Sep/150
Art public Montréal – « Paul au parc »… Beaubien!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Voici le 4e d’une série de reportages sur des œuvres d’art que l’on retrouve dans les rues, sur les murs, devant les édifices et dans les parcs de la région métropolitaine… sans pour autant que nous en profitions vraiment !
Laval, Québec, jeudi 1er octobre 2015 – De retour d’un périple à Philadelphie où nous avons admiré un nombre incalculable d’œuvres d’art essaimées aux quatre coins de la ville, nous nous sommes interrogés à savoir si la région métropolitaine était aussi généreuse en cette matière! De simples promenades à Montréal et à Laval nous permettent de constater la richesse du patrimoine artistique de chez nous... sans qu’il faille être ailleurs pour apprécier l’art public.
Au fil des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous allons tenter de découvrir et de partager avec vous ces œuvres de chez nous que bien souvent nous ne voyons pas !
La quatrième œuvre qui a attiré notre attention est un ensemble de murales peintes un des chalets du parc Beaubien dans le quartier Rosemont… Un sujet tout à fait d’actualité avec la récente sortie du film « Paul à Québec ».
En fait, j’ai remarqué les dessins peints sur le chalet du parc Beaubien lors d’une séance d’entraînement de baseball de mon petit-fils Félix au parc Beaubien. M’approchant du chalet pour photographier la murale, je me suis aussitôt dit que cela ressemblait étrangement aux personnages des bandes dessinées de la série des « Paul » du bédéiste Michel Rabagliati. J’ai commencé à prendre des photos, et ce n’est qu’à mon tout dernier cliché que j’ai vu, dans le coin supérieur droit de la murale, l’inscription « Rabagliati » !
Photo ci-dessus : Le chalet du parc Beaubien aux couleurs « multisports » du héros des bandes dessinées de la série des « Paul » de Michel Rabagliati. Le dessin sur papier est du bédéiste, l’application sur les murs du chalet est de l’artiste montréalais Jérôme Poirier.
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Sep/150
Art public Montréal – « Notre existence ne sera plus jamais silencieuse »!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Voici le 3e d’une série de reportages sur des œuvres d’art que l’on retrouve dans les rues, sur les murs, devant les édifices et dans les parcs de la région métropolitaine… sans pour autant que nous en profitions vraiment !
Laval, Québec, mercredi 30 septembre 2015 – De retour d’un périple à Philadelphie où nous avons admiré un nombre incalculable d’œuvres d’art essaimées aux quatre coins de la ville, nous nous sommes interrogés à savoir si la région métropolitaine était aussi généreuse en cette matière! De simples promenades à Montréal et à Laval nous permettent de constater la richesse du patrimoine artistique de chez nous... sans qu’il faille être ailleurs pour apprécier l’art public.
Au fil des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous allons tenter de découvrir et de partager avec vous ces œuvres de chez nous que bien souvent nous ne voyons pas !
La troisième œuvre qui a attiré notre attention est également une murale. Elle s’affiche sur le mur de côté d’une maison sise sur l'avenue De Lorimier tout près de l’intersection avec la rue Masson. La murale, une œuvre de l’artiste californienne de Street Art Jessica Sabogal, n’a pas de titre, mais on y retrouve un texte sans équivoque : « Notre existence ne sera plus jamais silencieuse. Cela ne nécessite ni excuse, ni explication, ni approbation. »
Photo ci-dessus : Angle De Lorimier et Masson à Montréal, une murale qui présente deux femmes sur le point de s’embrasser serait la première murale lesbienne à avoir été dessinée sur les murs de la métropole. L’œuvre est de l’artiste californienne Jessica Sabogal, qui a profité de la générosité des deux copropriétaires de l’immeuble pour y inscrire artistiquement son message engagé.
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Sep/150
Art public Montréal – « Comme un jeu d’enfants »!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Voici le 2e d’une série de reportages sur des œuvres d’art que l’on retrouve dans les rues, sur les murs, devant les édifices et dans les parcs de la région métropolitaine… sans pour autant que nous en profitions vraiment !
Laval, Québec, mardi 29 septembre 2015 – De retour d’un périple à Philadelphie où nous avons admiré un nombre incalculable d’œuvres d’art essaimées aux quatre coins de la ville, nous nous sommes interrogés à savoir si la région métropolitaine était aussi généreuse en cette matière! De simples promenades à Montréal et à Laval nous permettent de constater la richesse du patrimoine artistique de chez nous... sans qu’il faille être ailleurs pour apprécier l’art public.
Au fil des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous allons tenter de découvrir et de partager avec vous ces œuvres de chez nous que bien souvent nous ne voyons pas !
La deuxième œuvre qui a attiré notre attention est une superbe murale que l’on peut admirer sur le mur de côté d’une maison, un mur qui fait face à l’avenue Papineau à l’angle de la rue Jarry à Montréal. La murale est intitulée « Comme un jeu d’enfants » et a été réalisée au cours de l’été 2015 par l’artiste français Seth, « un grand du monde du street art » précisait le quotidien Le Devoir dans son édition du 30 juillet 2015.
Photo ci-dessus : L’artiste Seth, de son vrai nom Julien Malland, s’est inspiré de la thématique des murales que l’on peut admirer dans le quartier St-Michel pour élaborer son œuvre « Comme un jeu d’enfants »… qui représente la rencontre de deux personnes de culture différente.
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Sep/150
Art public Montréal – « La vélocité des lieux »!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Voici le 1er d’une série de reportages sur des œuvres d’art que l’on retrouve dans les rues, sur les murs, devant les édifices et dans les parcs de la région métropolitaine… sans pour autant que nous en profitions vraiment !
Laval, Québec, lundi 28 septembre 2015 – De retour d’un périple à Philadelphie où nous avons admiré un nombre incalculable d’œuvres d’art essaimées aux quatre coins de la ville, nous nous sommes interrogés à savoir si la région métropolitaine était aussi généreuse en cette matière! De simples promenades à Montréal et à Laval nous permettent de constater la richesse du patrimoine artistique de chez nous... sans qu’il faille être ailleurs pour apprécier l’art public.
Au fil des prochains jours, des prochaines semaines, voire des prochains mois, nous allons tenter de découvrir et de partager avec vous ces œuvres de chez nous que bien souvent nous ne voyons pas !
La première que nous présentons est, contrairement à bien d’autres, difficile à rater… tellement elle est imposante. Il s’agit d’une « grande roue » sise à l’entrée du pont Pie IX, soit à l’angle des boulevards Henri-Bourassa et Pie IX. L’œuvre réalisée par BGL, Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière, a été baptisée « La vélocité des lieux ».
Photo ci-dessus : «La vélocité des lieux », une grande roue, comme celle que l’on retrouve dans les fêtes foraines, haute de 60 pieds, affiche en lieu et place de ses traditionnelles cabines des silhouettes d’autobus !
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Sep/150
Classement des entreprises canadiennes à la plus forte croissance : Karelab au 48e rang!
Source : texte publié sur le site Internet de Karelab
Laval, le 23 septembre 2015 – Le magazine « Profit », une publication de Rogers Digital Media, a publié ces derniers jours la 27e édition de son classement annuel des 500 entreprises canadiennes à la plus forte croissance… et Karelab, l’entreprise de mon fils, y apparaît au 48e rang au Canada et à la 5e place au Québec!
Ce classement annuel est, et de loin, la plus importante célébration annuelle de la réussite entrepreneuriale au Canada.
« Les meilleurs entrepreneurs au Canada méritent d’être félicités pour leur contribution économique envers la communauté et le pays dans son ensemble », a déclaré James Cowan, rédacteur en chef du magazine Profit et de Canadian Business. « Ils sont des exemples de ce qui peut être accompli avec de l’innovation, de la discipline et de la détermination. »
Photo ci-dessus : Marc-André Lanciault, président et directeur général de Karelab. (Photo : Robert Skinner, La Presse)
Sep/150
Mon fils… atteint le sommet du mont Katahdin!
Texte de Jacques Lanciault et photos Marc-André Lanciault
Laval, Québec, vendredi 18 septembre 2015 – Le week-end dernier, notre fils Marc-André a accompli un autre exploit! Contrairement à ses dernières grandes réalisations, celle-ci n’a rien à voir avec son entreprise, Karelab, ni avec ses talents d’orateur. Il s’agit plutôt de la réalisation d’un défi d’endurance physique. En bref, Marc-André a grimpé au sommet du mont Katahdin, le point culminant de l’État du Maine aux États-Unis et il a marché au sommet de la montagne sur une longue, mais très étroite paroi rocheuse sur une distance de 1,5 kilomètre!
L’expédition, partie intégrante de son programme d’études à l'École d'Entrepreneurship de Beauce, a permis au groupe de 21 étudiants d’atteindre le plus haut sommet du massif du mont Katahdin, le Baxter Peak, situé à 5,270 pieds d’altitude!
L’expérience a été difficile, Marc-André est le premier à le reconnaître, et avouons-le inquiétante pour des parents. Mais elle est aussi pour notre fils une source d’extrême fierté, une fierté que nous partageons avec lui.
Marc-André qualifie d’ailleurs son expérience en ces termes : « Treize heures de douleurs et de peur paralysante, mais surtout de dépassement de soi, de plaisir intense et de grande fierté! »
Mais laissons le soin à Marc-André de nous présenter le fil des événements que lui et ses camarades de cohorte, bien encadrés par six « coachs », ont vécu :
Photo ci-dessus : Voici Marc-André au sommet du mont Katahdin, à 5,270 pieds dans les airs!
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Sep/150
Chloé et Félix au royaume des animaux!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Granby, Québec, jeudi 20 août 2015 – Avec les horaires de président de compagnie de nos petits-enfants Chloé et Félix pour l’été, impossible d’improviser une visite au zoo de Granby. Alors, il faut réserver notre date d’avance… avec le risque que Dame nature décide de gâcher la fête. Mais, nous devons mener une bonne vie, car la charmante dame « était de notre bord » et dès que nous sommes arrivés au zoo de Granby, tous les nuages qui tapissaient de gris le ciel de Montréal avaient disparu!
Superbe journée et superbe zoo. Évidemment, nous avions déjà visité l’endroit… il y a longtemps, Chloé n’avait pas encore vu le jour où si elle était de ce monde, elle était trop petite pour nous avoir accompagnés. Les gens qui dirigent cette institution méritent des félicitations. Tout est propre, tant les animaux, leurs habitats, que le site où nous déambulons.
Et, les gardiens des animaux sont présents sur place pour nous renseigner par de petites conférences sur les us et coutumes des locataires des lieux! Vraiment très intéressant et surtout très instructif.
C’est pour les enfants que nous nous rendons dans ce type d’endroit, mais on n’échappe pas, malgré les années au compteur, à l’émerveillement de voir les animaux : imposants rhinocéros, peureux zèbres, immenses éléphants, charmant suricate, gracieuse girafe, beaux flamands « orange », paresseux lions et superbes tigres!
Voici quelques photos de cette belle escapade!
Photo ci-dessus : Chloé et Félix ont joué le jeu de la photo où ils apparaissent déguisés en maître de safari!
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Sep/150
Game on au Centre des sciences : une exposition interactive où Félix a raffolé… des vieux jeux d’arcades!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Montréal, Québec, mercredi 12 août 2015 – Qui aurait pu imaginer qu’en amenant notre petit-fils Félix au Centre des Sciences de Montréal pour voir l’exposition Game on dédiée à l’évolution des jeux vidéos d’hier à aujourd’hui …qu’il n’en aurait que pour les vieux jeux d’arcades tels Donkey Kong, Sonic et Pac Man!
C’est pourtant ce qui est arrivé. Une situation normale dit-il : « Les autres jeux, je peux y jouer chez moi, ceux-là ne sont plus accessibles, alors j’en profite! »
L’exposition qui vise à nous transporter dans le temps, c’est-à-dire à l’époque des premiers jeux sur ordinateur et d’arcades, y réussit fort bien, nous ramenant coup sur coup aux époques du Atari, du Xbox One et à celle des plus récents jeux.
Mais, ce n’est pas le côté historique de l’exposition, tout de même fort intéressant, qui a attiré les foules, mais bien l’expérience pleinement interactive qu’elle a offerte aux visiteurs, dont les plus jeunes comme Félix qui ont pu jouer à de grands classiques qui ont marqué l’histoire!
Photo ci-dessus : Le jeu préféré de notre petit-fils Félix à l’exposition Game on du Centre des sciences de Montréal a certes été Donkey Kong… surtout que la veille nous avions vu le film « Pixels » de Chris Columbus, traitant justement des jeux d’arcades!
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Sep/150
Le Musée des beaux arts de Montréal… un ensemble architectural tellement beau!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Montréal, Québec, mardi 30 juin 2015 – Chacune des expositions qui se tiennent au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) est une occasion en or d’admirer non seulement les merveilleuses œuvres d’art proposées par les concepteurs de l’exposition, mais également de s’émerveiller sur le site enchanteur du Musée pourtant situé au cœur de la métropole.
Outre les quatre pavillons que compte le musée, de nombreuses œuvres sont installées à l’extérieur et je ne puis m’empêcher, à chacune de mes visites, d’en photographier quelques-unes.
Photo ci-dessus : La magnifique statue de l’artiste originaire de Montréal David Altmedj, toute en bronze et haute de 13 pieds, intitulée « L’œil », prend place devant le nouveau pavillon Bourgie du MBAM depuis 2011. Elle a été commandée à l’artiste justement pour commémorer l’inauguration de la salle de concert Bourgie. Dans son guide du 150e anniversaire, le MBAM la décrit en mentionnant « Cette créature hybride évoquant « Le David » de Michael Ange…
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Sep/150
Spectaculaire l’exposition « Métamorphoses… dans le secret de l’atelier de Rodin » du MBAM!
Texte et photos de Jacques Lanciault
Montréal, Québec, mardi 30 juin 2015 – Nous sommes devenus au fil des ans et de nos voyages des familiers des œuvres d’Auguste Rodin. Nous avons visité les musées qui lui sont consacrés tant à l’Hôtel Biron à Paris qu’à Philadelphie, ce dernier tout récemment d’ailleurs. Donc, nous n’étions pas en territoire inconnu lorsque nous nous sommes rendus au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) pour nous délecter de l’exposition « Métamorphoses… dans le secret de l’atelier de Rodin ».
Contrairement à nos autres rencontres avec les œuvres de Rodin, celle du MBAM nous offre un beau mélange de sculptures en bronze, en marbre et en plâtre… nous permettant de vraiment constater le travail expérimental du sculpteur, ce sur quoi insiste la superbe exposition commencée le 30 mai et qui se termine le 18 octobre 2015.
Voici quelques-unes des œuvres ayant retenu notre attention!
Photo ci-dessus : Évidemment, quand on pense Auguste Rodin difficile de ne pas penser à son « Penseur »! Le voici en « grand modèle »… en plâtre patiné, destiné à la fonte en bronze!
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