Érik Bédard se joint aux Dodgers

Revue de presse

Marc Brassard, Le Droit, le 18 janvier 2015

Il y avait une autre équipe intéressée à ses services, mais Érik Bédard a préféré accepter une offre plus concrète des Dodgers de Los Angeles, dimanche.

Photo ci-dessus : Les Dodgers deviennent la septième organisation pour laquelle évolura Erik Bédard, après les Orioles de Baltimore, les Mariners de Seattle, les Red Sox de Boston, les Pirates de Pittsburgh, les Astros de Houston et les Rays de Tampa Bay.

Le lanceur gaucher de Navan, qui aura 36 ans en mars, a accepté les termes d'un pacte similaire à celui qu'il avait obtenu des Rays de Tampa Bay l'an passé à pareille date, soit un contrat des mineures assorti d'une invitation au camp des ligues majeures.

S'il se taille un poste avec la formation californienne, il empochera un salaire d'un million de dollars auquel pourraient s'ajouter des primes reliées à ses performances.

«J'ai signé un peu plus tôt que l'an dernier, mais c'est un contrat similaire. L'important, c'est d'aller au camp d'entraînement et d'avoir une chance de se tailler un poste, a-t-il confié dimanche soir. Je pense que j'ai une chance d'obtenir le poste de cinquième partant et on ne sait pas ce qui peut se passer également avec les blessures.»

Bédard, qui a présenté une fiche de 4-6 et une MPM de 4,76 la saison dernière avec les Rays avant d'être libéré au début du mois d'août, aime l'idée de se joindre à une formation qui aspire aux grands honneurs, menée par le gaucher Clayton Kershaw, le joueur le plus utile de la Ligue nationale l'an dernier et récipiendaire du trophée Cy-Young de meilleur lanceur à trois reprises.

«C'est une très bonne organisation et il y a une possibilité de tout gagner avec eux. Ce serait le fun de participer aux séries (pour la première fois de sa carrière)», a-t-il indiqué.

Les Dodgers deviennent la septième organisation - et deuxième de la Nationale - à laquelle Bédard appartient, après les Orioles, les Mariners, les Red Sox, les Pirates, les Astros et les Rays.

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault