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Le mot du jour : opprobre

Textes et recherches de Jacques Lanciault

Je consigne ici le fruit de recherches sur le sens, l’étymologie, l’écriture ou encore la prononciation de certains mots ou expressions sur lesquels je bute, ou qui tout simplement suscitent ma curiosité au fil de mes lectures...

Opprobre.

Vendredi, 13 juillet 2012

Source de la recherche :
Le paragraphe suivant tiré d’un éditorial de Bernard Descôteaux publié dans le quotidien Le Devoir du 11 juillet 2012 :

« Les citoyens de Mascouche méritent mieux que l’opprobre que leur maire leur inflige. Que peuvent-ils faire dans les circonstances, sinon que dire haut et fort leur indignation ? Mais il n’y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Monsieur Laurent Lessard, ministre des Affaires municipales, écoutez-les! Joignez au moins votre voix à la leur pour inviter Richard Marcotte à prendre congé de la mairie d’ici son procès. C’est le moins que vous puissiez faire. »

Définition :
Le dictionnaire du correcteur électronique Antidote définit le nom masculin opprobre comme suit : « Ce qui humilie, inflige un déshonneur extrême et public. »

Antidote propose les exemples suivants : Jeter l’opprobre sur une famille. Couvrir une personne d’opprobre.

Le dictionnaire Le Grand Robert de la langue française propose, quant à lui, la définition suivante : « Ce qui humilie à l'extrême d'une manière éclatante et publique; réprobation vive et générale. »

Photo ci-dessus : De héros à zéro!

Remplis sous: La folie des mots Mots clés:
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