En route pour la Grèce sous la protection d’Éole!

Texte et photos de Jacques Lanciault

Ce texte constitue le premier d’une série de reportages sur un magnifique voyage en Grèce effectué au mois de mai 2007.

Laval, Québec, samedi, 5 mai 2007 - Notre belle escapade de 22 jours en sol grec a pris son envol le samedi 5 mai. Déjà, la veille, nous avions bouclé nos bagages. Jean-Pierre, le père d’Isabel, notre belle-fille, est de notre groupe. Il nous a gentiment offert de venir nous prendre à Laval pour le grand départ. Sitôt, nos deux valises dans le coffre arrière de son véhicule, nous partons, direction Dorval, à l'aéroport Pierre-Elliot-Trudeau d’où notre vol doit décoller à 18 h 40.

Notre photo : Nous venons à peine de descendre de l’avion. Malgré une nuit presque sans sommeil Céline est débordante de vie!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Jean-Pierre a eu la gentillesse de venir nous chercher à Laval.

Au comptoir des départs, l'enregistrement des bagages et l’assignation de nos sièges à bord du vol sont des formalités promptement complétées. Vers 18 heures. Nous montons à bord de l’appareil, un airbus de la compagnie Olympic Airways.

Céline en attente de l’appel pour l’embarquement.

Nos sièges, donnant sur un hublot, sont situés à l’avant de l’appareil. Jean-Pierre est un peu plus loin derrière nous. Un oreiller et une couverture nous attendaient sur le fauteuil. Nous disposons tous d’un téléviseur individuel, ça augure bien. Il fait encore un beau soleil, lorsque nous décollons avec dix minutes d'avance à 18 h 30.

Vers 20 heures, un excellent souper nous est servi, avec du vin! On nous offre le choix entre une lasagne et une poitrine de poulet avec légumes. Une salade aux crevettes, baignant évidemment dans l’huile d’olive, et un bon gâteau au chocolat accompagnent le tout. Nous sommes à des lieux des repas servis à bord d’Air Transat!

Malgré tous les efforts des agents de bord, la nuit demeure difficile. En fait, nous avons peu dormi.

Le petit déjeuner nous est servi vers deux heures du matin, heures de Montréal. Un jus d'orange froid avec une pâtisserie danoise, un petit pain avec confiture de fraises, une salade de fruits et un café. Déjà, le soleil brille de ses plus beaux rayons. Nous volons au-dessus de l'Italie du Sud. Il reste tout au plus une heure de vol avant de se poser à l’aéroport d’Athènes, où il est déjà dimanche matin.

Nous atterrissons à l'aéroport d'Athènes à 10 h 10, heure de Grèce, le dimanche 6 mai et après avoir récupéré nos bagages, nous montons dans l’autocar une cinquantaine de minutes plus tard. Une grande autoroute moderne nous amène au centre-ville de la capitale de la Grèce, Athènes. Une ville de quatre millions d'habitants! Déjà, le mercure indique 23 degrés Celsius et selon notre guide, Marie-Andrée Simon, il grimpera à 30 aujourd'hui. Cette dernière est née à Marseille, mais elle vit à Athènes depuis plus de 30 ans.

Photo ci-dessus : Aéroport d’Athènes, les premiers mots écrits avec des lettres de l’alphabet grec que nous voyons. On y indique l’heure de départ d’un vol pour Toronto et Montréal!

Nous arrivons à notre hôtel, le Parthenon. Notre chambre est dotée d’un petit balcon privé donnant sur une rue étroite.

Notre première journée à Athènes est libre, c’est-à-dire qu’aucune visite avec le groupe n’est prévue. Malgré la fatigue, nous voulons éviter de dormir afin d’amener notre biorythme à l’heure grecque le plus tôt possible. Donc, nous donnons rendez-vous à Jean-Pierre dans le hall d’entrée pour notre première promenade dans la capitale de la Grèce!

À suivre … promenade dans le quartier de Pláka, changement de la garde devant l’édifice du parlement, les rues d’Athènes et une sculpture en l’honneur de Mélína Mercouri.

Un évzone, vêtu de l'uniforme traditionnel, monte la garde devant le Parlement grec.