19
Jan/17
0

Paysages superbes dans le parc national de Tongariro… puis nous voici à Wellington!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 16e d’une longue série de reportages relatifs à un passionnant périple en Nouvelle-Zélande et en Australie, voyage que nous avons réalisé au début de l’hiver 2017!

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Mount Ruapehu - Wellington, Nouvelle-Zélande, jeudi 19 janvier 2017 - Il n’est pas encore huit heures ce matin et déjà nous sommes sur la route depuis quelques minutes déjà… et nous y serons toute la matinée!

Mais quelle route! Wow! Nous filons sur la route panoramique du parc national de Tongariro et c’est époustouflant! Surtout… que par le plus pur des hasards, c’est à notre tour d’occuper les deux premiers fauteuils de l’autocar… alors impossible de ne pas être hautement impressionnés.

Notre route nous mène à la capitale de la Nouvelle-Zélande, Wellington, notre dernier arrêt sur l’île du Nord.

Photo ci-dessus : Une matinée complète ou presque dans l’autocar, dont une grande partie sur la route panoramique du parc national de Tongariro… et nous occupons la première rangée du bus… alors le panorama est tout simplement fantastique!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N.-B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

La sonnerie de notre réveille-matin nous sort des bras de Morphée dès 5 h 50 ce matin. Normal, l’autocar quitte le magnifique Chateau Tongariro Hotel dès 7 h 45.

Nous nous préparons et nous rendons au restaurant de l’hôtel à 6 h 30 pour le petit-déjeuner… qui est excellent. Il y a même de vrais gros croissants parisiens tout chauds!

Dehors, comme l’avait prévu hier notre accompagnateur de Voyages Lambert, Jean-Marc Lechat, le ciel est lourd et entièrement gris. Étant donné l’altitude à laquelle nous nous trouvons, nous sommes dans les nuages… et il y a des bancs de pluie verticale.

Nous rejoignons le groupe à 7 h 30 dans le magnifique lobby de l’hôtel.

Nous attendons un peu avant de grimper dans l’autocar, le chargement des bagages est plus lent que de coutume ce matin.

Nous partons finalement à 7 h 50.

En raison de la procédure de rotation des sièges dans l’autocar, aujourd’hui nous sommes les premiers à l’avant! Pour le moment, nous sommes dans les nuages, alors nous n’y voyons pas d’avantages.

Après nous avoir souhaité un joyeux Kia ora, notre guide nationale en Nouvelle-Zélande, Linda, précise : « Wellington, où nous nous rendons, est situé à 350 km d’ici! Nous allons faire beaucoup de route ce matin, mais c’est une très belle route. »

« Et le soleil nous attend dans la capitale où le mercure devrait être à 20 degrés Celsius à notre arrivée cet après-midi »

Il ne faut pas beaucoup de temps pour que les nuages s’évaporent… nos places à l’avant nous offrent alors des vues superbes.

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Wow! une montagne au sommet enneigée.

Nous apercevons un viaduc dans la montagne… il est très haut. « Il date de 1908 », nous précise notre guide.

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Un superbe viaduc dans le parc national de Tongariro. (Photo provenant d’Internet)

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Les pâturages s’étendent à perte de vue.

Notre guide profite du trajet pour continuer à nous entretenir sur son pays d’adoption.

« Un grand studio cinématographique a pignon sur rue à Wellington. C’est une des raisons, outre la beauté des paysages, qui fait que plusieurs films célèbres ont été tournés ici… comme Avatar, La leçon de piano, Le Seigneur des anneaux, Le Hobbit, Narnia, Le dernier Samouraï, etc. ».

« L’acteur Russell Crow vit en Australie, mais il est originaire de la Nouvelle-Zélande. »

« Deux grands écrivains célèbres, Michael King et Katherine Mansfield, sont nés dans la région. »

Parc national de Tongariro, Nouvelle-Zélande

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : La route défile devant nous, et c’est très beau.

« Quelques 500 000 soldats ont transité en Nouvelle-Zélande durant la Deuxième Guerre mondiale. »

« Au terme de la guerre, lorsque les soldats néo-zélandais sont revenus au pays, le gouvernement a réhabilité des fermes afin de réintégrer les soldats à la vie active. »

Nous voyons un troupeau de cerfs et de biches… « Il y en a un million en Nouvelle-Zélande », affirme notre guide.

Nous suivons une ligne de chemin de fer…

« Le 23 décembre 1953, lance Linda, un train faisant la liaison entre Auckland et Wellington a été emporté par la boue, alors qu’il traversait un pont. Il y a eu des survivants, mais 151 passagers sont décédés… C’est tout près d’ici. »

« Le trajet en train d’Auckland à Wellington prend une dizaine d’heures, parce qu’il y a beaucoup d’arrêts. En auto, le trajet nécessite six heures et en avion… 45 minutes! »

D’un côté de la route, la colline est couverte de drôle de plantes. « Ce sont des “tussacks”… des touffes d’herbes poussent en prairies humides dans les régions tempérées. »

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Et non, ce ne sont pas des moutons… mais des plantes, des tussacks.

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Par contre, voici les moutons.

Une suite de petits villages
Nous croisons le village de Waiouru… « Il abrite 3 000 habitants. L’armée y a une base à 815 mètres d’altitude. La température extrême est idéale pour les entraînements militaires. »

« La principale attraction du village est le Queen Élisabeth II Army Memorial Museum. Il a ouvert ses portes en 1978. C’est un musée sur le passé militaire de la Nouvelle-Zélande qui a été construit par des vétérans des deux guerres. »

« Lors de la Première Guerre mondiale, 124 000 Néo-Zélandais sur une population d’un million apte à combattre sont partis à la guerre… 17 000 y sont morts. »

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : Les paysages sont très beaux.

Nous traversons le village de Taihape… où vivent un peu plus de 1 600 personnes. « L’endroit a connu son heure de gloire durant la construction du chemin de fer », précise Linda.

« En avril, il s’y tient un festival bien particulier! Le festival de la botte de caoutchouc… où les participants doivent boire de la bière à même une botte. »

Nous constatons que le prix du litre d’essence est à 1,955 $ NZ!

Nous traversons le village d’Utiku… puis celui de Mangaweka… « où résident de nombreux artistes », signale notre guide.

« Mangaweka est situé à mi-chemin entre Taupo et Wellington. C’est le site d’un aéroport international. L’endroit est populaire chez les touristes, puisqu’on peut y admirer un vrai avion DC3… »

Nous n’avons pas l’occasion de le voir… mais notre curiosité est piquée… et nous l’avons retrouvé sur Internet.

Mangaweka, parc national de Tongariro, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Le DC3, immatriculé ZK-APK, a été construit aux États-Unis en 1946… après une longue carrière, chez l’oncle Sam, en Australie et en Nouvelle-Zélande, il a été mis au rancart en 1984. En 1986, il a été amené à Mangaweka et il abrite aujourd’hui… un salon de thé. (Photo provenant d’Internet)

« C’est aussi ici que se termine la route panoramique du parc national de Tongariro », soupire Linda.

Quelques minutes plus tard, Yvonne, notre chauffeuse d’autocar sur l’île du Nord, stoppe son véhicule au Flat Hills Café and Tourist Park. Nous sommes à Ohingaiti… il est 9 h 30 et c’est l’heure d’une pause santé.

Il fait soleil, mais c’est venteux.

L’endroit est bien aménagé.

Derrière le « café », devant une colline, il y a de petites maisons rondes en bois, pour les campeurs… Elles ont l’air neuves. Il nous semble que ce soit une bonne alternative aux tentes.

Flat Hills Café and Tourist Park, Ohingaiti, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Flat Hills Café and Tourist Park, Ohingaiti, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : Comme son nom l’indique, le « Flat Hills Café and Tourist Park » accueille aussi les touristes. Sur le site Internet du parc, on annonce de nombreuses places de stationnement pour les caravanes, les remorques et même les autocars… et surtout on mentionne que quatre « Pod Cabins »… pouvant accueillir jusqu’à 4 personnes, sont disponibles pour la location!

Flat Hills Café and Tourist Park, Ohingaiti, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Flat Hills Café and Tourist Park, Ohingaiti, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Flat Hills Café and Tourist Park, Ohingaiti, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : Les aménagements paysagers comptent sur plusieurs très jolies fleurs.

Flat Hills Café and Tourist Park, Ohingaiti, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Flat Hills Café and Tourist Park, Ohingaiti, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Flat Hills Café and Tourist Park, Ohingaiti, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : L’endroit compte aussi sur quelques animaux, dont des chèvres, des lamas, des alpagas pour le plaisir des tout-petits… mais pas que!

Nous repartons à 9 h 50.

Nous passons littéralement au travers du village de Hunterville… qui prend place des deux côtés de la route numéro 1, la plus longue route de la Nouvelle-Zélande.

« Hunterville, un tout petit village de moins de 500 personnes, est bien connue pour sa statue du chien Huntaway, un chien d’élevage spécialisé qui utilise sa voix pour diriger les moutons », fait observer Linda.

Hunterville, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Monument que l’on peut admirer à l’entrée de la ville de Hunterville. Il rend hommage aux chiens Huntaway. (Photo provenant d’Internet)

Probablement que notre guide a aperçu un restaurant McDonald, car elle mentionne soudain : « La Nouvelle-Zélande est un grand exportateur de bœuf angus… qui est utilisé pour confectionner les hamburgers de chez McDonald. Le premier restaurant McDonald a été ouvert en Nouvelle-Zélande en 1976. »

« Ici, on surnomme les restaurants McDonald “les ambassades des États-Unis en Nouvelle-Zélande”, » dit-elle, moqueuse.

Le paysage actuel est plutôt plat. « Nous traversons les plaines fertiles de Manawatu. »

Le village de Bulls
Nous entrons dans le village de Bulls… habité par un peu plus de 1 600 personnes. « C’est un sculpteur anglais installé ici en 1859, James Bulls, qui a donné son nom au village. »

« Bulls, l’artiste, a réalisé des gravures pour la chambre des communes du pays. »

Nous remarquons, en traversant les lieux, que plusieurs commerces portent le nom de Bulls, comme la Bull’s Bakery, etc.

Nous passons devant le poste de police, ressemblant plus à une maison privée qu’à un poste de police, où il y a un surprenant dessin sur la porte de garage!

Yvonne mène son autocar dans une station d’essence tout près. Elle doit faire le plein. Durant l’opération, elle nous demande de descendre du car. Puis, étant donné qu’il pleut, elle se ravise et nous pouvons rester dans le bus.

Je descends tout de même pour me rendre au poste de police pour voir de plus près le dessin.

Bulls, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Bulls, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Bulls, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : J’ai photographié la porte de garage sans vraiment comprendre le sens de la caricature. Ce n’est que lors de mes recherches en vue de la rédaction de ce texte que j’ai trouvé l’explication : une campagne de marketing récente de la ville de Bulls utilise le jeu de mots avec « Bulls » comme « Const-a-bull » pour le poste de police local.

Je reviens à l’autocar au moment où l’opération remplissage se termine… La facture est de 146 $ NZ… alors que le diésel est à 1 149 $, le litre, beaucoup moins dispendieuse que l’essence ordinaire.

Nous reprenons la route… et voyons une affiche : Wellington 160 km!

Nous croisons un petit aéroport… « Ici, on entraîne les pilotes d’avions et d’hélicoptères ».

Linda insère un cédérom de musique néo-zélandaise. Il s’agit de « Kiri Maori Songs » d’une soprano néo-zélandaise d’origine māorie nommée Kiri Te Kanawa.

Pour écouter une des chansons, cliquez sur le lien ci-dessous :

Linda nous mentionne que les CD sont dispendieux en Nouvelle-Zélande. Celui-ci, par exemple, se vend à 35 $ NZ.

Nous poursuivons notre route en écoutant la musique.

Nous traversons Oroua Downs… puis, Foxton… et Levin.

Lors de notre passage à Levin, le disque est terminé et notre guide reprend la parole.

« Levin est une ville qui compte 20 000 habitants. Le nom de la ville vient de celui de William Levin qui a été fondateur de la compagnie ferroviaire Wellington and Manawatu Railway Company en 1889… Il en a par la suite été le directeur. »

« La région que nous traversons est reconnue pour son horticulture. »

Un sandwich à Otaki
Nous arrivons à Otaki, une petite cité sise à seulement 70 km de Wellington.

Il est 11 h 50 et nous nous y arrêtons pour un dîner rapide. Linda nous indique que nous devons reprendre la route à 12 h 45.

Notre accompagnateur de Voyages Lambert nous informe que nous aurons un souper copieux ce soir… il suggère donc de nous sustenter légèrement ce midi.

Nous entrons au RiverStone Café… Nous commandons un sandwich club chacun…

Rassurez-vous, ce ne sont pas des « clubs sandwichs » comme chez nous, il s’agit tout simplement d’un sandwich avec deux tranches de pain garnies de jambon, de fromage, d’œufs, d’une tranche de tomate et de laitue (18,70 $ NZ).

Il y a peu de places assises à l’intérieur du restaurant. Étant donné que la pluie a cessé, nous nous installons donc dehors… au grand vent.

Otaki, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : La terrasse du « RiverStone Café » où nous avons mangé à Otaki.

Nous revenons au car pour l’heure du rendez-vous.

De beaux arbres aux fleurs rouges entourent le stationnement où se trouve notre autocar.

Otaki, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Otaki, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photos ci-dessus : Notre guide nous indique que cet arbre est un aulne, une sorte d’arbre qui borde souvent la route en Nouvelle-Zélande.

Otaki, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Il y avait aussi ces belles fleurs.

Nous entrons dans le car et constatons que notre chauffeuse a installé une peau d’animal tout à l’avant de son véhicule.

Otaki, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Yvonne, notre conductrice d’autocar, a installé une peau d’opossum à l’avant du véhicule.

Nous partons à 12 h 45.

« Nous sommes dans la région de Kapiti, mentionne notre guide, elle est réputée pour ses fromages et sa crème glacée! »

« Par le passé, cette région se nommait “la Côte d’Or”, The Golden Coast. »

« À notre droite, dans la mer, c’est l’île de Kapiti. Il s’agit d’une réserve naturelle protégée où seulement 50 personnes sont admises à la fois… et ce, même si l’île fait 10 km de long par 2 km de large ».

« À la fin du XIXe siècle, 2 000 personnes y vivaient. »

À Kapiti, il y a une université māorie, et ce, depuis 1981. Une université unilingue māorie.

« Les diplômes māoris sont reconnus par les employeurs de la Nouvelle-Zélande. »

« La première cause des décès en Nouvelle-Zélande est la maladie cardiaque, et ce, même si les Māoris soufrent en grand nombre de diabète. »

Nous apercevons une statue de Notre-Dame-de-Lourde au sommet d’une haute colline. Elle regarde en direction de la mer. « Elle date de 1958 », nous mentionne Linda.

« Pas moins de 40 % de la population de la région travaille à Wellington. Il y a une navette spéciale qui les amène au travail. »

« Il y a aussi une plage de nudistes dans les environs! »

À notre droite nous voyons la mer de Tasman… qui est très agitée. « De l’autre côté, c’est l’île du Sud! », fait remarquer notre guide.

« Le détroit de Cook sépare l’île du Nord de l’île du Sud. Il relie la mer de Tasman au nord-ouest avec l’océan Pacifique au sud-est. À son point le plus étroit, il fait 22 km de large. »

« La mer de Tasman est très dangereuse à cause des forts vents. »

« Nous sommes tout près des “quarantièmes rugissants”… Un nom donné par les marins aux latitudes situées entre les 40e et 50e parallèles de l’hémisphère sud, et ce, en raison des vents forts qu’on y retrouve. »

« La nouvelle Zélande est située entre les 34e et 47e parallèles. Wellington… est à cheval sur le 40e! »

Nous traversons Pukerua Bay, un bel endroit de villégiature.

« À cause des vents, Wellington ne compte que 169 jours de soleil par année. Par comparaison, la population d’Auckland bénéficie de 245 jours d’ensoleillement annuellement. »

« La plupart du temps, les vents soufflent à 65 km/h. Pas surprenant alors que la ville soit surnommée Windy City. »

Nous passons par Plimmerton et par Paremata… « une cité de 51 000 habitants, une ville satellite de Wellington ».

Le mercure a passablement grimpé depuis ce matin… Pour le moment il se situe à 21 degrés Celsius.

Sud de l’île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Le paysage est toujours aussi sublime.

Wellington
Nous approchons de notre destination. Notre guide profite donc de l’occasion pour nous parler de la ville de Wellington.

« Wellington est la capitale de la Nouvelle-Zélande depuis 1865. Avant, c’est-à-dire depuis 1841, c’est Auckland qui tenait ce rôle ».

« C’est aussi la capitale culturelle et artistique du pays. »

« La ville, qui est située à l’extrême sud de l’île du Nord, compte sur une population de 382 000 habitants, 440 000 en incluant l’agglomération des quatre villes sises autour. »

« 81 % de cette population est d’origine européenne, tandis que 12 % sont māoris. »

« La température moyenne en hiver est de 10 degrés Celsius… c’est quand même beaucoup mieux que chez vous », fait-elle valoir.

« William Wakefield et ses quatre frères, qui rêvaient de fonder une colonie, sont arrivés ici le 20 septembre 1839. Dix jours plus tard, il fondait la ville qu’il nommait en l’honneur du militaire anglais Arthur Wellesley, premier duc de Wellington, victorieux à la bataille de Waterloo… qui avait appuyé leur expédition. »

« La ville fut donc fondée peu de temps avant la signature du traité de Waitangi, en 1840. »

« Évidemment, Wellington est installée dans une zone d’activité sismique. D’ailleurs, un terrible tremblement de terre eut lieu le 23 janvier 1855… Ce fut probablement le séisme le plus intense jamais mesuré en Nouvelle-Zélande, avec une magnitude estimée à au moins 8,2 sur l’échelle de Ritcher. »

Wellington, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Nous approchons de la ville de Wellington, la circulation est beaucoup plus lourde.

Nous arrivons dans le port.

Wellington, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Superbe.

Nous apercevons le Westpac Stadium, un stade qui accueille les compétitions de rugby à 15 et de cricket. Il compte 34 500 places assises. Il est le domicile de l’équipe des Hurricanes de la Wellington Rugby Football Union.

Wellington, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Le « Westpac Stadium »… pour le rugby et le cricket.

Il y a des tonnes et des tonnes de « pitounes » sur les quais qui attendent d’être chargées sur les bateaux.

Nous descendons à 13 h 50. Nous sommes à Wellington!

À suivre…
Le Jardin botanique de Wellington… situé sur une colline que l’on descendra… après y avoir grimpé en funiculaire.

Wellington, île du Nord, Nouvelle-Zélande

Photo ci-dessus : Nous montons au sommet de Wellington en « cable car »… un funiculaire qui nous amène à 120 mètres de haut où nous pouvons admirer la ville. Wow!

Commentaires (0) Trackbacks (0)

Aucun commentaire pour l'instant

Laisser un commentaire


Aucun trackbacks pour l'instant