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La plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, son impressionnante arène et son petit musée!

Texte, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 74e d’une longue série de reportages relatifs à une étourdissante odyssée en Andalousie et en Algarve, un voyage à quatre que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal au printemps 2014

Arène de la Plaza de Toros, Séville, Andalousie, Espagne

Séville, Espagne, mercredi 28 mai 2014 - Nous amorçons notre journée de visites par un tour guidé des arènes de Séville… où nous reviendrons pour assister à une vraie corrida dimanche soir!

Toutefois, avant d’entrer dans le magnifique édifice où prennent place l’arène et les gradins, nous admirons les nombreux monuments et sculptures que l’on retrouve devant l’immeuble, sur le paseo de Cristóbal Colón.

La plaza de Toros de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla, une des rares encore en activité dans le monde, est la deuxième plus ancienne plaza de Toros d’Espagne, et ce, après celle Ronda, que nous avons visitée plus tôt dans le périple.

Ici, pas moins de 12 000 aficionados de la corrida peuvent y prendre place… pour le spectacle qui inclut la « mise à mort » des taureaux!

Au terme de notre visite guidée des lieux, nous explorerons, à notre rythme, le petit musée situé au sous-sol des arènes. Nous y verrons des toiles présentant des scènes de corrida, quelques belles sculptures et de magnifiques habits de lumière!

Photo ci-dessus : Une grande ellipse de sable doré entourée de très étroits gradins… pouvant tout de même accueillir 12 000 spectateurs : la plaza de Toros de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N. B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Nous avons très bien dormi cette nuit… probablement la fatigue accumulée qui se fait sentir. Il faut dire que nous en sommes à la 30e journée de notre périple que nous avons titré « Douce chaleur andalouse »!

À notre réveil, à 7 h 30 ce matin, le ciel est encombré de nuages gris, même s’il y a tout de même quelques mini trouées nous laissant entrevoir le bleu du ciel.

Après notre petit-déjeuner à l’appartement, nous plaçons 30 € dans une enveloppe, car aujourd’hui, c’est jour de ménage!

Nous partons à 9 h 30 en direction du paseo de Cristóbal Colón près du pont Isabel II, le secteur où prennent place les sites de nos premières visites du jour : la plaza de Toros de la Real Maestranza de Sevilla, la Torre del Oro et l’Hospital de la Santa Caridad

Monumento a la Tolerancia
Sur le quai de La Sal, bordant le fleuve Guadalquivir, tout en bas du paseo de Cristóbal Colón, il y a un curieux monument que nous avions entrevu ces derniers jours, notamment du pont Isabel II, sans nous en approcher toutefois.

Il s’agit du Monumento a la Tolerancia, c’est-à-dire le « Monument à la Tolérance ». Il se compose d’une sculpture monumentale réalisée par l’artiste Eduardo Chillida (1924-2002)… et financé par la Fundación Amigos de Sefarad.

Monumento a la Tolerancia, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Le monument à la Tolérance… est une pièce de béton de cinq mètres de haut par douze mètres de long qui ressemble plus à un jeu dans un parc pour enfants, sur lequel ceux-ci ont certainement envie de grimper, qu’à un monument. L’auteur Eduardo Chillida, a voulu représenter avec son œuvre son espoir qu’un jour à Séville, les peuples juif, arabe et chrétien vivront à nouveau en harmonie dans la ville.

Monumento a la Tolerancia, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Le soir le monument à la Tolérance est illuminé. (Photo provenant d’Internet)

Le monument à la Tolérance commémore l’édit de Grenade de 1492… une décision par laquelle les Rois Catholiques expulsaient les Juifs de leurs royaumes.

La cérémonie d’inauguration du « monument de la Tolérance » a eu lieu le 1er avril 1992 en présence du président d’Israël, Jaim Herzog, accompagné de son épouse Aura, et du prix Nobel de la paix Elie Wiesel, ainsi que de l’auteur de l’œuvre Eduardo Chillida.

L’idée de sa construction de ce monument est venue du gouvernement municipal de Séville… dès 1980. L’objectif était de rappeler l’exécution de cinq membres d’une famille juive survenue lors de l’expulsion, mais ce n’est que douze années plus tard que le monument est devenu réalité.

Monumento a la Tolerancia, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : De l’autre côté du fleuve, nous voyons les édifices multicolores du quartier de Triana.

Monumento a Antonio Mairena
À un jet de pierre du monument à la Tolérance, nous nous retrouvons au cœur du Jardines Rafel Montesinos, un jardin situé sur le paseo Colón, tout près du pont Isabel II, un pont mieux connu sous le nom de Puente de Triana.

À cet endroit, il y a un autre monument, celui-ci rendant hommage au grand chanteur de flamenco Don Antonio Mairena (1909-1983), de son vrai nom Antonio Cruz García.

Monumento Antonio Mairena, Séville, Andalousie, Espagne

Monumento Antonio Mairena, Séville, Andalousie, Espagne

Monumento Antonio Mairena, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : La sculpture décorant le monument à Antonio Mairena est l’œuvre de l’artiste Augusto Morilla Delgado (1953- ) et est datée de 1990.

Monumento a Manolo Vázquez
Nous arrivons devant la plaza de Toros où il y a un autre monument, celui-ci rendant hommage au torero, Manolo Vázquez.

Monumento Manolo Vázquez, Séville, Andalousie, Espagne

Monumento Manolo Vázquez, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Le monument à Manolo Vázquez, un torero sévillan, a été réalisé en 2005 par le sculpteur Luis Álvarez Duarte (1949-2019).

Le monument a été inauguré le 11 juin 2009. La statue est d’une hauteur de 180 centimètres, sans compter le piédestal, et elle montre le torero vêtu de l’habit de lumière qu’il avait endossé lors de son son dernier combat, celui-ci disputé à Bilbao!

Manuel Vázquez Garcés dit « Manolo Vázquez », né le 21 août 1930 à Séville et décédé dans la même ville le 14 août 2005, était apprécié par les aficionados amateurs de toréadors artistiques. Son style alliait esthétique, sentiment et profondeur.

Monumento a Carmen
Tout près, il y a une autre sculpture, cette fois-ci d’une femme. Sur le piédestal cylindrique, on peut lire l’inscription « Carmen 1973 ». Céline se demande s’il s’agit de la vedette de l’opéra « Carmen »!

Monumento Carmen, Séville, Andalousie, Espagne

Monumento Carmen, Séville, Andalousie, Espagne

Monumento Carmen, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Pour réaliser cette sculpture en bronze de Carmen en 1973, l’artiste Sebastián Santos Rojas (1895-1973) a eu recours comme modèle… à sa nièce.

Nos recherches en vue de la rédaction de ce texte nous ont appris que l’œuvre est répertoriée sous le nom de Carmen la Cigarrera.

L’œuvre rend hommage à Carmen, une gitane sévillane qui a travaillé à la fabrique royale de tabac de Séville, et dont la vie a inspiré l’écrivain français Prosper Mérimée (1803-1870) qui a écrit le roman « Carmen » en 1845. Ce roman a été repris plus tard en musique par Georges Bizet… lui qui a créé l’opéra « Carmen » à Paris en 1875.

Monumento a Pepe Luis Vázquez
Nous arrivons devant l’édifice de la plaza de Toros où il y a une autre statue, celle de Pepe Luis Vázquez (1921-2013).

Il s’agit d’un autre matador. Il est le frère de Manolo Vázquez dont nous venons de voir la statue.

Pepe Luis Vázquez, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une superbe sculpture représentant Pepe Luis Vázquez fait face à l’entrée des arènes de la Real Maestranza de Séville. L’œuvre date de 2003 et est du sculpteur Alberto Germán Franco Romero (1970- ).

L’encyclopédie libre Wikipédia nous apprend que « Pepe Luis Vázquez » était considéré comme l’un des plus fins et des plus élégants matadors de son époque, toréant avec la plus grande grâce et la plus grande élégance, ce qui lui valait l’admiration aussi bien des aficionados que celle du grand public. Seule sa petite taille le handicapait au moment de l’estocade. Il fut un temps considéré comme le principal rival de son ami « Manolete »! »

La plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla
Nous arrivons devant l’entrée des arènes de Séville… dont le nom officiel est la Plaza de Toros de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla. Ouf!

Pour nous Québécois, le mot arène signifie un ring de boxe ou de lutte.

Dans la Rome antique, nous précise le dictionnaire du correcteur électronique Antidote, l’arène était un espace en sable dans un cirque ou un amphithéâtre où se déroulaient les jeux, les combats de gladiateurs.

Finalement, l’encyclopédie libre Wikipédia précise qu’une arène est, notamment dans les pays friands de tauromachie, un édifice dans lequel se déroulent, entre autres, les courses de taureaux et les corridas.

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’édifice de la « plaza de Toros de la Maestranza de Caballería de Sevilla », bref les arènes de Séville, a été bâti entre les XVIIIe et le XIXe siècle et il est la propriété de l’institution militaire laïque qui lui donne son nom, la « Real Maestranza de Caballería ».

Nous entrons à la Plaza de Toros. Il nous en coûte 7 €, ce qui inclut une visite guidée, en anglais, qui commence dans 15 minutes.

Dans l’attente du début de la visite guidée, nous explorons la salle où nous attendons… c’est petit, mais joli.

Puis la visite commence, notre guide, une jeune Sévillane, précise d’entrée de jeu que les arènes de Séville sont une des rares arènes encore en activité dans le monde de nos jours.

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Notre guide pour la visite de la plaza de Toros de Séville.

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Une clôture de bois peinte en route affiche le blason de la « Real Maestranza de Caballería de Sevilla ». Il s’agit d’un médaillon d’argent surmonté de la couronne royale. À l’intérieur, un jeune homme est représenté galopant à cheval une lance à la main. Autour du médaillon le nom de la société sont inscrits « Societas equestris Hispal » et sa devise « Utriusque Interest », une expression latine signifiant « Leur intérêt ».

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : L’arène où ont lieu les corridas.

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Les gradins… où les rangées sont très étroites, et ce, pour faire en sorte d’accueillir 12 000 spectateurs le plus près possible de l’action.

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : L’entrée principale sur l’arène est surmontée du balcon royal!

On nous montre la porte par laquelle les taureaux entrent dans l’arène.

Notre guide nous indique une estrade réservée aux propriétaires des taureaux!

« Lors de corridas, nous dit-elle, il n’est pas rare que plus de 12 000 spectateurs prennent place dans les gradins, notamment lors de la “Feria de Abril” au cours de laquelle sont présents les meilleurs toreros et les meilleurs taureaux du pays! »

« Le prix des billets pour une corrida varie de 20 à 150 €, et ce, selon la situation du siège… près de l’arène, en hauteur, au soleil, à l’ombre, etc. »

« Lors des corridas à Séville, précise-t-elle, il y a mise à mort des taureaux », ce qui est maintenant interdit dans plusieurs pays et même dans certaines régions d’Espagne. »

Nous passons devant les guichets… et nous apprenons qu’il y aura une corrida le dimanche 1er juin. Les billets seront en vente le 31 mai entre 10 heures et 14 heures.

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Les guichets pour la vente des billets.

Nous descendons au musée, le Museo Taurino.

On y présente surtout des toiles ayant pour sujet, évidemment la corrida. Il y a aussi des lithographies, des sculptures et des vêtements de toréador.

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne
Photos ci-dessus : Quelques belles toiles présentant des scènes de corrida.

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’esquisse originale de la statue équestre représentant María de las Mercedes de Borbón y Orleans (1910-2000), la comtesse de Barcelone, que nous avons vue hier devant l’édifice des arènes.

Monument à la Condesa de Barcelona, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : La sculpture équestre représentant María de las Mercedes de Borbón y Orleans (1910-2000), la comtesse de Barcelone, qui prend place devant les arènes. La sculpture est une réalisation de l’artiste sévillan Manuel García Delgado.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Une toile intitulée « Tarde de Toros », c’est-à-dire « Après-midi de corrida », une œuvre de 1940 de Roberto Domingo Fallola (1883-1956), un artiste né à Paris et qui y a vécu toute son enfance. Domingo Fallola est le fils Francisco Domingo Marqués, une figure de proue de la colonie artistique espagnole à Paris.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un toréador en bronze… une œuvre de Venancio Blanco (1923-2018).

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une très belle toile intitulée « Montes y su mujer », une œuvre de 1840 de Jose Elbo (1804-1844). Mentionnons que Francisco Montes Reina, dit « Paquiro », (1805-1851), a été un matador qui fut un grand innovateur de la corrida.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une maquette de la plaza de Toros de Séville.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Un corridor menant aux différentes salles du musée.

Nous passons devant une salle pour l’entraînement militaire. « On y pratiquait le maniement des armes », lance notre guide. Il y a des mannequins, des uniformes, des lances accrochées aux murs, tout comme une toile présentant le roi Fernando VII.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne
Photo ci-dessus : Un habit de militaire.

Il y a plusieurs portraits de toreros qui ont œuvré ici à Séville.

La guide nous explique en long et en large le déroulement d’une corrida. Cela nous aidera grandement à comprendre le déroulement des événements, dimanche.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Une sculpture montrant un homme presque nu portant une tête accrochée à une chaîne.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Il y a plusieurs têtes de taureaux empaillées affichées sur les murs.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Une magnifique sculpture en bronze où est représentée la sortie d’un taureau qui vient d’être tué par le toréador… Et c’est vraiment ce que nous aurons l’occasion de voir lors de la corrida à laquelle nous assisterons dimanche!

Nous voyons de très beaux costumes de lumière originaux exposés en vitrine.

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Musée de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photos ci-dessus : Un habit de lumière est une expression définit par le dictionnaire lintern@ute comme étant l’habit que porte le torero lorsqu’il combat le taureau dans l’arène. Ce costume, qui comprend sept éléments (dont une veste, une culotte et une chemise), est réalisé en soie, brodé et arbore des couleurs vives. Cette expression est née au cours du XVIIIe siècle et a toujours conservé son sens actuel. Le terme « lumière » faisant référence aux couleurs vives du costume et à son aspect brillant que lui procurent la soie et les broderies.

Notre guide affirme que le meilleur torero actuellement est José Tomás… un matador né en 1975.

« Tomás, avance t-elle, gagne 400 000 € par combat… mais il doit payer toute son équipe. »

Nous entrons dans une mini chapelle… « C’est la capilla de la plaza de Toros », précise la guide. « Les toreros viennent se recueillir ici avant les combats ».

Capilla de la plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’autel de la petite chapelle prenant place dans les sous-sols de la plaza de Toros de Séville.

Notre guide attire notre attention sur une porte en bois. « C’est par cette porte que les taureaux entrent dans l’arène! »

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Les portes permettant aux taureaux d’entrer en scène.

« D’ailleurs, ajoute-t-elle, les taureaux arrivent ici 24 heures avant le combat. »

Nous terminons notre intéressante visite de la Plaza de Toros à 10 h 45.

Après avoir remercié notre guide, nous sortons et nous nous retrouvons devant l’entrée principale des arènes!

Plaza de Toros de la Maestranza de Sevilla, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : L’entrée principale des arènes de Séville.

À suivre
Après cette courte immersion dans la culture taurine, nous nous dirigeons vers la Torre del Oro, où nous grimpons les 91 marches qui nous mènent à son sommet. À cet endroit, la vue sur le fleuve Guadalquivir et sur les environs est impressionnante.

Cathédrale de Séville de la Torre del Oro, Séville, Andalousie, Espagne

Photo ci-dessus : Vue sur la cathédrale de Séville et sur la Giralda du sommet de la Torre del Oro.

Pour lire nos autres textes portant sur notre périple en Andalousie et en Algarve que nous avons terminé à Lisbonne au Portugal, cliquez sur le lien suivant : Douce chaleur andalouse

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