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Accueil pour le moins chaotique à Lisbonne!

Texte, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 95e d’une longue série de reportages relatifs à une étourdissante odyssée en Andalousie et en Algarve, un voyage à quatre que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal au printemps 2014

Lisbonne, Portugal

Faro - Lisbonne, Portugal, lundi 9 juin 2014 - Nous en sommes aujourd’hui au 43e des 50 jours de notre périple en Espagne et au Portugal et, avouons-le, rien de vraiment fâcheux n’est survenu jusqu’à ce jour!

En partant de Faro ce matin à destination de Lisbonne, nous croyions bien que « notre beau projet », comme nous l’appelons affectueusement entre nous quatre, Carole, Céline, Claude et moi, se terminerait ainsi, car Lisbonne est la dernière ville où nous installons nos pénates avant le retour au Québec.

Mais, ce ne fut pas le cas, car une série de mauvaises surprises nous attendait à notre arrivée dans la capitale du Portugal!

Voici donc le « pas à pas » de cette journée d’enfer, particulièrement difficile et stressante… qui, tout de même, s’est bien terminée!

Photo ci-dessus : Nos deux chauffeurs de taxi n’ont pas la moindre idée du trajet à suivre pour nous amener à l’appartement que nous avons loué à Lisbonne. Se fiant à leurs cartes routières, ils foncent dans de petites ruelles, dont une qui était trop étroite pour laisser passer leurs véhicules. Pas d’autres choix que de faire marche arrière. (Photo : Carole Larivée)

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N. B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Notre dernière nuit à Faro en Algarve a été réparatrice. Si bien qu’à 6 h 20, tant Céline que moi sommes bien réveillés.

Céline me mentionne qu’elle est à la retraite depuis trois ans aujourd’hui. Wow! Trois superbes belles années ponctuées de plusieurs voyages.

Après un autre excellent petit-déjeuner au restaurant de l’Hôtel Eva, nous bouclons nos valises et réglons la note à la réception.

Faro, Algarve, Portugal

Photo ci-dessus : Dernier regard sur la magnifique et paisible petite marina de Faro que nous avons pu admirer à satiété depuis notre chambre à l’Hôtel Eva.

Tout comme hier, le soleil brille de tous ses feux. Carole et Claude nous rejoignent dans le lobby de l’hôtel et nous sautons dans un taxi, il est 9 heures.

Le trajet vers la gare ferroviaire est très court… mais nos valises sont si lourdes, que le déplacement en taxi s’impose (6 €).

Un trajet en train sans histoire
Nous entrons à la gare nos billets de train en main. Des billets que nous avons réservés du Québec de la société publique qui exploite les services ferroviaires nationaux au Portugal, la CP - Comboios de Portugal, EPE, comboios signifiant « trains » en français.

Des billets de première classe pour le trajet Faro-Lisbonne, payés 17 € chacun, avec siège réservé. Le départ est prévu pour 9 h 46 et la durée du trajet est d’un peu plus de trois heures.

Dès notre entrée dans la gare nous constatons que les communications à l’attention des voyageurs ne sont qu’en portugais. Nous cherchons le bon quai… que nous trouvons finalement.

Nous grimpons dans le wagon 81, nous avons les sièges 34 et 36, tandis que Carole et Claude sont assis face à nous aux sièges 33 et 35. Quatre sièges séparés par une table.

Petit hic cependant, il n’y a pas de compartiment pour les valises. Nous devons laisser nos bagages près des portes d’entrée et de sortie du wagon… pas très très sécuritaire.

Le train s’ébranle à 9 h 50 avec quelques minutes de retard. Mais, il prend rapidement une vitesse de croisière rapide. En fait, il file à vive allure.

Le train s’arrête une première fois à 10 heures… mais beaucoup d’autres arrêts suivront, notamment à Albufeira, Messines, Funcheira, Ermidas-Sado, Pinhal Novo et à Pragal, en banlieue de Lisbonne.

Puis, notre convoi entre dans un long tunnel… nous émettons l’hypothèse qu’il passe sous le Tage, sans toutefois pouvoir le vérifier! Par la suite, il emprunte un long pont ferroviaire.

Finalement après un arrêt à la gare de Sete Rios à Lisbonne, nous arrivons, quelques minutes après 13 heures à notre gare, celle d’« Entrecampos ».

Le début de nos difficultés
Nous descendons, sortons de la gare et nous nous dirigeons vers la station de taxis.

Première surprise de la journée, aucun chauffeur de taxi n’accepte de nous prendre à quatre avec nos cinq valises! Pas de problème, nous retenons deux véhicules, après tout l’appartement loué est situé à moins de cinq kilomètres de la gare!

Toutefois, c’est la première fois depuis le début de notre expédition qu’un chauffeur refuse de nous prendre tous les quatre!

Deuxième mauvaise surprise, pas mal plus désagréable celle-là, aucun des nombreux chauffeurs de taxi en attente à la gare ferroviaire de « Entrecampos » ne connaît la rue où est situé l’appartement que nous avons loué… « Patio Afonso de Albuquerque, 3"!

Et aussi surprenant que cela puisse paraître aucun de ces transporteurs de touristes patentés n’utilise de GPS… dans une ville qui fait 84 kilomètres carrés!

Après plusieurs minutes à observer nos chauffeurs analyser leurs cartes routières, soudainement, notre compagne Carole s’exclame, « Mais Jacques, utilise ton GPS! »

Eh oui, nous avons apporté notre appareil GPS auquel nous avons ajouté les « cartes de l’Europe »! Évidemment, devant l’incongruité de la situation, nous n’y avions pas pensé plus tôt. Je branche donc mon appareil qui, en moins de temps qu’il en faut pour s’écrier « Eurêka », nous indique le trajet.

Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Me voici avec mon GPS indiquant le trajet pour nous rendre à l’appartement du « 3, Patio Afonso de Albuquerque »… Mais comme nous pouvons le constater sur la photo, nos chauffeurs de taxi sont indifférents à mon appareil. (Photo : Carole Larivée)

Petit problème toutefois, la charmante voix de mon appareil ne parle pas portugais! Je dois donc me transformer en traducteur! Je traduis tantôt en espagnol, tantôt en français, tantôt en anglais, tantôt dans un mélange des trois langues et bien souvent en utilisant des signes!

Mais, rien n’y fait, nos deux chauffeurs n’en font qu’à leur tête. Si bien, qu’à un moment donné notre chauffeur s’aventure dans une petite ruelle beaucoup trop étroite pour son véhicule!

Après avoir éraflé sa voiture des deux côtés, il doit finalement faire marche arrière… ce qui s’avère particulièrement laborieux, notamment en raison de la présence de l’autre véhicule taxi collé à son collègue comme son ombre et des nombreux passants admirant le spectacle.

Finalement, après une bonne trentaine de minutes à tourner en rond, les deux chauffeurs quittent leur véhicule et se mettent à s’enquérir auprès de tous les commerçants du coin et auprès de tous les passants, du chemin à suivre pour arriver au « Patio Afonso de Albuquerque »… tout cela pendant que le compteur tourne, évidemment!

Notre ami Claude descend du véhicule pour s’enquérir de ce qui se passe. Il dépose son sac à dos en bordure du trottoir. Mais, les chauffeurs se déplacent d’un commerce à l’autre… et Claude les suit en oubliant son sac!

Enfin, un bon samaritain connaissant bien le coin vient en aide aux deux chauffeurs… qui n’ont qu’une hâte se débarrasser de nous le plus rapidement possible.

Les deux conducteurs tout heureux, suivi de Claude, reprennent place dans les véhicules et nous repartons.

Soudain, Carole s’aperçoit que Claude n’a pas son sac à dos. Elle demande au chauffeur de s’arrêter et Claude sort en courant récupérer son sac… Il est encore là où il l’avait laissé, avec les précieux passeports à l’intérieur… et probablement pas mal d’euros!

Nous repartons une autre fois et finalement nous descendons, après 45 minutes de trajet, pour un coût de 20 € par véhicule. Nous sommes à l’entrée de la rue, ou plutôt de la ruelle, où est situé notre appartement!

Il est alors 14 h 30… et nous pensions bien être au bout de nos peines!

La pire des situations!
Ayant informé notre locateur par courriel de notre heure d’arrivée avant notre départ du Québec, et ce, à sa demande expresse, nous croyions bien que nous serions attendus… à bras ouvert!

Mais non, personne en vue lorsque nous nous pointons devant l’immeuble du 3 de la rue « Patio Afonso de Albuquerque ». Nous sonnons à l’appartement que nous avons réservé.

Une dame ouvre une fenêtre au deuxième étage et nous indique, tout d’abord en anglais, puis en français après nous avoir entendus parler, que nous avons dû réserver l’appartement voisin.

Nous lui précisons que notre réservation indique bien l’appartement numéro 3. Elle nous demande alors avec qui nous avons transigé. Nous lui donnons le nom de notre contact. Elle s’exclame, ayant l’air vraiment bouleversé, « c’est mon mari et pourtant il m’a confirmé qu’il n’y avait pas de location cette semaine et que je pouvais prendre l’appartement pour les prochains jours! »

Puis, après un moment de réflexion, elle ajoute : « Et avec les festivités entourant la fête de San Antonio (le saint patron de la ville) et de la fête de Lisbonne cette semaine, c’est certain que je ne trouverai pas d’autre endroit pour m’héberger… et je demeure en Suisse! »

Elle nous informe ensuite qu’elle ne peut rejoindre son mari, ce dernier étant sur son bateau. Elle se met alors à réfléchir tout haut sur le comment elle pourrait se trouver un lieu d’hébergement.

Suspectant l’arnaque, nous lui demandons alors de nous rembourser notre dépôt de garantie de 200 €. La dame nous répond qu’elle n’a pas cette somme sur elle.

Puis surprise! Elle joint par téléphone son mari qui prétend que notre réservation est pour le mois de juillet! Toutefois, il invite son épouse à le rejoindre sur son bateau. Elle nous offre alors de déposer nos bagages dans l’appartement et d’aller dîner dans les environs… pendant qu’elle se prépare à partir… après avoir remis l’appartement en état.

Évidemment, nous comprenons qu’il nous faudra attendre un certain temps pour qu’elle puisse réaliser ce ménage, qui sera, à n’en pas douter, minimal. Qui plus est, notre confiance envers notre hôtesse a totalement disparu et l’idée de lui laisser nos bagages ne nous plaît vraiment pas. Nous lui redemandons une autre fois le remboursement de notre dépôt.

Toujours au téléphone avec son mari, elle retourne dans son appartement et en revient avec deux beaux billets de 100 €… et une feuille de papier qu’elle nous demande de signer confirmant qu’elle nous a remboursés.

Nous sommes satisfaits de ce dénouement, mais loin d’être heureux, après tout, nous nous retrouvons, à 15 h 30, très déçus, fatigués, affamés, et surtout sans appartement… avec un océan entre nous et notre domicile…

Calmons-nous… et réfléchissons!
Nous y allons alors de quelques pas, avec tous nos bagages, curieusement qui sont de plus en plus lourds!

Pour l’heure, Céline et moi sommes convaincus que c’est la fin de notre beau périple. Pour nous, la solution qui s’impose est de réserver une chambre à l’aéroport pour cette nuit et de prendre le premier vol disponible vers Montréal.

Nous nous installons à 15 h 30 à une table de la terrasse du restaurant « Carioca Café » pour avant tout dîner, puis réfléchir, nous disant qu’il y a toujours une solution… si on est prêt à payer!

Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Près de notre table au « Carioca Café », il y a ce banc de parc où nous entassons nos valises… Notre serveur vient nous mettre en garde qu’il serait plus prudent de placer nos valises tout près de nous!

Sous le coup de l’émotion, nous lui faisons part de nos états d’âme et de notre problème. Ce dernier, très gentil, qui parle un excellent français, nous indique des lieux d’hébergement tout près.

Puis nous passons notre commande : soupe aux légumes et salade mixte pour Céline et salade de thon pour moi.

Céline et Carole s’offrent un demi-litre de vin blanc, tandis que Claude et moi y allons d’une bière chacun (52 €).

Rassasiés, moins stressés, de nouveau confiants en l’avenir, nous rejetons le retour anticipé au Québec et décidons de passer à l’action.

Pendant qu’un couple veillait sur les bagages à notre table (Carole et moi), l’autre (Céline et Claude) se rend visiter les endroits indiqués par notre serveur pour s’enquérir premièrement s’il y avait des disponibilités en cette semaine de fêtes et deuxièmement si on nous offrait un prix raisonnable!

Le premier endroit était fermé, la seule possibilité de louer étant par Internet. Puis, le deuxième endroit, l’Hôtel Vincci, situé à deux pas du petit restaurant, pouvait nous offrir deux chambres pour la semaine… pour presque quatre fois le prix que nous avions prévu. Mais avons-nous vraiment le choix… et surtout le goût de continuer à chercher!

De retour au resto-terrasse, Céline et Claude nous présentent la situation et nous décidons tous les quatre de nous installer à cet hôtel.

Nous nous ramenons à l’hôtel, cette fois-ci avec nos valises.

Hôtel Vincci Baixa, Lisbonne, Portugal

Hôtel Vincci Baixa, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : L’Hôtel Vincci Baixa… de Lisbonne où nous nous installons pour une semaine.

C’est le gérant de l’établissement en personne qui nous reçoit. Il compatit avec nous et nous offre les sept nuitées à son établissement pour 135 € la nuit… petit-déjeuner inclus!

Du coup la pression redescend. Nous sommes heureux. On nous attribue la chambre 211, tandis que Carole et Claude ont la 210.

Il est 17 h 30 lorsque nous prenons possession de nos chambres. Nous nous y installons tranquillement, et ce, après s’être donné rendez-vous à 19 h 45 pour une promenade dans les environs et pour le repas du soir.

La Praça do Comércio
Après une bonne douche, nous décidons de faire contre mauvaise fortune bon cœur et de profiter à plein de notre dernière semaine de voyage.

Nous rejoignons Carole et Claude et amorçons paisiblement notre promenade dans le quartier Baixa de Lisbonne. C’est donc quelques minutes avant 20 heures que nous prenons la direction du Tage… le mythique fleuve situé à un jet de pierre de l’hôtel.

Pour nous y rendre nous traversons une grande et magnifique place, la Praça do Comércio, la place du Commerce en français.

Nous accédons à cette superbe place par un grand arc de triomphe recouvert de figures historiques.

Notre guide de voyage nous apprend « qu’elle est la plus jolie de toutes les places de Lisbonne ».

Et c’est vrai qu’elle est impressionnante. Elle est grande, majestueuse et entourée, sur trois côtés, par des bâtiments jaunes, des édifices classiques d’architecture pombaline… tandis que le quatrième côté donne sur le magnifique fleuve Tage!

« C’est une place noble, sévère et élégante à la fois. Elle symbolise la nouvelle Lisbonne du marquis de Pombal. »

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Une vue d’ensemble de la très grande Praça do Comércio de Lisbonne.

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : La « Praça do Comércio » présente en son centre un impressionnant monument surmonté d’une statue équestre du roi Joao 1er. Le monument a été inauguré en 1775. La statue de bronze, qui est la première statue monumentale dédiée à un roi à Lisbonne, a été conçue par le sculpteur portugais Joaquim Machado de Castro (1731-1822).

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Praça do Comércio, Lisbonne, Portugal

Photos ci-dessus : Quelques détails du magnifique monument dédié au roi Joao 1er.

Nos lectures nous ont également appris que la « place du Commerce » est l’endroit où le roi Charles 1er et son fils Luis Filipe ont été assassinés en 1908, un double assassinat qui a conduit à la chute de la monarchie portugaise deux ans plus tard.

Au loin nous apercevons le Ponte 25 Abril, « le pont du 25 avril », le premier pont suspendu au-dessus du Tage… et encore plus loin, se détachant sur l’horizon, la silhouette de la statue du Cristo Rei un des monuments les plus emblématiques de Lisbonne qui domine le Tage depuis les années 1950.

Nous quittons à place et prenons la rua Augusta, une rue perpendiculaire au Tage qui pour l’heure est fort animée.

Il y a tout plein de terrasses, mais c’est un peu frais le soleil ayant amorcé sa descente sur l’horizon.

Nous entrons finalement dans un restaurant, le Roman's… où on offre des spécialités italiennes et portugaises.

Céline déguste une excellente salade au poulet avec endives… et, pour une rare fois, elle accompagne son repas d’un verre de vin rouge. Quant à moi, j’y vais d’un spaghetti carbonara accompagné d’une bière.

Restaurant « Roman's », Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Claude, Carole et Céline à notre table au restaurant le « Roman's » de Lisbonne.

Tout est très bon… et pour moins de 30 €!

Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Tout près du restaurant, nous achetons notre premier petit aimant de Lisbonne.

Nous revenons à notre hôtel situé justement sur la rua de Comércio. Il est 22 heures!

À suivre
Début de notre découverte de Lisbonne, la capitale du Portugal, et ce, le jour même de la fête nationale du pays!

Nous nous rendrons tout d’abord à l’office du tourisme situé sur la Praça do Comércio où nous achetons nos Lisboa Card pour trois jours.

Puis, nous prendrons le métro à la station Terreiro do Paço pour nous rendre au Parc des Nations, le Parque das Nações, là où s’est tenue l’Exposition internationale de 1998. Nous descendrons à la station Oriente et emprunterons la promenade sur le bord du Tage, le paseo das Tagides.

Nous traversons le Jardim Gracia d’Orta, en nous dirigeant vers le téléphérique qui nous permettra d’apprécier l’ensemble du site… du haut des airs. Par la suite, nous entrons dans l’impressionnant aquarium : l’Oceanário.

Jardim Gracia d’Orta, Lisbonne, Portugal

Photo ci-dessus : Carole et Claude dans leur cabine du téléphérique d’où nous avons pu apprécier l’ensemble des « Jardim Gracia d’Orta »… du haut des airs.

Pour lire nos autres textes portant sur notre périple en Andalousie et en Algarve que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal, cliquez sur le lien suivant : Douce chaleur andalouse - Espagne

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