3
Mar/16
0

Un immense gomero, de beaux monuments et une église superbe : la Basílica Nuestra Señora del Pilar!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 15e d’une série de reportages sur notre superbe odyssée à Buenos Aires en Argentine, un périple réalisé à la fin de l’hiver 2016!

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Buenos Aires, Argentine, jeudi 3 mars 2016 - Nos quatre premiers jours de découvertes à Buenos Aires ont été particulièrement riches en belles églises, en impressionnants monuments et magnifiques parcs… Et ça continue aujourd’hui alors que nous nous rendons au cœur du quartier Recoleta.

Tout d’abord, un immense parc devant le plus vieux cimetière de la ville, un parc où l’on retrouve une pléthore de monuments et un immense arbre plus que deux fois centenaire! Puis, une très très belle église, la Basílica Nuestra Señora del Pilar et son intéressant petit musée… et tout cela avant même de fouler des pieds le sol du cimetière de la Recoleta!

Photo ci-dessus : « Vous pourrez admirer dans la “Basílica Nuestra Señora del Pilar”, nous avait mentionné notre amie Krystyna Wozniak de Voyages Lambert, un superbe “Jésus pensif”, un style de statue unique que l’on retrouve pratiquement qu’en Pologne ».

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

N.-B. : Pour regarder le diaporama des photos présentées sur cette page, cliquez sur n’importe laquelle des photos.

À notre réveil ce matin, à 7 h 10, nous constatons qu’il y a beaucoup de nuages dans le ciel. Pourtant, ce n’est pas ce qu’annonçaient les météorologues argentins. Seraient-ils un peu comme les nôtres au Québec?

Après notre petit-déjeuner à l’appartement, nous partons à 9 h 45 pour notre cinquième jour de découvertes à Buenos Aires.

Nous nous rendons ce matin dans le Barrio de Recoleta, le quartier Recoleta, un des plus élégants de Buenos Aires. Recoleta doit son nom aux pères franciscains qui érigèrent un couvent au début du XVIIIe siècle, le couvent des Récollets!

Notre guide « Ulysse » nous indique que c’est un quartier de parcs, de statues et de sculptures! Je m’en régale à l’avance.

Nous amorcerons nos visites aux alentours du réputé cimetière de la Recoleta… qui selon notre estimation est à une distance de marche de notre appartement.

Après quelques cafouillages à trouver la bonne direction dans notre propre quartier, finalement nous trouvons l’avenue que nous cherchions, l’avenida General Las Heras, elle qui se rend presque directement au Cementerio de la Recoleta.

Après 45 minutes de marche, nous nous arrêtons dans un petit café, le « Café Monsieur Voltaire »… où l’ambiance musicale de ce matin a été confiée à Salvatore Adamo!

Café Voltaire, Buenos Aires Argentine

Photo ci-dessus : L’intérieur du « Café Voltaire »… dans le quartier Palermo à Buenos Aires. (photo provenant d’Internet)

Nous commandons un capucino, un café doble et deux médialunas (120 pesos argentins). Délicieux!

Puis nous repartons à 11 heures.

La Facultad de Ingeniería de l’Université de Buenos Aires
Après quelques pas, nous croisons un bel édifice de l’autre côté de l’avenida General Las Heras. Il s’agit de l’immeuble de la faculté d’Ingiénierie de l’Université de Buenos Aires. La façade de l’édifice est imposante, même si le reste du bâtiment, qui ressemble à un monastère, semble assez amoché.

Cet édifice a été conçu entre 1909 et 1910 pour abriter la faculté de Droit et des Sciences sociales. Lors de la préparation du projet final, l’architecte responsable du dossier, Arturo Prins, a obtenu la collaboration de deux architectes italiens nouvellement arrivés en Argentine : Francesco Gianotti et Mario Palanti… Ce dernier s’étant illustré par la suite en construisant le Palacio Barolo, comme nous l’avons vue dans notre dernier texte.

La construction s’est amorcée en 1912… mais s’est étirée jusqu’en 1938. L’édifice a abrité la faculté de Droit jusqu’en 1950 et depuis, c’est la faculté d’ingénierie qui occupe le lieu.

Facultad de Ingeniería, Buenos Aires Argentine

Photo ci-dessus : La « Facultad de Ingeniería » de l’Université de Buenos Aires occupe le seul bâtiment néo-gothique monumental à caractère non religieux de la ville.

Nous poursuivons notre marche. Puis, nous tournons à gauche sur la calle Junin… la rue du cimetière de la Recoleta. Il est 11 heures.

La Plaza Juan XXIII
Nous sommes sur la Plaza Juan XXIII, un grand espace vert qui a été nommé en 1975 en hommage à Angelo Giuseppe Roncalli, qui fut pape de l’Église catholique romaine sous le nom de Jean XXIII, et ce, de 1958 et 1963, donc le premier que nous ayons vraiment connu.

La place est un autre des très nombreux espaces verts conçus par Carlos Thays à Buenos Aires. En fait, nous constatons qu’il y a plusieurs places en enfilade.

Celle où nous nous trouvons est située en face de l’entrée principale au cimetière de Recoleta.

Tout au centre de cette place, il y a un monument, une pietà, nous semble-t-il. C’est le Monumento A los caídos el 6 de septiembre 1930, une sculpture qui veut honorer la mémoire des Porteños morts lors du coup d’État du 6 septembre 1930 contre le gouvernement d’Hipólito Yrigoyen.

Monumento A los caídos el 6 de septiembre 1930, Buenos Aires Argentine

Monumento A los caídos el 6 de septiembre 1930, Buenos Aires Argentine

Monumento A los caídos el 6 de septiembre 1930, Buenos Aires Argentine

Photos ci-dessus : La sculpture représente une mère tenant son fils mort dans ses bras. Elle est l’œuvre du sculpteur argentin Agustín Riganelli (1890-1949).

Tout près, il y a le fameux gomero, dont tous les guides de voyages que nous avons consultés lors de la préparation de notre périple signalent la présence.

Gomero de la Plaza Juan XXIII, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Le « gomero de la Recoleta »… un arbre à caoutchouc qui fait 20 mètres de hauteur… et surtout 50 mètres d’amplitude!

Gomero de la Plaza Juan XXIII, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Gomero de la Plaza Juan XXIII, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Gomero de la Plaza Juan XXIII, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Gomero de la Plaza Juan XXIII, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Les branches du « Gomero » de la Recoleta sont très longues et surtout très lourdes et plusieurs appuis ont été placés pour en supporter le poids, certains appuis étant beaucoup plus recherchés que d’autres!

Cet arbre immense aurait été planté au XVIIIe siècle. C’est un arbre très fourni aux feuilles vert foncé… Mais, les historiens ne s’entendent pas sur la date de sa plantation.

Selon certains, il aurait été planté par les pères récollets qui avaient construit une sorte de jardin botanique sur ces terres. D’autres soutiennent plutôt qu’il aurait été mis en terre par Martin de Altolaguirre, propriétaire ancestral de ces terres. Peu importe, quelle histoire on retient, une chose est certaine est qu’il aurait été planté entre les années 1790 et 1826… ce qui lui donne près ou un peu plus de 200 ans!

Nous nous sommes un peu éloignés du cimetière. Pour l’heure, nous sommes sur la Plaza Ramón J. Cárcano, un espace vert qui fait partie du Paseo de la Recoleta. Cette place a été nommée ainsi en l’honneur de Ramón José Cárcano, un homme politique conservateur qui a été gouverneur de la province de Córdoba.

Un monument au nom de Falcon la décore. Nos recherches en vue de la rédaction de ce texte nous ont appris qu’il y est depuis 1918.

« La sculpture, une œuvre de l’artiste Alberto Lagos, mentionne l’encyclopédie libre Wikipédia en espagnol, est en marbre blanc de Carrare. Elle rend hommage à Ramón Falcón… un chef de la police de Buenos Aires aux méthodes répressives violentes. Il est célèbre pour avoir été tué par le militant anarchiste, Simón Radowitzky, en 1909. L’œuvre présente deux figures allégoriques, la “Fatalité” et la “Gloire”, qui représentent Falcón et son jeune assistant Juan Alberto Lartigau, également victime de l’attentat. »

Plaza Ramón J. Cárcano, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Plaza Ramón J. Cárcano, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Le monument à Ramón Falcón et à son assistant Juan Alberto Lartigau… pas évident d’en comprendre le sens au premier coup d’œil.

Puis, nous arrivons sur la plaza Torcuato de Alvear où il y a un majestueux monument au centre. Il a été construit en hommage au premier maire de la ville de Buenos Aires, Torcuato María de Alvear, qui fut aux commandes de la ville de 1880 à 1887.

Plaza Ramón J. Cárcano, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Plaza Ramón J. Cárcano, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Plaza Ramón J. Cárcano, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Le monument à l’intendant Torcuato María de Alvear est l’œuvre de A. Jons et de Juan Lauer. Il a été inauguré en 1900.

Notre chasse aux monuments nous a éloignés de notre but premier soit le cimetière et la Basílica Nuestra Señora del Pilar. Nous rebroussons chemin.

Basílica Nuestra Señora del Pilar
Nous nous approchons de la Basílica Nuestra Señora del Pilar… elle est toute blanche.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : La construction de la basilique s’est achevée en 1732 sous la supervision de l’architecte Andrea Bianchi. Elle est l’une des plus anciennes églises de la ville et demeure un exemple de l’architecture coloniale.

C’est une église que nous avons très hâte de découvrir, et ce, parce que sa visite nous a été chaudement recommandée par notre amie Krystyna Wozniak, une guide accompagnatrice de Voyages Lambert. En fait, lorsque nous l’avons informée de notre projet de voyage à Buenos Aires, c’est de cette église, et surtout d’une de ses statues, dont elle nous a parlée. Elle avait noté la présence d’une statue d’un « Jésus pensif » dans la Basílica Nuestra Señora del Pilar… un genre de statue qu’elle n’avait jamais vu ailleurs qu’en Pologne.

Jouxtant l’église, il y a un ancien cloître, le claustros del Pilar, qui a été transformé en petit musée.

Nous nous approchons et même si nous sommes encore à l’extérieur, plusieurs belles œuvres d’art s’offrent à nous.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Tout près de l’entrée, un superbe crucifix en bois.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Puis une belle céramique du port de Buenos Aires à une autre époque.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Et finalement, un buste d’Eva Perón, l’ex très populaire première dame du pays.

Nous entrons.

Dans la première chapelle latérale que nous croisons, il y a un Christ vêtu d’une tunique rouge qui est agenouillé. Il porte un long chapelet.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Une magnifique statue du Christ.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Derrière ce Christ prend place un très beau retable.

Puis, nous arrivons dans la chapelle où il y a le « Jésus pensif », un Christ portant la couronne d’épines. Il est superbe. Krystyna avait raison de nous prévenir de ne pas rater cette œuvre.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Un « Jésus » dans une pose inhabituelle pour nous… mais pas pour les Polonais.

Toutes les chapelles latérales affichent de beaux retables sculptés et décorés de diverses couleurs avec de belles statues.

L’église n’est pas bien grande, mais fort élégante avec ses murs, dont les premiers centimètres partant du plancher sont en carreaux de céramique, et son plafond blanc.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Une petite église richement décorée.

Notre visite est accompagnée de chants religieux émanant de plusieurs haut-parleurs répartis un peu partout dans l’église.

Le maître-autel et son retable sont splendides avec de multiples décorations.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Commandé en 1730, le retable central a été réalisé par Domingo Mendizábal, Ignacio de Arregui et Miguel Careaga. Il est ainsi l’un des plus anciens de Buenos Aires. Remarquez la table d’autel qui est formée de plaques d’argent ciselées par des orfèvres péruviens.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Il y a également une très belle chaire.

Selon la tradition espagnole et portugaise, les retables des chapelles latérales sont construits en bois selon une disposition architecturale régie par les canons classiques… composés de décorations grimpant vers les cieux! Dans les compartiments, richement ornés, sont placées des représentations de saints ou de saintes, sculptées ou peintes.

Ils ont été réalisés par un maître portugais du XVIIIe siècle, mais leurs noms n’ont pas été retenus.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Un des beaux autels d’une chapelle latérale.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Et cet autre arborant une superbe vierge Marie vêtue d’une cape noire décorée de fils d’or.

Le cloître est accessible de l’intérieur de l’église. Il a été converti en musée depuis 1997.

Nous y entrons, pour un minime 30 pesos argentins.

Nous nous retrouvons devant une multitude d’objets religieux, des statues de la Vierge Marie, toutes habillées de vraies robes… des vêtements très richement décorés.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Une peinture du bois… une Vierge à l’enfant.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Un superbe livre de chants religieux datant du XIXe siècle!

Nous entendons de la musique grégorienne.

Outre les statues, il y a des reliques, dont une du pape Pie X.

Il y a aussi un livre affichant des signatures… suite à des baptêmes, des mariages et des funérailles!

Il y a un petit-Jésus en bois polychrome. Il est couché sur un coussin vert pâle. Il date du XIXe siècle et provient de France.

Il y a aussi plusieurs objets provenant d’autres églises détruites depuis, dont des habits de prêtres, des objets religieux en argent ayant servi à célébrer des messes, etc.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photos ci-dessus : Une autre superbe statue de la Vierge Marie. Elle date du XVIIIe siècle et provient de Séville.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Et une autre! Celle-ci date également du XVIIIe siècle. Sa robe est de tissus de brocard tissé de fil en argent.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Une œuvre en bois de Madère.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Des cierges.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Une sculpture particulièrement morbide.

Des fenêtres donnent sur le cimetière de la Recoleta où le soleil brille de tous ses feux… finalement, les météorologues avaient raison.

Basílica Nuestra Señora del Pilar, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Le cimetière de la Recoleta… notre prochaine visite.

Nous sortons à midi et achetons un aimant et une carte postale de la basilique (12 pesos argentins).

À suivre…
Une longue promenade dans le Cementerio de la Recoleta, un incroyable cimetière!

Cementerio de la Recoleta, Quartier Recoleta, Buenos Aires, Argentine

Photo ci-dessus : Un des beaux monuments que nous avons admirés dans le cimetière de la Recoleta!

Pour lire nos textes précédents sur Buenos Aires, cliquez sur les liens suivants :

1er texte: En route pour Buenos Aires en Argentine!

2e texte: Buenos Aires : plaza de Mayo, Casa Rosada... et de beaux monuments!

3e texte: La Catedral Metropolitana de Buenos Aires… un véritable musée!

4e texte: Les musées du Cabildo et du bicentenaire de l’indépendance argentine!

5e texte: La Galería General Güemes et les Galerías Pacífico!

6e texte: De l’art résolument moderne au Centro cultural Borges!

7e texte: Fascinante « flânerie » sur la calle Florida de Buenos Aires!

8e texte: Buenos Aires : première incursion dans le mythique quartier San Telmo!

9e texte: Les Porteños manifestent… la Basílica de Nuestra Señora de la Merced!

10e texte: Café Tortoni, église San-Ignacio... et place des héros des Malouines!

11e texte: L’Avenida 9 de julio et la plaza del Congreso… Wow!

12e texte: Plaza Houssay, faculté de Médecine de l’Université et Palacio de Aguas Corrientes!

13e texte: Le magnifique parc de la Plaza Lavalle et le superbe Teatro Colón!

14e texte: Synagogue, Obélisque de Buenos Aires… et le magnifique Palacio Barolo!

Bibliographie

Atlas en fiches, Buenos Aires, Éditions Atlas, 2008;

Cartoville - Buenos Aires, Guides Gallimard, 2014;

Buenos Aires, Le petit futé, 2014, 360 pages;

Encyclopédie libre Wikipédia, Argentine, Buenos Aires, Plaza de Mayo, Casa Rosada, et plusieurs autres pages;

Escale à Buenos Aires, Ulysse, 2014, 176 pages.

Commentaires (0) Trackbacks (0)
  1. Un Christ pensif…qui éprouve une grande solitude. J’ai retrouvé ce personnage en Andalousie et au Portugal. En Andalousie on parle de  »grande solitude ».

Laisser un commentaire


Aucun trackbacks pour l'instant