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Déc/17
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Bonne et heureuse année à toutes nos amies et amis et à tous nos fidèles lecteurs et lectrices !

Chutes Huka, Taupō, île du Nord, Nouvelle-ZélandeLaval, Québec, le 31 décembre 2017 - Nous profitons, Céline et moi, de cette période des fêtes de Noël et du Nouvel An pour offrir à tous nos amies et amis ainsi qu'à tous nos fidèles lecteurs et lectrices nos souhaits de bonne et heureuse année 2018, bonheur, santé, prospérité… bon baseball et d'étourdissants voyages !

Un grand merci de nous suivre avec une telle fidélité.

Profitez de cette période de retrouvailles et de célébrations pour fraterniser avec les membres de vos familles et avec vos amis.

Également, tirez profit de cette pause bien méritée pour refaire le plein d'énergie!

Céline et Jacques

Photo ci-dessus : En 2017, nous avons eu la chance de visiter la Nouvelle-Zélande. Nous avons eu droit à des spectacles époustouflants, dont, entre autres, celui des chutes Huka!

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24
Déc/17
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Art public – « Les balançoires » (Annie Hamel)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 82e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Les balançoires, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 24 décembre 2017 – Toujours dans ma quête des murales qui égaient la ville de Montréal, je me suis rendu en décembre sur la rue Saint-Dominique, aux abords du parc Sœur Madeleine-Gagnon situé entre les rues Saint-Zotique et Beaubien, là où prend place une autre murale réalisée par l’artiste québécoise Annie Hamel. Elle est très jolie et est titrée « Les balançoires »!

La murale, produite par MU, un organisme à but non lucratif dont « la mission est d’embellir Montréal en réalisant des murales ancrées dans les communautés locales », a été réalisée en 2016.

« L’artiste, peut-on lire sur le site Internet de MU, possédant un talent particulier pour recréer par la peinture la texture des tissus, plusieurs textiles ont été intégrés en arrière-plan, constituant ainsi le décor qui entoure les silhouettes des enfants sur leurs balançoires. »

« Fait intéressant, le mur où l’œuvre a été réalisée est le canevas d’une murale depuis les années 1980, défraîchie et très peu entretenue depuis le temps. La murale de MU rend ainsi hommage à l’œuvre originale qui figurait sur le mur. Elle revisite la thématique en faisant un clin d’œil aux principaux éléments (enfants et balançoires) tout en y ajoutant couleurs, vitalité et mouvement, en continuité avec l’exploration picturale spécifique de l’artiste. »

Pour la réalisation de cette murale, Annie Hamel a été assistée par Kassandra Quinteros, Marie Lemieux, Claudia Persechino, Bianca Leblanc, Marianne Blondeau ainsi que Marie-Hélène Coutu.

Photo ci-dessus : Une autre murale aux couleurs magnifiques. Celle-ci, intitulée « Les balançoires » est une œuvre d’Annie Hamel. On peut l’admirer sur le mur d’une maison d’habitation donnant sur le parc Sœur Madeleine-Gagnon situé sur la rue Saint-Dominique entre les rues Saint-Zotique et Beaubien.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

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22
Déc/17
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Art public – « Martin » (Philippe Mastrocola)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 81e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Martin, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 22 décembre 2017 – Nous poursuivons notre promenade en quête de murales. Nous sommes sur l'avenue Duluth et à l’angle de la rue Saint-Denis, le mur du commerce « George Laoun Opticien » est magnifiquement décoré d’une murale affichant des teintes de rose et de rouge!

Il s’agit d’une œuvre de l’artiste de rue Philippe Mastrocola, un graffeur, photographe, muraliste et peintre montréalais. Sa murale, réalisée 2012, l’a été suite à l’autorisation du commerçant. L’artiste a titré son œuvre « Martin » en hommage à un cousin disparu.

Mastrocola, qui est né en 1986 à Montréal, a mis sept jours à peindre la murale, et ce, en utilisant une échelle et non un échafaudage… alors monte, peint, descend, déplace, monte, peint…

L’œuvre a été réalisée sous l’égide de « MU », une organisation à but non lucratif qui soutient et promeut l’art public dans la grande région de Montréal.

Photo ci-dessus : Les couleurs vibrantes de la murale qui prend place sur le mur (avenue Duluth) d’un commerce situé sur la rue Saint-Denis, de même que sa taille et son emplacement face à la circulation tant piétonne qu’automobile, ont valu à Mastrocola une belle reconnaissance dans la communauté montréalaise.

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18
Déc/17
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Art public – Murale place Duluth-Laval

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 80e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Sans titre, rue Duluth, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 18 décembre 2017 – À l’angle de l'avenue Duluth et de la rue Laval à Montréal, il y a une petite place, une placette en fait, décorée, sur le mur de l’édifice la fermant, d’une murale où l’on peut reconnaître facilement les auteurs Michel Tremblay et Émile Nelligan. Il y a d’autres personnages, que je n’ai malheureusement pas identifiés.

Cette murale ne portant aucun titre a été réalisée en 2014 dans le cadre du programme Muralité qui s’adresse aux propriétaires d’immeubles, aux artistes ou aux organismes sans but lucratif qui désirent réaliser une murale dans l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal de la Ville de Montréal. Avec ce programme, l’arrondissement désire embellir l’environnement et enrichir son milieu de vie dans le respect du patrimoine bâti, tout en faisant la promotion de l’art urbain.

La murale a été réalisée par quatre artistes : Benjamin Picard, Mylène Chabot, Mathieu Vouters et Marie Gosselin.

La Ville de Montréal a installé quelques bancs sur la placette devant la murale.

Photo ci-dessus : Une murale qui prend place sur le mur d’une maison d’habitation située sur la rue Laval à l’angle de l'avenue Duluth.

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Déc/17
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Art public – Cet insatiable besoin de détruire!

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 79e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Manga, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 13 décembre 2017 – Cette petite maison à la magnifique façade peinte d’un personnage aux allures de manga a fait le tour du monde grâce aux photos publiées tant par les tourismes que par les Montréalais eux-mêmes… Elle a servi ainsi de magnifique carton d’invitation à visiter la métropole. Mais, voilà qu’un malfaisant en a détruit la beauté en y apposant un affreux tag!

Quel manque de savoir-vivre, quelle démonstration d’irrespect envers l’artiste et envers le bien d’autrui, quelle affreuse façon de se comporter en société! Pourquoi ces gens-là ne sont-ils pas punis? Ils mériteraient d’être exilés sur une île déserte, là où il ne pourrait plus nuire.

Vivre en société impose des règles et malheureusement dans la société québécoise on refuse de réprimander ces petits délits en imposant des punitions à ceux qui contreviennent aux règles… Il me semble qu’il faudrait y revenir avant longtemps.

Cette maison à la superbe façade est située sur la rue Hôtel de Ville à l’angle de la rue Duluth dans l’arrondissement « Le Plateau Mont-Royal ». Elle y est depuis au moins 2008, car j’ai retrouvé sur Internet une photo datant de 2008 la montrant sans l’affreux tag.

L’œuvre n’est ni titrée ni signée… dommage, car il serait tellement intéressant de retrouver l’artiste et de voir avec lui comment on pourrait redonner à cette belle petite maison son lustre d’avant le passage du ou des vandales.

Photo ci-dessus : Elle était si belle cette murale! Qu’est qui a bien pu prendre à celui ou celle qui y a apposé son affreux tag!

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Déc/17
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Art public – « L’oiselière » (Bezt ETAM)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 78e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

L’oiselière, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 11 décembre 2017 – Toujours au cours de notre quête de murales amorcée sur le boulevard Saint-Laurent, nous bifurquons sur la rue Duluth vers l’Est et nous apercevons sur le mur d’une maison de la rue Saint-Dominique une autre magnifique murale.

On y voit une jeune fille transportant des « cabanes d’oiseaux » à l’aide d’un bâton… sur lequel justement un oiseau s’est posé. Elle est superbe, tant au niveau des couleurs que de la qualité du dessin de la jeune fille, de l’oiseau et des cabanes à oiseaux.

Malheureusement, un irrespectueux graffiteur a gâché l’ensemble, apposant un attreux tag dans le coin inférieur droit de la murale. Quel manque de respect envers les artistes.

La murale n’est pas titrée, mais elle porte une signature, « Bezt Etam »!

Une recherche sur Internet nous a permis d’apprendre que « Bezt » est membre d’un groupe nommé « ETAM Cru ». En fait, l’artiste a fondé, avec un camarade d’école, le collectif d’artistes de rue « Etam Cru ».

Betz est l’alias de l’artiste polonais Mateusz Gapski. L’autre fondateur du groupe est Przemek Blejzyk alias Sainer. Ils sont nés respectivement en 1988 et 1987 à Łódź et à Turek en Pologne. Ils sont tous deux diplômés de l’Académie des Beaux-Arts de Łódź en 2010. Pour l’heure, ils œuvrent dans la capitale polonaise, Varsovie.

Sur le site Internet des artistes, nous pouvons lire que « Signés de Sainer ou de Bezt, le style de ces murs géants est reconnaissable. Comme sortis d’un conte pour enfant, d’une Alice aux pays des Merveilles, certains personnages brillent dans un décor irréel plein de fantaisies. Une manière de redonner de l’âme à des bâtisses tristes et sombres et d’offrir un moment d’enfance aux passants et aux habitants. » C’est tellement cela que je ressens à regarder leur œuvre.

Aujourd’hui, le duo voyage à travers le monde pour réaliser ces fresques murales aux dimensions hors normes. On retrouve de leurs œuvres, entre autres, en Bulgarie, en Pologne, en Allemagne, en Autriche, tout comme au Portugal, en Italie, en France, en Russie, en Norvège, en Belgique, aux États-Unis… et évidemment à Montréal.

On apprend également sur leur site que pour chacune de leur murale, Bezt et Sainer, applique le même processus de création : ils esquissent un croquis, ensuite ils rajoutent la couleur puis peaufinent les détails. C’est le même processus que pour créer une toile, sauf que c’est beaucoup plus grand. Dans leur travail, ils utilisent des aérosols, de la peinture acrylique, des rouleaux, des brosses et surtout un échafaudage.

Photo ci-dessus : Pour notre propre plaisir, nous avons titré la murale réalisée par Bezt, « L’oiselière ». On peut l’admirer sur le mur d’une bâtisse de la rue Saint-Dominique jouxtant un stationnement, tout près de la rue Duluth.

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Déc/17
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Art public – « La déesse » (SBU One)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 77e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

La déesse, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 9 décembre 2017 – Nous continuons notre quête de murales sur le boulevard Saint-Laurent. En marchant vers le nord, nous apercevons sur la rue Duluth, entre Saint-Laurent et Clark, une murale sur le mur face à une très petite ruelle. Dès le premier regard, je me suis dit : « Voilà une déesse de la mythologie égyptienne ».

La murale n’est pas titrée, mais elle est signé « SBU One ». J’ai présumé que c’était le nom de l’auteur. Mes recherches m’ont donné raison, « SBU One » étant le pseudonyme d’un artiste de rue né en France, mais qui habite Montréal depuis 2004.

On peut lire ceci à son sujet sur sa page Facebook : « Pendant plusieurs années son art de rue balançait entre le figuratif et l’abstrait, jamais tout à fait l’un ou l’autre. Depuis quelques années l’artiste penche un peu plus vers le figuratif, du moins en ce qui concerne son art urbain. Animaux et personnages zoomorphiques y font des apparitions fréquentes. »

La murale, qui présente une femme portant un masque d'animal à cornes a été réalisée dans le cadre de l’édition 2017 du « Festival international d’art public MURAL ».

Pour notre plaisir, nous l'avons titrée « La déesse ». C'est ce qu'elle nous a inspirée dès le premier regard.

Photo ci-dessus : La murale de SBU One présentée dans le cadre Festival international d’art public MURAL 2017 est un bel exemple de personnage zoomorphique!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

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Déc/17
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Art public – « La jeune fermière » (Natalia Rak)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 76e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

La jeune fermière, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 7 décembre 2017 – Nous continuons notre quête de murales sur le boulevard Saint-Laurent, circulant sur l’ancienne « Main » vers le Nord. Nous sommes toujours sur le site du « Festival international d’art public MURAL de Montréal ». Lorsque nous croisons la rue Roy, nous apercevons une murale aux magnifiques couleurs sur cette rue. Nous nous en approchons.

La murale est située sur un mur de la rue Coloniale à l’angle de la rue Roy. L’œuvre présente une jeune fille, entourée d’un lapin et d’un coq, tenant une canne dans ses bras… un peu hors du mur principal prend place un paon, malheureusement la partie inférieure de la murale a été vandalisée par d’indignes graffiteurs. Quel manque de respect!

L’œuvre est non titrée et non datée. Toutefois, nos recherches nous ont appris que la murale était une réalisation de l’artiste de rue polonaise, Natalia Rak. La jeune artiste, née en 1986, est diplômée en arts graphiques du programme des beaux-arts de l’Université de Łódź de Pologne.

Natalia Rak œuvre sur la scène internationale ayant réalisé des œuvres aux États-Unis, en France, en Autriche et en Pologne. Elle est d’ailleurs régulièrement invitée à participer à des festivals d’art urbain renommés.

La murale que nous avons titrée « La jeune fermière » a été présentée dans le cadre de l’édition 2016 du « Festival international d’art public MURAL ».

Photo ci-dessus : La murale de Natalia Rak est immense. Elle prend place sur un mur de la rue Coloniale à l’angle de la rue Roy à Montréal. Malheureusement, une partie de celle-ci a été vandalisée par des graffiteurs. Il me semble qu’une personne qui se dit artiste devrait être respectueuse du travail d’autrui. C’est vraiment désolant.

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Déc/17
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Art public – «Sourire Mona Lisa 2017» (Ron English)

Texte et photos de Jacques Lanciault

Au fil de nos voyages, nous avons admiré très souvent des œuvres d’art dans les rues, sur les murs, devant les édifices, dans les parcs, etc.! Curieusement lorsque nous sommes chez nous, au Québec, nous prêtons moins attention et souvent ne les remarquons pas. Pourtant, l’art public est en pleine effervescence au pays!

Au cours des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous partagerons avec vous ces œuvres de chez nous que nous avons découvertes au fil de nos déplacements! Voici le 75e de notre série de reportages sur nos trouvailles...

Sourire de Mona Lisa 2017, Montréal, Québec

Montréal, Québec, 5 décembre 2017 – À la mi-novembre, nous sommes retournés sur le site du « Festival international d’art public MURAL », sur le boulevard Saint-Laurent près de la rue Prince-Arthur, et ce, histoire d’admirer quelques autres murales.

La première devant laquelle nous nous sommes arrêtés n’affichait ni titre ni auteur, comme c’est souvent le cas. Nos recherches nous ont appris dans un premier temps le nom de son auteur, Ron English, un artiste américain né en 1959 à Chicago, un adepte de l’art urbain.

Puis, nous avons constaté que la murale d’English avait été réalisée pour l’édition 2017 du « Festival international d’art public MURAL ».

Une visite sur la page Internet de l’artiste nous a permis de constater que celui-ci avait déjà réalisé une toile très semblable, sans toutefois être identique à la murale. Cette toile titrée Melting Mona Grin… nous a incités à attribuer le titre de « Sourire Mona Lisa 2017 » à cette murale aux superbes couleurs.

Photo ci-dessus : Il y a beaucoup, mais vraiment beaucoup, de points de ressemblance entre la murale de Ron English que nous avons titrée « Sourire Mona Lisa 2017 » et « La Joconde » de Léonardo da Vinci.

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Déc/17
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Embellie à Montréal : 30 sculptures, installations ou édifices qui ont changé l’image de Montréal!

Textes, recherches et photos de Jacques Lanciault

Laval, Québec, le 3 décembre 2017 - Montréal est laide! Des rues ressemblant plus à des champs de mines qu’à des voies de circulation d’une ville moderne, des cônes orange qui la décorent, souvent même longtemps après la fin des travaux, et des blocs de ciment temporaires qui malheureusement deviennent permanents! Et je ne parle même pas du délabrement de certains édifices et maisons, des atrocités de la signalisation routière, ni de la propreté en général.

Mais, parce qu’il y a toujours un mais, une chance, une grande chance en fait, que « l’art » y règne aussi en maître… changeant merveilleusement les endroits tristes et sans vie en de véritables galeries d’art.

Aux artistes, qu'ils soient sculpteurs, muralistes, céramistes ou architectes qui réussissent ce tour de force, je dis mille mercis de nous empêcher de sombrer dans la tristesse!

Je ne sais pas combien il y a de sculptures, d'installations artistiques ou d'immeubles originaux à Montréal, mais, j’aime bien partir à leurs recherches. Voici la trentaine d’entre elles que j’ai admirée au cours des derniers mois. Pour chacune d’elle, j’ai effectué quelques recherches et j’ai publié textes et photos. J’ai ajouté les liens à mes écrits sous les photos.

Bon visionnement et bonne lecture.

Photo ci-dessus : Quelques-unes de la trentaine de murales présentées dans ce texte.< "i>

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

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