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Un musée formidable… le Musée Calouste-Gulbenkian de Lisbonne!

Texte, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 101e d’une longue série de reportages relatifs à une étourdissante odyssée en Andalousie et en Algarve, un voyage à quatre que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal au printemps 2014

La lecture, Henri Fantin-Latour, Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Lisbonne, Portugal, mercredi 11 juin 2014 - Toujours sous le charme de nos visites de la matinée, le monastère des Hiéronymites, le monument aux Découvertes et la tour de Belém, et après un agréable dîner complété par la dégustation d’authentiques pastéis de nata, à l’endroit même où ils sont préparés, soit à la Fábrica dos pastéis de Belém, nous filons au Musée Calouste-Gulbenkian.

Les guides de voyages que nous avons consultés mentionnent tous qu’il est un des plus beaux musées de Lisbonne… ce que notre visite confirmera.

Les objets exposés proviennent de la collection privée de l’homme d’affaires arménien qui vécut les 14 dernières années de sa vie à Lisbonne, Calouste Gulbenkian.

Ce qui nous a le plus plu dans ce musée, je crois, est la grande variété des œuvres de la collection : art égyptien, art mésopotamien, art de l’Orient islamique, art d’Extrême-Orient, art européen, art décoratif français et européen! Il y a vraiment de tout, dont plusieurs œuvres de grands maîtres.

Qui plus est, les œuvres sont présentées dans de belles et spacieuses salles qui, presque toujours, s’ouvrent sur les magnifiques jardins qui entourent la propriété. Il y a des toiles, des sculptures, des meubles, de la monnaie ancienne, etc.

Nous terminerons cette superbe journée de visites en nous arrêtant à la Conserveira de Lisboa, un commerce de boîtes de sardines ayant pignon sur rue à Lisbonne depuis 1930… situé à un jet de pierre de notre hôtel!

Photo ci-dessus : La magnifique toile intitulée « La lecture » du peintre français Henri Fantin-Latour (1836-1904) est un des chefs-d’œuvre d’art européen que nous avons admirés au Musée Calouste-Gulbenkian de Lisbonne. La lecture est un thème qui a fait l’objet de plusieurs œuvres bien connues d’Henri Fantin-Latour. Cette toile date de 1870.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N. B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Il est 15 h 15 lorsque nous sortons de notre pause gourmande à la « Fábrica dos pastéis de Belém ». Nous reprenons le tram numéro 15 pour nous rendre à la station de métro la plus proche.

Nous entrons dans la station Cais do Sodré… puis après une seule station, nous descendons et passons à la ligne bleue pour finalement descendre à la station São Sebastião.

De là, nous marchons durant de longues minutes sous un soleil de plomb en direction du Musée Calouste-Gulbenkian… où nous entrons à 16 h 10.

Nous ne sommes que trois, Carole, Céline et moi, notre ami Claude ayant opté pour une visite du casino de Lisbonne.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : L’entrée du Musée Calouste Gulbenkian.

À l’entrée de la bâtisse, nous achetons nos billets à 4 € chacun, au lieu de 5, et ce, suite à la présentation de notre Lisboa Card.

Après avoir passé le guichet, nous nous retrouvons devant un superbe groupe sculptural… On y voit trois femmes debout derrière une licorne!

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Magnifique groupe réalisé par le sculpteur français Alfred Auguste Janniot. L’œuvre est intitulée « Printemps ou hommage à Jean Goujon »!

Nos recherches sur Internet nous ont permis de découvrir la curieuse histoire de cette œuvre.

Le groupe sculptural monumental a été produit par Alfred Auguste Janniot pendant ses études à Rome (1919-1924).

De retour en France, le groupe est exposé à l’extérieur du pavillon le plus visité de l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes de Paris 1925, l’hôtel d’un riche collectionneur, plus connu comme le pavillon Ruhlmann.

Calouste Gulbenkian a acquis ce groupe en 1939, avec comme but de l’exposer dans le jardin de sa propriété de Deauville. Mais son paysagiste ne fut pas d’accord avec ce projet.

Le groupe fut donc, stocké au « Musée d’Art moderne de Paris », alors localisé dans le « Petit Palais », et ce, pendant 20 ans.

Quelques années après la mort de Gulbenkian, en 1962, ce groupe trouva sa place à l’entrée du musée Gulbenkian de Lisbonne où il accueille dorénavant tous les visiteurs du musée!

À peine entrés dans ce premier immeuble du musée, nous ressortons à l’extérieur pour nous rendre à l’édifice voisin.

Il y a un beau jardin, que nous traversons, croisant au passage une salle de spectacle en plein air! Nous marchons à l’ombre sous les arbres afin de nous protéger du soleil. Le calme le plus total règne dans le jardin. Nous y restons durant quelques minutes. C’est très reposant.

Nous profitons de notre promenade pour jeter un coup d’œil à la brochure en français qui nous a été remise à l’entrée pour nous expliquer le musée!

« Le Musée Calouste Gulbenkian est considéré comme l’un des plus intéressants du Portugal », pouvons-nous y lire.

« Votre visite vous conduira de l’Égypte ancienne jusqu’à nos jours, en croisant une grande quantité d’œuvres européennes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe »… Wow, c’est une période que nous chérissons particulièrement Céline et moi.

Nous apprenons également qu’au cours de sa brillante carrière d’homme d’affaires, Calouste Sarkis Gulbenkian, né en 1869 au sein d’une famille d’origine arménienne, est devenu un collectionneur doté d’une sensibilité exceptionnelle.

Il vécut les 13 dernières années de sa vie à Lisbonne, où il est décédé en 1955.

Au cours de cette période à Lisbonne, il créa une fondation à son nom, une fondation dont le but premier était de rassembler ses œuvres d’art sous un même toit.

Finalement, c’est en 1962 que le musée ouvre ses portes. Le musée propose alors les 6 000 pièces de la collection du fondateur, elle qui rassemble des œuvres allant de l’Antiquité jusqu’au début du XXe siècle.

« Nous pourrons y admirer, précise-t-on, des pièces d’art égyptien, d’art gréco-romain, d’art de l’Orient islamique et d’art de l’Extrême-Orient, tout comme des pièces de numismatique, des peintures, des sculptures et des arts décoratifs européens. »

Nous entrons dans une des salles d’exposition, celle des arts égyptiens.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Le visage du pharaon Sésostris III sculpté dans de l’obsidienne, une œuvre datant de 1860 avant Jésus-Christ.

Il y a de belles statuettes.

Nous passons assez rapidement dans la section des arts gréco-romains où sont exposés des bijoux et des pièces de monnaie.

Puis, nous arrivons dans la section de l’orient islamique. Wow! Il y a des tapis, des vases, des manteaux en soie, des mihrabs en faïence, des azulejos, dont certains portent des inscriptions en arabe.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : Des azulejos datant des XIIIe, XIVe et XVe siècles provenant de Perse.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : De beaux vases.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Un bouquet de fleurs en azulejos. Une œuvre du XVIe siècle provenant de Turquie.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une lampe cylindrique datant du XIVe siècle… d’Égypte.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une assiette certainement décorée à la main au XVIe siècle.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Un panneau d’azulejos provenant de Turquie et datant du XVIe siècle.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une autre œuvre réalisée en Turquie au XVIe siècle, une superbe assiette.

Nous entrons dans la salle d’art d’extrême orient. Nous sommes accueillis par une paire de lions provenant de la Chine et datant de l’époque de la dynastie de Qing.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Deux magnifiques porcelaines de Chine! Une paire de lions « Fo Dogs » réalisée entre 1700 et 1720.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Un vase du XVIIIe siècle de Chine.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : Un remarquable paravent Coromandel géant datant du XVIIe siècle.

« Ce paravent a, apparemment, été donné en cadeau à un haut dignitaire local!

Le paravent se compose de douze panneaux de bois reliés par des charnières, elles aussi en bois. Toute la structure a été recouverte d’une couche de poudre d’argile, protégée par des fibres textiles ajoutées pour créer une base pour les nombreuses couches de laque.

Une fois la laque bien séchée, elle était incisée selon des dessins préalablement tracés et les espaces ainsi obtenus étaient remplis de pigments de couleurs vives (rouge, jaune, turquoise, bleu, etc.) avant d’être enfin polis! »

Ce qui est particulièrement curieux, nous indique un texte de 2015 du quotidien généraliste de Suisse « Le Temps », c’est le nom du paravent : Coromandel.

« Bien qu’il s’agisse d’un art chinois, les fameux paravents portent le nom d’une côte du sud-ouest de l’Inde, baignée par le golfe du Bengale. Rien ne l’atteste, mais dans les articles dédiés à cet art on lit qu’ils ont été nommés ainsi parce que c’est dans ces ports indiens qu’ils étaient transportés à bord des navires de la Compagnie des Indes avant d’être exportés vers l’Europe. »

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : Splendide œuvre en soie… une pièce réalisée au XIXe siècle au Japon.

Puis, nous arrivons dans une grande section traitant de l’art européen où la toile « Portrait d’une jeune femme » de Domenico Ghirlandaio (1449-1494) domine la pièce.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : « Portrait d’une jeune femme » de Domenico Ghirlandio, une toile réalisée en 1490, est l’œuvre phare du musée, du moins celle utilisée dans les documents publicitaires!

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une sculpture en marbre d’une « Vierge à l’enfant » réalisée en 1461 à Florence par Antonio Rossellino (1427-1479).

Plusieurs tableaux sont de grands formats!

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Vierge à l’enfant d’artistes de l’école de Jan Gossaert, dit Mabuse, un peintre maniériste flamand!

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : « Portrait d’un vieil homme », une toile de Harmensz
Rembrandt (1606-1669).

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une toile de Pierre Paul Rubens (1577-1640) réalisée en 1630-1632, « Portrait d’Helena Fourment »… elle qui fut la deuxième épouse de l’artiste.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : « Les amours des Centaures », une huile sur bois réalisée également par Pierre Paul Rubens, celle-ci en 1635.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : « La danse » de Giulio Romano (1499-1546), une œuvre réalisée vers 1539-1545 à Mantoue ou à Ferrare.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une sculpture époustouflante, « Saint-Martin, à cheval, partageant son manteau avec un mendiant »… d’un artiste inconnu.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : « Diane, déesse de la chasse », réalisée en 1780 par Jean-Antoine Houdon (1741-1828).

Il y a de très beaux meubles et des tapis d’Aubusson datant du XVIIIe siècle. Aussi des services de table dont, des soupières, des saucières, des samovars et des cafetières… en argent.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Un de ces meubles.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : « Portrait de madame du Barry » de Jean-Baptiste André Gautier-Dagoty (1740-1786), une œuvre réalisée au XVIIIe siècle. Notons que madame du Barry fut la dernière favorite du roi Louis XV… elle a été guillotinée à Paris le 8 décembre 1793!

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : « Portrait of Lady Elizabeth Conyngham », une toile de Sir Thomas Lawrence (1769-1830).

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : « Portrait de Miss Constable », une œuvre de l’artiste anglais George Romney (1734-1802) réalisée en 1787!

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : « Naufrage »… de l’artiste britannique Joseph Mallord William Turner (1775-1851).

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal
Photo ci-dessus : « Le miroir de Vénus » de Edward Burne-Jones (1833-1898)!

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : « Flora », un marbre superbe de Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875), un sculpteur, peintre et dessinateur français.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Portrait de madame Claude Monet… de Pierre-Auguste Renoir (1841-1919).

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Détail de la figure énigmatique de Charlotte Dubourg que nous pouvons admirer dans le tableau « La lecture »…d'Henri Fantin-Latour... elle qui fixe intensément l'observateur... ou le peintre.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une sculpture d’Auguste Rodin qui montre Jean D’Aire, un des bourgeois de Calais.

La fiche de cette œuvre disponible sur le site Internet du musée est intéressante.

Nous pouvons y lire : « Le monument aux Bourgeois de Calais, un travail réalisé par Rodin en onze ans, évoque un épisode ayant eu lieu pendant la guerre de 100 ans, comme le décrit le chroniqueur Froissart.

L’histoire raconte le patriotisme et le courage de six des principaux citoyens de Calais, qui se sont volontairement offerts en otages à Édouard III d’Angleterre, afin qu’il lève le siège de la ville et sauve la population affamée.

Rodin a dépeint ces martyrs à un moment crucial, alors qu’ils s’apprêtaient à quitter la place du marché en route vers l’exécution.

Chacun de ces hommes a sa propre identité physique et ses caractéristiques psychologiques, qui expliquent leurs différents états d’esprit face au martyre.

La sculpture en bronze présentée au musée représente Jean d’Aire, l’un des six hommes. Il porte les clés de la ville dans ses mains fortes! »

Des bijoux
Puis, nous passons à la salle consacrée à l’Art nouveau où est présenté un ensemble de bijoux et de verreries de René Lalique… une collection considérée comme unique au monde!

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Ornement de corsage intitulé « Femme libellule ». (Photo provenant du site Internet du Musée Calouste Gulbenkian)

Nous sortons à 17 h 45, très heureux de notre visite. C’est un très beau musée, bien aménagé, spacieux et très varié en termes d’œuvres.

En sortant, nous apercevons un groupe sculptural représentant une statue de monsieur Gulbenkian posant devant un énorme oiseau.

Musée Calouste-Gulbenkian, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Voici Calouste Gulbenkian immortalisé dans le jardin de son musée, tout près de l’édifice de la « Fondation Calouste Gulbenkian ». Le monument a été réalisé à partir d’une photo de 1928 montrant monsieur Gulbenkian assis devant une statue du dieu Horús devant le Grand Temple d’Edfou en Égypte.

Nous filons vers la station de métro par où nous sommes arrivés.

Toutefois, plutôt que de nous rendre à notre dernière visite prévue au programme pour aujourd’hui, le musée des azulejos, étant donné l’heure, nous revenons vers notre hôtel.

La Conserveira de Lisboa
Notre promenade sous terre nous ramène à la praça do Commercio… d’où nous marchons jusqu’à la Conserveira de Lisboa… une véritable institution à Lisbonne.

L’entreprise, qui a été créée en 1930, propose des conserves de poissons réalisées de manière traditionnelle.

Nous avions vu un reportage télé sur ce commerce présenté sur les ondes de TV5 Monde… et étant donné qu’il est situé tout près de notre hôtel, nous l’avons ajouté à notre programme de visite.

Malgré l’heure tardive, il y a une courte file d’attente devant le magasin.

Nous entrons et achetons 4 boîtes de sardines. Et wow, nous avons été servis en français (8,45 €).

La Conserveira de Lisboa, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Un tout petit magasin… où les clients affluent de partout dans le monde.

La Conserveira de Lisboa, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une dame est à l’œuvre dans la petite boutique de la « Conserveira de Lisboa » à mettre la dernière touche aux emballages colorés des petites boîtes de thon, de sardines ou encore de poulpes…

La Conserveira de Lisboa, Lisbonne, Portugal

Conserveira de Lisboa, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Et voici les quatre boîtes que nous avons ramenées au pays!

La Conserveira de Lisboa, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Le commerce affiche encore une des vielles caisses enregistreuses qu’elle a utilisée dans le passé.

Finalement, nous revenons à l’Hôtel à 19 heures.

Nous nous donnons rendez-vous pour le souper à 20 h 30. Nous nous rendrons à un resto que nous avons aperçu au cours de la journée : « Prima Pasta ».

Céline y savourera une excellente salade au poulet accompagné d’un verre de vin blanc, tandis que je m’offrirai une salade de thon avec une bouteille d’eau minérale.

Excellent repas peu dispendieux (50 € pour quatre personnes) et merveilleuse soirée à rire et à jaser.

De retour à notre chambre un peu passé 22 heures.

À suivre
Dernière expédition de notre périple demain. Nous nous rendrons alors à Sintra, une cité musée sise à moins d’une heure de train de Lisbonne.

Palácio Nacional, Sintra, Portugal

Photo ci-dessus : De partout à Sintra, nous apercevons les deux curieuses tours coniques du « Palácio Nacional ».

Pour lire nos autres textes portant sur notre périple en Andalousie et en Algarve que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal, cliquez sur le lien suivant : Douce chaleur andalouse - Espagne

Pour lire nos autres textes portant sur notre périple en Andalousie et en Algarve que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal, cliquez sur le lien suivant : Douce chaleur andalouse - Portugal

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