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San Giorgio Maggiore : une installation de verre dans un parc, puis d’autres de Maurice Marinot!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 40e et dernier d’une série de textes relatifs à nos découvertes en Italie avec notre petite-fille Chloé. Un magnifique périple réalisé au cours des vacances scolaires de l’été 2019… alors que Chloé venait de terminer ses études primaires!

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Venise, Italie, vendredi 12 juillet 2019 — Nous terminons notre magnifique périple en Italie aujourd’hui, alors que nous allons à la découverte de deux îles de la Sérénissime : San Giorgio Maggiore et la Giudecca.

Après avoir déambulé dans la Basilica di San Giorgio Maggiore, où prenait place une exposition des œuvres de l’artiste américain Sean Scully dans le cadre de la « Biennale de Venise 2019 », nous entrons dans une autre exposition, celle-ci intitulée : Le stranze del vetro, une première exposition internationale consacrée au grand artisan verrier français Maurice Marinot!

Il y a des œuvres, ou plutôt des chefs-d’œuvre, encore plus époustouflants que ceux que nous avons pu admirer sur l’île de Murano, pourtant réputée pour le travail du verre.

Finalement, nous terminerons nos visites dans une église, la Basilica del Redentore, celle-ci sise sur l’île de la Giudecca, une autre grande réalisation de l’architecte padouan Andrea Palladio!

Photo ci-dessus : Deux magnifiques pots de verre réalisés par le verrier français Maurice Marino que nous avons admirées à l’exposition « Le stranze del vetro »

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N.-B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

Au terme de notre visite de la Basilica di San Giorgio Maggiore, nous amorçons une promenade le long d’une belle marina.

Un superbe mur de verre : Qwalala
Puis, nous arrivons dans petit parc situé tout juste derrière la basilique San Giorgio Maggiore où prend place d’impressionnantes constructions de briques de verre de toutes sortes de couleurs.

Qwalala, Pae White, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Qwalala, Pae White, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Qwalala, Pae White, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photos ci-dessus : « Qwalala » est une installation réalisée par l’artiste américaine Pae White dans le cadre de la Biennale d’art de Venise 2017. L’œuvre se compose d’un mur incurvé réalisé uniquement de briques de verre, qui occupe toute la surface allouée. La sculpture de 75 mètres de long et de 2,4 mètres de haut est constituée milliers de briques de verre fabriquées à la main par « Poesia Glass Studio », une entreprise sise dans la région de la Vénétie.

L’artiste américaine Pae White a réalisé sa sculpture extérieure pour Le Stanze del Vetro. Elle a été inaugurée à l’occasion de l’ouverture de la 57e édition de la La Biennale d’art de Venise, le 13 mai 2017.

Qwalala, Pae White, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Chloé pose devant l’installation intitulée « Qwalala » dans un parc tout à côté de la « basilica San Giorgio Maggiore ».

Nous avons retrouvé un texte relatif à l’installation de madame White sur le site Internet français « Office et Culture », lui qui a pour objectif d’apporter une information picturale sur les aménagements d’espaces tertiaires innovants, représentatifs ou remarquables en provenance du monde entier.

Voici ce que nous y avons lu :

« Chacune de ces briques moulées à la main est unique, en raison du hasard et de la variation inhérente au processus de fabrication artisanale.

Environ la moitié des briques sont en verre transparent. L’autre moitié couvre une palette de 26 couleurs, et sont réalisées à l’aide d’une technique où chaque brique contient un effet de “tempête” de couleurs tourbillonnantes, tout en restant transparente.

L’artiste combine ces briques pour former un motif abstrait et pictural vu de loin, qui, après une inspection plus approfondie, révèle un monde de détails inattendus. Les bleus silencieux, les verts, les roses, les gris et les marrons de la palette sont tirés des couleurs utilisées dans la fabrication du verre romain du premier siècle. »

Qwalala, Pae White, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : « L’artiste Pae White a étudié le flux du site et les multiples points de vue qu’il offre, non seulement depuis le niveau du sol, mais aussi de la tour de San Giorgio Maggiore. Elle a sélectionné le cheminement du mur à partir de milliers de modèles générés par ordinateur traités par un logiciel de randomisation créé spécifiquement pour ce projet. Les deux ouvertures dans le mur ont été inspirées par la simplicité de l’ingénierie observée lors d’une récente visite des ruines mayas au Mexique, suggérant que, même dans le climat politique actuel, les murs peuvent être à la fois transparents et perméables, reliant les personnes plutôt que de les séparer. » (Photo provenant d'Internet)

« Le titre de l’œuvre, “Qwalala”, est un mot Pomo amérindien qui fait référence au flux sinueux de la rivière Gualala en Californie du Nord. »

Campanile, San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : L’installation « Qwalala » est dominée par le campanile de la basilica San Giorgio Maggiore, sur l’île éponyme.

L’exposition « Maurice Marinot : Il vetro 1911-1934 »

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Sur un mur d’un édifice que nous croisons, nous voyons une affiche présentant une exposition qui nous intéresse!

Même si elle n’est pas prévue à notre programme de visites, nous décidons de nous rendre au Stanze del Vitro pour voir cette exposition intitulée « Maurice Marinot : Il vetro 1911-1934 ».

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Une affiche nous présente l’artiste Maurice Marinot (1882-1960)… qui, dans quelques minutes, nous impressionnera au plus haut point.

Nous y entrons. À notre grande surprise, c’est gratuit. Nous passons au vestiaire et nous laissons nos sacs dans un casier.

L’exposition du printemps de Le Straze del Vetro se déroule depuis le 25 mars dernier et se termine dans quelques semaines, le 28 juillet! Elle est un premier hommage international rendu au grand artisan verrier qu’était Maurice Marinot.

Sur les documents publicitaires du Stanze del Vitro, nous pouvons lire que :

« Cette exposition est une initiative conjointe de la Fondazione Giorgio Cini et de Pentagram Stiftung. Elle met en lumière l’incroyable originalité de l’artiste verrier français, et ce, en présentant plus de 200 œuvres et de nombreux dessins préparatoires. Les pièces maîtresses de l’exposition passent des premières œuvres émaillées aux pièces de verre soufflées façonnées avec une habileté extraordinaire et une capacité inventive sans fin. »

« L’exposition “Maurice Marinot : Le verre, 1911-1934” raconte le rôle fondamental de Marinot dans l’histoire du verre moderne et contemporain, un rôle qui malheureusement n’a pas encore été pleinement reconnu par le public. »

C’est une exposition magnifique. Il y a des vases superbes dans des vitrines, des verres à vin, dont des calices, de petites bouteilles, des flacons, des bols… tous de différentes grandeurs et arborant des couleurs splendides.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Deux vases de la « Maison cubiste », des œuvres de 1912. La « Maison cubiste » d’André Mare était une installation architecturale dans la section « Art décoratif » du Salon d’Automne de Paris 1912.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Des pots superbement décorés.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : En voici un autre, particulièrement excentrique.

Une citation de Maurice Marinot est inscrite sur un des murs de l’exposition : « Les deux qualités essentielles du verre sont la transparence et l’éclat. »

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Deux flacons… le premier intitulé « Le printemps » et le second « Le feu », tous deux réalisés en 1920. Les œuvres sont des prêts du « Petit palais de Paris ».

Maurice Marinot, Stranze del Vetro, San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photos ci-dessus : Mon préféré… un vase intitulé « Double masque » datant de 1928. Il appartient au Musée des Arts de Cleveland aux États-Unis.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Un autre beau gros flacon.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Un flacon et un petit bol, deux pièces réalisées en 1934.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Un verre de belle couleur.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photos ci-dessus : Des flacons « Perroquet doré »… de 1928.

Une autre citation du maître verrier : « Rapidement, j’ai voulu apprendre le métier et souffler moi-même mes pièces. C’est un effort très long, pénible, mais passionnant. C’est la seule chose qui permette de penser en verre. »

Nous constatons qu’il donne des motifs à son verre, souvent à l’intérieur… comme des effets bulles, ou encore des stries.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Des vases coniques de 1928. Le rouge est superbe.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : « Un flacon plat », mentionne l’étiquette, une œuvre de 1933.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Deux autres flacons plats, ceux-ci datant de 1934.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Un vert profond.

« Provoquer en pleine incandescence les réactions souples et charnues pour retrouver ensuite, après refroidissement, des pièces nées du feu et viendraient, avec la noblesse de poids, exprimer l’eau dormante ou ruisselante, la glace qui craque ou qui fond! »

Nous arrivons dans une petite pièce où sont exposés ses croquis… avant la mise en œuvre de ses articles de verre. Impressionnant!

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Un vase en forme de pyramide.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Un autre flacon plat, celui-ci de 1930.

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Maurice Marinot, île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photos ci-dessus : Deux autres pièces magnifiques.

Nous sortons à 11 h 45 ébahis! Ce fut une très belle visite. Nous avons vu des objets en verre très différents de ce qui nous avions vu auparavant.

Île de San Giorgio Maggiore, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Pour nous rendre à l’embarcadère des vaporettos, nous passons devant une belle marina.

Nous reprenons le vaporetto qui nous mène jusqu’à la station « Redentore » de l’île de la Giudecca.

Canal de la Giudecca, Venise, Italie

Photo ci-dessus : La piazza San Marco et le palais des doges vus de notre vaporetto.

Basilica del Redentore, île de la Giudecca, Venise Italie

Photo ci-dessus : Nous descendons devant la « Basilica del Redentore », le lieu de notre prochaine visite.

Mais pour l’heure, il est temps de dîner et nous nous installons sur une terrasse près du canal… d’où nous avons une vue superbe vue sur la piazza San Marco et la basilique Santa Maria della Salute de l’autre côté du canal.

Céline commande une insalata estate, une salade de pâtes froides… ensoleillée! Chloé opte pour des tortellini à la crème et au jambon, tandis que je me régale de tagliatelle ai funghi. Nous accompagnons notre sublime repas d’eau, d’un cocktail Florida (sans alcool pour Chloé), d’un verre de vin de Vénétie pour Céline et d’une bière pour moi!

Île de la Giudecca, Venise Italie

Île de la Giudecca, Venise Italie

Photo ci-dessus : Chloé avec son « drink » nommé « Florida »… qu’elle tente de photographié.

La promenade en bordure du canal de sur l’île de la Giudecca est très calme. Il n’y a peu ou pas de touristes outre nous. Sur la terrasse, une seule table autre que la nôtre est occupée. De plus, le prix des plats est bien moins dispendieux que de l’autre côté.

Tout est délicieux. Un repas pris dans un décor paisible et enchanteur (50 €).

Nous nous levons de table et partons à 13 h 20.

Une dernière église, la Basilica del Redentore
Nous marchons jusqu’à l’église du Rédempteur, toute proche. Une autre église… nous aurions dû les compter!

Celle-ci est une importante église vénitienne. Sa construction a commencé en 1577… sous la direction de l’architecte Andrea Palladio.

Nos guides de voyage nous ont indiqué qu’elle regorgeait de multiples trésors. Il y a des œuvres de Tintoretto, de Veronese, de Palma le Jeune, de Francesco Bassano, d’Alvise Vivarini, de Pietro della Vecchia, et d’autres.

L’église du Rédempteur n’est pas seulement l’une des églises les plus célèbres et les plus vénérées de Venise, elle est également la pièce maîtresse de l’une des célébrations publiques les plus profondément ressenties de la ville : la fête du Redentore, des festivités qui se tiennent le troisième dimanche de juillet.

Basilica del Redentore, île de la Giudecca, Venise Italie

Photo ci-dessus : L’impressionnante « Basilica del Redentore » (Photo provenant de Wikipédia)

Nous entrons et payons 3 € chacun Céline et moi, l’entrée étant gratuite pour Chloé. Nous achetons un petit feuillet en français décrivant l’église (60 centimes).

Basilica del Redentore, île de la Giudecca, Venise Italie

Photo ci-dessus : L’intérieur très sobre de la basilica del Redentore. Ce qui frappe c’est l’harmonie des proportions… et la grande luminosité.

Basilica del Redentore, île de la Giudecca, Venise Italie

Photo ci-dessus : Deux belles statues décorent l’église.

Basilica del Redentore, île de la Giudecca, Venise Italie

Basilica del Redentore, île de la Giudecca, Venise Italie

Photos ci-dessus : Une chapelle dotée d’une toile magnifique. Il s’agit de la Nativité de Francesco Bassano.

Me voyant à photographier, la jeune femme qui nous a accueillis à l’entrée accoure… pour m’informer que les photos sont interdites!

C’est dommage, car il y a de très belles œuvres.

Il y a deux bénitiers en bronze à l’entrée. Ils sont formés de statuettes de bronze, à droite le Christ rédempteur, à gauche Saint Jean Baptiste.

Nous nous arrêtons quelques instants pour admirer « L’Ascension du Christ », une œuvre du Tintoret!

Devant l’autel, il y a un crucifix de Girolamo Campagna. Le maître-autel est de Tommaso Ruer. Il y a aussi une belle statue de la Vierge Marie.

Nous sortons… nos visites sont maintenant terminées!

Céline et Jacques, Venise, Italie

Photo ci-dessus : Une petite pause à un jet de pierre des eaux du Canal de la Giudecca alors que Chloé en profite pour nous photographier.

Nous poursuivons notre balade jusqu’à La Palanca, un arrêt de vaporetto à deux plateformes face au canal de la Giudecca. Il y a foule ici, comparativement au quai où nous avons dîné.

Nous cherchons deux magasins que nous avions identifiés lors de la préparation de notre périple : un est fermé et l’autre introuvable! Pas chanceux.

Nous reprenons le vaporetto à la station Palanca et nous retournons à la piazza San Marco… à la demande de Chloé, qui a encore quelques cadeaux à acheter.

Canal de la Giudecca, Venise, Italie

Canal de la Giudecca, Venise, Italie

Canal de la Giudecca, Venise, Italie

Photos ci-dessus : Une autre belle église et des édifices en bordure du canal… vus du vaporetto!

Nous descendons au débarcadère de vaporetto San Zaccaria à 14 h 20.

Chloé achète une petite boule de verre présentant à l’intérieur « la place Saint-Marc » et une petite gondole. (8 €)

Un problème de transport à régler
Nous revenons tranquillement vers notre appartement… où nous nous mettons résolument à la tâche pour régler le problème de notre transport de demain vers l’aéroport.

Nous avons acheté par Internet un transport en bateau-taxi. À l’achat, on nous a mentionné que nous recevrions les informations nous précisant l’endroit et l’heure du départ par courriel, mais à ce jour, malgré nos courriels des derniers jours demandant ces précisions, nous n’avons toujours rien reçu!

Aucune réponse ne nous attendait d’ailleurs à notre arrivée à l’appartement. Céline communique alors au numéro de téléphone indiqué sur notre confirmation… pour les urgences. Après avoir parlé à plusieurs personnes, elle réussit enfin à obtenir les informations : notre bateau arrivera à la station de vaporetto Ca' Rezzonico à 8 h 50…

Sans s’excuser, la compagnie de transport nous indique que les clients sont informés des coordonnées de départ par des communiqués affichés à la réception de leurs hôtels! Le problème est que nous ne sommes pas à l’hôtel, mais en appartement.

Agréable souper d’adieu… sous la pluie
Il est 18 h 30, lorsque nous partons pour notre dernier souper à Venise!

Ce soir nous nous installerons sur une terrasse sise sur la fondamenta des Zattere… une terrasse installée directement sur le canal de la Giudecca. Un restaurant que nous avons repéré lors de notre promenade hier soir.

Il pleut légèrement lorsque nous nous mettons en marche… C’est la première fois du voyage qu’il pleut lorsque nous partons pour le souper.

Le restaurant est le Ristorante Gianni. Spaghetti à la bolognaise pour Chloé, spaghetti aux fruits de mer pour moi, et mini gnocchi sauce tomates basilique pour Céliine.

Nous commandons un Fanta pour Chloé, une demi-bouteille de vin rouge pour nous et une grosse bouteille de San Pelligrino! C’est un peu dispendieux à 77  €, mais c’était très bon et agréable.

Samedi 13 juillet 2019
Voilà, c’est terminé, nous revenons au Québec aujourd’hui.

Après notre petit-déjeuner à l’appartement, nous quittons les lieux à 8 h 25… chargés comme des mulets.

Nous arrivons rapidement à la station de vaporetto Ca' Rezzonico. Notre bateau-taxi arrive avec dix minutes de retard à 9 h 10. Céline est soulagé!

Nous sommes les premiers à embarquer et nous nous arrêtons un peu plus loin, une seule fois, où cinq autres touristes, des Américains, se joindront à nous.

La température est superbe. Le soleil brille de tous ses feux. Même si nous avons vogué à plusieurs reprises sur le Grand Canal depuis notre arrivée, nous sommes encore ébahis.

Dès que le bateau dépasse la place Saint-Marc, il prend de la vitesse!

Nous arrivons à l’aéroport 9 h 40 et effectuons une très très longue marche avec nos valises jusqu’au comptoir d’enregistrement d’Air Transat.

Tout est facile à Venise, tant l’enregistrement que les contrôles de sécurité, particulièrement méticuleux toutefois.

Nous nous rendons à la barrière numéro 55… Il y a foule et pas beaucoup de sièges pour s’asseoir.

Notre vol, le TS 571, doit partir à 12 h 15. Dès 11 h 30, nous prenons un autobus qui fait le tour complet de l’aéroport pour nous amener à notre avion. Nous décollons à 12 h 35 et arrivons à Montréal à 14 h 45, heure du Québec… Le mercure indique 25 beaux degrés Celsius.

FIN

Pour lire nos autres textes portant sur notre périple en Italie avec Chloé, cliquez sur le lien suivant : Italie du nord

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