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Hoi An: un marché public, 2 temples et une longue attente dans une « manufacture » de vêtements!

Texte, recherches et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 18e d’une longue série de reportages relatifs à notre périple au Vietnam et au Cambodge, un voyage réalisé en novembre 2019

Marché central, Hoi An, Vietnam

Hoi An, Vietnam, samedi 9 novembre 2019 — Grande journée de déplacements aujourd’hui. Ce matin, nous étions à Hué, en début d’après-midi à Da Nang et en fin de journée, nous nous retrouvons à Hoi An.

Cette dernière ville est un ancien port de commerce qui fut particulièrement prospère… et où les marchands chinois, japonais et européens ont profité de leur passage pour laisser une architecture impressionnante. C’est ce bel héritage qu’a célébré l’UNESCO en inscrivant la vieille ville de Hoi An à sa liste du patrimoine de l’Humanité en 1999!

Malheureusement, nous ne consacrerons que quelques heures à sa découverte, et ce, en raison du bouleversement de notre horaire de visites occasionné par le passage du typhon Nakri.

La priorité sera plutôt mise sur le maintien de la visite d’un atelier de confection de vêtements sur mesure… ce qui, avouons-le, nous a grandement déçus.

En fait, nos découvertes de cette ville se limiteront à une promenade dans les deux ruelles où prend place le marché central de Hoi An sur les berges de la rivière Thu Bon, la visite rapide de deux temples chinois et celle de la maison d’un ancien commerçant!

Photo ci-dessus : Une charmante Vietnamienne portant la traditionnelle palanche pour transporter des fruits qu’elle offre à la vente.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N.-B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Au terme de notre visite du Musée de la sculpture Cham de Da Nang, nous reprenons la route, cette fois-ci en direction de Hoi An, elle qui est sise à moins de 35 km de Da Nang.

Comme nous l’avons mentionné en introduction, Hoi An, Hội An avec les accents de la langue vietnamienne, est une cité dont la vieille ville est inscrite à la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Cette vieille ville demeure, dit-on, un exemple exceptionnellement bien préservé de port d’Extrême-Orient.

Aujourd’hui, Hoi An est le lieu de résidence d’environ 120 000 Vietnamiens et Vietnamiennes.

Notre guide national au Vietnam, Hoc, profite du court trajet pour nous dresser un bref historique de la ville :

« Les Chinois sont venus du nord descendant en bateau vers le sud. Ils devaient donc s’arrêter sur les côtes pour se procurer de l’eau et de la nourriture et pour s’abriter lors de typhon. Ils se sont donc arrêté à Hoi An, un nom qui signifie tranquillité. »

« La ville est ainsi devenue le premier arrêt de commerce pour la Chine. En 1600, sous la dynastie des Mandchous, Hoi An était le rendez-vous des commerçants chinois et japonais. »

« Par la suite toutefois, après l’ensablement graduel du port de Hoi An, les Chinois ont découvert un autre endroit avec beaucoup de ressources : Saigon. Ce fut le début du déclin de Hoi An en tant que ville portuaire. »

Lors de nos recherches en vue de la rédaction de ce texte, nous avons appris que cet ensablement a permis de faire oublier Hoi An et au final, cela a contribué à préserver son patrimoine durant les conflits du XXe siècle.

Hoc nous a d’ailleurs précisé « qu’aujourd’hui Hoi An est une ville chérie par les touristes, car elle n’a pas été détruite durant la guerre du Vietnam. On y retrouve donc encore des monuments en très bon état de conservation datant de la période du XVe au XVIIe siècle. »

« On y compte d’ailleurs un inventaire de 840 maisons, temples et pagodes, maisons communales, palais et autres encore en très bon état. »

Notre guide nous informe qu’il était très important d’arriver à Hoi An avant 16 heures. « À compter de 16 heures, dit-il, les autocars ne peuvent plus entrer dans la ville. »

Cette petite phrase nous explique peut-être les suggestions répétées de notre guide de ne pas nous rendre à Da Nang en passant par le col des Nuages!

« Nous allons effectuer une balade dans la vieille ville, puis nous filerons (sans jeu de mots) à la manufacture de soieries où vous aurez tout le temps nécessaire pour faire confectionner les vêtements que vous voulez », précise avant de descendre du car notre accompagnatrice de Voyages Lambert, Krystyna Wozniak.

« Par la suite, ajoute-t-elle, nous nous rendrons souper au restaurant, puis nous nous installerons à l’hôtel. »

Nous descendons à Hoi An à 15 h 45… devant un hôtel « qui fut autrefois une caserne militaire américaine », lance Hoc.

Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Tout près de l’endroit où nous descendons de l’autocar à Hoi An… on nous souhaite la bienvenue tout en verdure.

Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Devant l’ancienne caserne militaire américaine, un bonsaï avec une belle fleur.

Nous amorçons notre balade. Il y a énormément de motos qui arrivent de partout. Des deux côtés de la rue où nous déambulons, il y a des boutiques… Il y a foule. C’est ahurissant.

Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Comme à Hanoi, les motocyclistes portent pour la plupart un masque.

Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Un papa avec son enfant en moto.

Le marché central de Hoi An
Nous arrivons devant le marché central de Hoi An.

Hoc nous annonce que nous avons temps libre pour nous y promener pour une vingtaine de minutes. Il fixe le lieu de rendez-vous, là où nous nous trouvons, pour 16 h 20.

Le marché déborde d’animation, de couleurs et de senteurs!

Étant donné qu’il est situé en bordure de la rivière Thu Bon, on y retrouve une pléthore d’étals de poisson.

Mais, il y a aussi des volailles, des plats cuisinés traditionnels… et des montagnes de fruits et légumes, le tout au milieu d’un brouhaha impressionnant.

Marché central, Hoi An, Vietnam

Marché central, Hoi An, Vietnam

Photos ci-dessus : Des montagnes de fruits et légumes… dont certains sont inconnus pour nous.

Marché central, Hoi An, Vietnam

Marché central, Hoi An, Vietnam

Photos ci-dessus : Il y a beaucoup d’animation dans les rues qui bordent le marché central de Hoi An.

Nous profitons d’une des petites boutiques en bordure de rue pour acheter de magnifiques cartes en forme d’origami en cadeau pour les petits-enfants. L’une d’elles renferme la réplique du pont du Dragon… que nous venons d’admirer à Da Nang!

Marché central, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : J’en profite pour photographier cette dame portant une palanche… Contre rémunération évidemment. (2 $ É.-U.)

Nous rejoignons nos camarades de voyage au point de rendez-vous à 16 h 20.

Le temple de Quan Cong
Notre guide nous entraîne vers un temple où nous entrons.

« Il s’agit d’un lieu de culte fondé chinois en 1653 » nous indique Hoc.

Temple Quan Cong, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Devant le temple Quan Cong un joli bassin décore les lieux.

Nous avons lu que cet endroit était le centre religieux des commerçants du port de Hoi An.

« Selon une légende, le temple de Quan Cong aurait été le lieu de témoignage et de confiance pour que les commerçants puissent conclure des contrats dans le cadre de leurs transactions. »

Temple Quan Cong, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Le temple est dédié à Quan Cong, un général chinois estimé, vénéré comme un symbole de loyauté, de sincérité, d’intégrité et de justice.

Temple Quan Cong, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Un autel où trône une statue de Confucius.

Temple Quan Cong, Hoi An, Vietnam

Temple Quan Cong, Hoi An, Vietnam

Photos ci-dessus : Devant le temple Quan Cong, un monument affiche un chien-dragon sculpté dans la pierre.

Temple Quan Cong, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Un chien profite des lieux pour y aller d’une petite sieste.

Temple chinois Phuc Kien
Nous sortons et entrons presque immédiatement dans un autre temple, « celui de sa femme », affirme Hoc.

Il s’agit de la pagode chinoise Phuc Kien. Elle date de 1697 et est beaucoup plus jolie.

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Photos ci-dessus : Le temple Phuc Kien fut construit en 1697 par des familles originaires du Fujian en Chine qui vinrent s’établir à Hoi An pour profiter de la prospérité de ce port marchand, qui jadis était sur les routes commerciales maritimes entre la Chine, l’Asie du Sud-Est, l’Inde, le Moyen-Orient, mais également l’Europe. Originalement, la fonction des lieux était de servir de salle de réunion traditionnelle pour ces familles. Elle se nommait alors : « Maison communale de la congrégation du Fujian ».

Nous arrivons dans une cour intérieure décorée de bonzaïs… Il y a également une boutique cadeau.

« On priait cette dame, mentionne notre guide, pour ramener le calme quand il y avait une tempête. »

Hoc nous indique que nous pouvons entrer dans le temple… pour un maximum de 10 minutes.

Il y a de belles portes rouge et or, de jolis tableaux en céramique sur les murs de côté.

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Photos ci-dessus : Dans le temple Phuc Kien, d’un côté on peut admirer une magnifique céramique montrant des cavaliers sur leurs chevaux se lançant à l’attaque.

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Photos ci-dessus : Et de l’autre un bateau sur le point d’être englouti par une immense vague en pleine tempête.

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Photos ci-dessus : Il y a également deux beaux chiens immortalisés en céramique.

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : L’autel des ancêtres des fukienois. Il est bien garni de cadeaux, de douceurs, etc. Il est entouré de colonnes portant des inscriptions en vietnamien.

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Tout proche, un gardien est en poste pour surveiller l’autel.

Temple Phuc Kien, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Et tout au fond de la pièce, nous pouvons admirer la réplique d’un bateau de commerçant datant de l’époque où le commerce maritime était la principale activité de Hoi An.

Il y a beaucoup de spirales d’encens qui brûlent et qui descendent du plafond!

Nous sortons et poursuivons.

Il y a foule sur la rue et dans les magasins. Il y a des boutiques de luxe, des échoppes affichant de beaux articles en cuir.

Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Il y a foule dans les petites rues de Hoi An.

Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Un joli couple sur le pas de leur maison.

La maison des commerçants Phung Hung
Hoc nous fait maintenant entrer dans une ancienne maison de commerçants.

Il s’agit de la maison de la famille Phung Hung, qui y habite depuis huit générations.

Lors de nos lectures préparatoires au voyage, nous avions noté que cette maison, la plus haute de la ville, reposait sur 80 piliers en bois et de fer sur une base de marbre.

« Elle date de 1780 », souligne notre guide. « C’est une maison commerciale typique des zones urbaines du Vietnam au XVIIIe siècle, avec son mélange unique de styles architecturaux vietnamiens, japonais et chinois. »

Maison Phung Hung, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : La maison affiche deux salles, une pour les hommes et une pour les femmes. (Photo provenant d’Internet)

« Le commerce se faisait à l’arrière-boutique, près de la rivière », lance Hoc.

« Le propriétaire actuel est médecin et il a rompu la tradition familiale de commerçant. »

Il y a beaucoup de boiseries et de décorations. La maison a été restaurée par un architecte polonais.

Nous sortons.

Nous apercevons un pont japonais bâti en 1593, qui a été maintes fois rénové en raison des grandes inondations.

Manufacture de confection de vêtements… de soie
Puis… nous arrivons à la boutique de soieries… Il est 17 h 10.

Une dame nous accueille. Elle nous servira de guide francophone pour une courte visite guidée.

Manufacture de vêtements, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Notre guide, suivie de quelques membres du groupe, pour la visite guidée d’un atelier de fabrication de vêtements en soie à Hoi An.

Après nous avoir souhaité la bienvenue, notre guide précise que la technique permettant de produire la soie date de 2500 av. J.-C. Elle nous est venue de Chine par la « Route de la soie ».

Notre guide nous explique le processus de production de la soie.

Sur Internet, nous avons retrouvé, pratiquement mot pour mot, le processus qu’elle nous a expliqué, le voici :

« La soie est une fibre textile d’origine animale. Elle est issue du cocon produit par la chenille du bombyx du mûrier, qui est appelée le ver à soie.

La fabrication de la soie commence par l’élevage des vers à soie.

La femelle du bombyx pond de 300 à 500 œufs. Il est nécessaire de maintenir ces œufs au chaud pour qu’ils éclosent. C’est pourquoi on utilise des couveuses aux parois remplies d’eau chaude.

À sa naissance, le ver mesure quatre millimètres. Il passe les cinq semaines de sa vie à engloutir des feuilles de mûrier, pour atteindre 10 centimètres. Dans cette période il subit quatre mues.

Les chenilles grimpent sur des supports et s’y attachent à l’aide d’un fil. Il leur faut deux jours pour s’installer et commencer à filer le cocon. Pour former ce cocon, elles régurgitent un à deux kilomètres de fil en quatre jours.

Manufacture de vêtements, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Notre guide nous montre un cocon.

Pour fabriquer de la soie, on doit empêcher les chrysalides de se transformer en papillon, car le papillon percerait le cocon en sortant et briserait le fil.

Cette étape a lieu huit à dix jours après la fabrication du cocon : les cocons sont enlevés de leur support et triés. On enlève alors la bourre qui a servi à la fixation du cocon.

Pour la fabrication de la soie, la chrysalide doit être tuée sans abîmer le cocon. Les cocons sont donc étouffés dans des étuves où la température est de 70 à 80 degrés Celsius… puis trempés dans l’eau bouillante.

Pour trouver l’extrémité de chaque fil, on remue constamment les cocons avec un petit balai qui sert à accrocher les premiers fils de dévidage.

Chaque fil étant trop fin pour être utilisé tel quel, la dévideuse réunit les fils de plusieurs cocons, de quatre à dix selon la grosseur du fil désirée, et les dévide en même temps. Les fils se soudent entre eux grâce au grès, lors de son refroidissement et sont enroulés sur des “dévidoirs”.

Il faut 8 à 10 kg de cocons pour obtenir un kilo de soie. »

Notre guide francophone nous fait ensuite une démonstration de tissage sur un métier à tisser.

« Pour broder la soie, fait-elle remarquer, ça prend six mois d’apprentissage. Pour réaliser une nappe, il y a six jours de travail.

« La broderie de tableau est beaucoup plus complexe et exige quatre ans de formation. L’artisan travaille à partir d’une photo et en brode les motifs. »

« Produire un tableau de la grandeur napperon exige deux mois de travail. »

Il y a beaucoup de travailleurs et de travailleuses en action dans les différentes salles où notre guide nous mène.

Puis, nous montons à l’étage pour voir les modèles et les trois sortes de tissus qui sont utilisés dans la fabrication des vêtements.

Nous regardons les vêtements offerts à la vente. Céline aurait acheté un chemisier, mais il n’était disponible qu’en gris, ce qui ne lui convenait pas.

Elle demande s’il est possible de lui en confectionner un sur mesure dans une autre couleur…

La jeune fille répond que la confection sur mesure ne s’applique pas à ce type de chemisiers.

Nous ne comprenons pas pourquoi, puisqu’on nous avait mentionné qu’il pouvait confectionner les vêtements et nous les livrer le lendemain.

Nous redescendons et entrons dans une boutique au premier étage. Il y a beaucoup de chandails, dont l’un avec un motif discret représentant une Vietnamienne… Je l’achète, même s’il n’est pas en soie.

Cette visite a été très décevante. Ce n’est pas du tout ce qu’on nous avait tant vanté.

Nous retrouvons quelques voyageurs qui ont terminé leurs achats… et nous attendons et attendons encore.

Finalement, nous remontons dans l’autocar à 18 h 45… un arrêt beaucoup trop long à notre avis.

Pendant le trajet qui nous mène au restaurant, Hoc nous informe que nous quitterons l’hôtel à 7 h 30 demain matin pour nous rendre au site archéologique de « My Son ».

Notre guide dit s’attendre à beaucoup de pluie pour la journée de demain.

Il ajoute de plus qu’il fera tout en son possible pour que nous complétions demain, dimanche, toutes les visites prévues au programme pour dimanche et lundi, car selon lui lundi nous ne pourrons pas sortir de l’hôtel!

Pourquoi stresser ainsi les membres du groupe avec toutes ces situations qui ne sont, pour le moment, qu’hypothétiques?

Nous arrivons au restaurant Hoa Hien où nous avons droit à un repas de neuf plats! Tous excellents!

Krystyna offre le vin ce soir… Il semble bien que chez Voyages Lambert se soit une règle d'offrir le vin lors des repas du soir des jours où tout ne se passe pas comme prévu.

Nous remontons dans l’autocar à 20 h 30… et arrivons à notre hôtel, le Palm Garden Resort à 21 heures.

Palm Garden Resort, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : L’entrée de notre hôtel à Hoi An… Une photo prise deux jours plus tard sous l’ardent soleil qui accompagnait le typhon…

Palm Garden Resort, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : La réception du Palm Garden Resort.

Nous avons la chambre 869, au deuxième étage. C’est une sorte de village aux habitations éparpillées sur un grand site.

Palm Garden Resort, Hoi An, Vietnam

Palm Garden Resort, Hoi An, Vietnam

Palm Garden Resort, Hoi An, Vietnam

Photos ci-dessus : Notre chambre au Palm Garden Resort.

Nous avons un balcon donnant sur le jardin. Une grande chambre bien équipée avec un bain. Génial, car nous y sommes pour trois nuits.

Palm Garden Resort, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Céline dans notre chambre au Palm Garden Resort.

Nous sommes particulièrement déçus de notre journée : trop de tergiversations de notre guide sur la marche à suivre, trop de visites ultras rapides et beaucoup trop de pertes de temps en magasinage!

À suivre
Très intéressante visite, sous la pluie, du site archéologique de My Son.

My Son, Hoi An, Vietnam

Photo ci-dessus : Début de notre promenade sur le site archéologique de My Son.

Pour lire nos autres textes portant sur notre périple au Vietnam et au Cambodge, cliquez sur le lien suivant : Vietnam

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