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Raphaël Gladu, un jeune joueur de baseball de Trois-Rivières dans l’organisation des Mets

Revue de presse

Un texte de Michelle Raza publié sur le site Internet de Ici Radio-Canada le 6 novembre 2017

Raphaël Gladu

Le baseball, Raphaël Gladu a ça dans le sang. Ce sont ses parents qui l'ont initié quand il était petit. Depuis ses 18 ans, il s'est expatrié aux États-Unis pour vivre sa passion. Aujourd'hui, il se trouve aux portes des ligues majeures.

En juin dernier, Raphaël Gladu, 22 ans, a joint les rangs des Kingsport Mets, une équipe du New Jersey sous l’égide des légendaires Mets de New York.

Pour écouter l'entrevue accordée par Raphaël Gladu, cliquez sur le lien ci-contre : Entrevue avec Raphaël Gladu

Photo ci-dessus : Raphaël Gladu en entrevue à Radio-Canada.

Pour en arriver là, Raphaël Gladu a dû travailler fort. Très fort. Depuis ses 18 ans, Raphaël passe dix mois par année aux États-Unis pour pratiquer son sport.

"Ma famille était ici, mes amis aussi. Je suis parti là-bas, je ne connaissais personne. Mais je me suis fait des amis et… ça a bien été." - Raphaël Gladu, en entrevue à 360 PM

Il est passé de l’Académie des Estacades de Trois-Rivières à un collège du Texas. Rendu là, le simple talent ne suffisait plus.

"Rendu au niveau collégial, tout le monde a du talent. C’est le travail qui fait la différence, et le mental aussi." - Raphaël Gladu, en entrevue à 360 PM

Perdre son père à 17 ans
Peu avant ses débuts aux États-Unis, Raphaël a perdu son père. « Il est décédé quand j’avais 17 ans. C’est arrivé d’un coup. »

Jusque là, son père l’avait accompagné à toutes les parties, à tous les entraînements. C’est lui qui lui avait transmis l’amour du baseball, en compagnie de la mère de Raphaël, elle-même joueuse de softball.

"Pour prouver que j’étais capable de me rendre loin, je me suis dit que mon père serait toujours avec moi et qu’il m’aiderait à traverser toutes les épreuves." - Raphaël Gladu, en entrevue à 360 PM

Et la Ligue de baseball majeur?
Raphaël Gladu vient de compléter sa première saison avec les Mets de Kingsport, qui appartiennent à leurs homonymes de New York. Ses forces sur le terrain? « J’ai un bon oeil au bâton, je frappe bien et je suis quand même assez vite aussi. »

L’athlète originaire de Trois-Rivières se donne trois ans pour faire son entrée dans la Ligue de baseball majeur. Il sait cependant que pour accéder aux plus hautes sphères de son sport, il faut beaucoup de travail et un brin de chance.

"Si les entraîneurs t’aiment, ils vont te laisser une chance. Quand tu as une chance, il faut que tu la prennes." -
Raphaël Gladu, en entrevue à 360 PM

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.

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