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Le rôle de Russell Martin

Revue de presse

RDS.CA, selon un reportage dans l'Antichambre, 26 novembre 2014

Russell Martin

Le 4 novembre dernier, Alex Anthopoulos était à l’Antichambre, mais avait fait une demande spéciale à savoir si l’entrevue pouvait être enregistrée d’avance.

Ce que personne ne savait, c’est que Russell Martin et son agent étaient également à Montréal et des négociations allaient avoir lieu la même journée pour tenter d’amener le receveur étoile avec les Blue Jays.

Quelques jours plus tard, le « pitch de vente » comme le dit Martin avait fonctionné et il annonçait qu’il allait poursuivre sa carrière avec Toronto.

La nouvelle vedette des Jays était de passage à l’Antichambre mardi soir et il a pu discuter de son rôle avec sa nouvelle organisation.

« C’est une équipe qui est très excitante, surtout offensivement. Mon rôle dans l’équipe c’est de m’occuper des lanceurs. M’assurer qu’ils ont la situation sous contrôle et qu’ils me font confiance. Je ne sais pas si tout le monde le sait, mais c’est moi qui donne tous les signaux aux lanceurs. Je suis comme le quart-arrière ou le chef d’orchestre derrière le marbre. C’est moi qui dirige les lanceurs durant le match », a humblement expliqué Martin.

Cette année, Martin pourrait avoir à s’habituer à jouer avec un excellent lanceur de balle papillon en R.A. Dickey. Malgré le fait que le choix de la faire jouer avec Dickey ne lui revienne pas, Martin aimerait bien obtenir cette opportunité.

«J’ai déjà joué avec Charlie Haeger chez les Dodgers et il lançait de la papillon. Mais il a juste été avec le club durant un mois et je ne pense pas que sa balle dansait autant que celle de Dickey. J’espère pouvoir jouer avec lui, mais ce n’est pas ma décision. Ce n’est pas moi qui fait l’alignement, mais c’est certain que je vais me pratiquer et essayer d’être le plus confortable possible pour jouer avec R.A. »

Un changement très bénéfique
Malgré le fait que le baseball soit un sport ou le développement des joueurs est assez tardif, Russell Martin est devenu receveur seulement au calibre professionnel. Dans son cas, le changement de position a été très profitable.

« Quand j’étais jeune, je jouais un peu partout sur le terrain. J’ai joué à l’arrêt-court, au champ centre et j’ai même joué des matchs comme receveur quand j’étais plus jeune. Je pense que ça m’a permis de pouvoir me convertir plus facilement. Si je m’étais lancé dans une position où je n’ai jamais joué de ma vie, ça aurait été un peu plus difficile, mais la transition s’est faite d’une façon assez agréable.

Revue de presse publiée par Jacques Lanciault.

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