ranger me demande où atterrir. L’idéal, serait d’atterrir à Nice, qui se trouve à un peu moins de 300 kilomètres des Cinque Terre, et de repartir de Rome, que 140 kilomètres séparent de Pérouse. En été, Air Transat dessert les deux destinations et permet le panachage (débarquer à un endroit et repartir d’un autre).

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.

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