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Crémone : la ville de Stradivari, le père des stradivarius!

Texte et photos de Céline et Jacques

Voici le 17e d'une série de reportages relatifs à un formidable voyage réalisé dans « l’autre Italie » à l’automne 2012.

Stradivari et son fils, Crémone, Lombardie, Italie.Crémone, Lombardie, Italie, mardi, 16 octobre 2012 – Après avoir été vivement impressionnés par l’architecture superbe de l’ensemble formé du Duomo, de la Torrazzo et du baptistère de Crémone, notre guide crémonais nous amène admirer une magnifique collection de violons anciens au «Pallazzo Comunale», où un maestro nous gratifiera d’une brillante prestation… sur un stradivarius d’une autre époque. Puis, rendez-vous chez un luthier français exerçant son art à Crémone… la ville du violon.

Photo ci-dessus : Sur la « Piazza Stradivari », une statue de Stradivari avec son fils et à leurs pieds leurs outils.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Après avoir admiré sur la « Piazza del Comune » les chefs-d’œuvre d’architecture que sont la cathédrale, son campanile et son baptistère, nous y allons d’un simple demi-tour pour nous retrouver devant le « Pallazzo Comunale », lui qui fait face à la cathédrale.

Il s’agit de l’hôtel de ville de Crémone, un édifice qui date du XIIIe siècle. Au Moyen-Âge, l’hôtel de ville constituait le pouvoir politique, par rapport à celui de l’église. Nous nous en approchons.

Pallazzo Comunale, Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Le « Pallazzo Comunale », l’hôtel de ville de Crémone

Pallazzo Comunale, Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Les fenêtres du « Pallazzo Comunale » furent refaites au XIXe. La voute dans la loggia est en bois et arbore les armoiries des familles nobles de Crémone.

Nous entrons tout d’abord dans une cour intérieure.

Pallazzo Comunale, Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Dans la cour intérieure, deux pigeons se suivaient pas à pas!

Le « Pallazzo » est, aujourd’hui encore, le siège du gouvernement de la ville, c’est-à-dire de la mairie.

« D’ailleurs, nous mentionne notre guide local à Crémone, Mario, le gouvernement municipal de Crémone occupe trois autres lieux dans la ville, dont deux de ceux-ci sont dans d’autres anciens palais. » Quelle joie pour les fonctionnaires!

Pallazzo Comunale, Crémone, Lombardie, Italie.

Pallazzo Comunale, Crémone, Lombardie, Italie.

Photos ci-dessus : Les armoiries de la ville entourées de personnages mythiques, dont Hercule, celui qui, selon la légende, aurait créé Crémone.

Pallazzo Comunale, Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Comme nous avons pu le remarquer sur la photo au-dessus de celle-ci, les armoiries de la ville de Crémone affichent, entre autres, un bras qui tient une balle d’or.

« Ce bras, nous raconte Mario, représente celui de Giovanni Baldesio, dit le “Zanéen de Bala”, un héros légendaire de Crémone.

À l'époque médiévale, alors que Crémone était sous la domination du Saint-Empire romain germanique, l’empereur exigeait, tous les ans, le paiement d’une redevance composée d'une boule d'or pesant cinq livres!

Pour libérer la ville de cette “taxe”, les Crémonais ont délégué Giovanni Baldesio à la tête d’une armée qui fit la guerre au fils de l'empereur Henri IV… avec à la clef : l’émancipation de la ville.

En l’emportant, Baldesio a libéré la cité de ce fardeau et pour le remercier, les Crémonais offrirent à la fiancée du Zanéen une boule d’or, “La pala d’oro”! »

La collection de violons du Pallazzo Comunale
Puis, nous montons un escalier datant du XIVe siècle qui nous mène à la salle du conseil municipal de Crémone.

De là, on nous fait entrer dans l’antichambre de la Sala dei violini, la salle d’exposition qui présente les 80 violons anciens, propriétés de la ville de Crémone.

Pour entrer dans la salle d’exposition, il faut se séparer en deux groupes, nous sommes du deuxième groupe.

Notre guide local raconte la petite histoire du violon durant la visite du premier groupe. Grâce au système audio que Voyages Lambert fournit à ses guides et à ses voyageurs, nous entendons tout ce que dit Mario.

« Crémone est la ville où est né le violon », lance-t-il non sans fierté. « Et encore aujourd’hui c’est la ville du violon : il y a plus de 140 luthiers qui oeuvrent ici, dans quelque 70 ateliers. »

« Andréa Amati (1505-1578) a modifié des instruments qui existaient déjà pour créer le premier violon au XVIe siècle. Il a trouvé les meilleures proportions possibles pour l’instrument de musique baroque. »

Notre guide ajoute qu’Amati a, en 1566, confectionné 15 instruments pour le roi Charles IX de France.

« Beaucoup d’études ont été réalisées de par le monde pour connaître le secret de l’excellence du son des violons fabriqués à Crémone, notamment ceux de Stradivari, mais pour l’heure, aucune explication scientifique n’a été avancée en guise d’explication. »

Et d’ajouter notre guide : « La réponse est probablement dans la façon d’assembler l’instrument et non en raison des produits utilisés pour le vernir. »

Nous entrons à notre tour. Durant notre visite, en arrière-plan, évidemment nous entendons une musique de violon.

« Dans la salle d’exposition, reprend notre guide, la température est contrôlée pour protéger les violons, dont certains ont plus de 400 ans. »

« Il faut optimiser les degrés d’humidité et de chaleur, d’où la nécessité de limiter le nombre de visiteurs à la fois. »

« Le violon le plus jeune de la collection date de 1941 », souligne-t-il. « Le plus ancien date de 1566. Il y a ici des “Ruggeri”, des “Amati”, des “Cerruti” et des “Stradivari”! »

« La famille de luthier la plus importante de l’histoire de Crémone est la famille Amati. Stradivari a été formé au métier de luthier par cette famille. Non pas par le père Andréa, mais plus vraisemblablement par son petit-fils, Nicolò Amati, lui qui a vécu de 1596 à 1684. »

« Stradivari a vécu, quant à lui, de 1644 à 1738. Durant sa carrière, il a confectionné 1 400 violons et aussi surprenant que cela puisse paraître, il en reste encore aujourd’hui 600, dont la grande majorité sont dans un état de conservation remarquable! »

Nous constatons qu’il y a des agents de sécurité dans la salle d’exposition.

Parmi les instruments que nous voyons, Mario nous en indique un valant 5 000 000 €. « La collection complète vaut 12 millions d’euros », s’empresse-t-il de préciser, nous permettant ainsi de mieux comprendre la présence des agents de sécurité!

« Les instruments créés par Stradivari affichent un bon équilibre entre la force et la douceur », souligne notre guide. « Selon lui, le choix des matériaux, la qualité du bois étant très importante, et le souci de perfection dans la multitude de détails à considérer lors de l’assemblage est le secret de sa réussite. »

« Stradivari est parvenu à cette perfection en 1715, affirme-t-il, 22 ans avant sa mort. »

Mario nous informe qu’ici, on s’assure que chacun des instruments soit utilisé une fois par semaine. « Pour conserver la qualité du son, les violons doivent être utilisés. »

« D’ailleurs, les experts affirment qu’il faut 100 ans à un violon pour atteindre la perfection dans le son », nous confie notre guide crémonais.

« Le violon est un instrument très raffiné! C’est le seul qui arrive à imiter la voix humaine. »

« Les violons qui sont exposés ici ne peuvent être vendus, avertit notre guide, car ils sont connus mondialement comme appartenant à un musée. »

Il ajoute toutefois que parfois, des collectionneurs privés visitent les ateliers de Crémone et achètent un ou des instruments. « Dans notre ville, les instruments ont plus de valeur qu’ailleurs dans le monde, et ce, en raison de la tradition d’excellence dans la fabrication des violons que détiennent nos luthiers. »

« Les violons sont vendus avec un certificat témoignant de leur “pedigree”… et de leur authenticité! Ils sont dotés d’un sceau à l’intérieur du violon. Une copie du certificat d’authenticité est transmise à la société des auteurs éditeurs de musique, assurant ainsi la garantie d’authenticité. »

Nous ressortons et nous reprenons nos places dans la salle du conseil.

Puis surprise, un maestro s’amène pour jouer! Il utilisera pour sa prestation un «stradivarius» que Stradivari a réalisé alors qu’il n’était âgé que de 25 ans, donc en 1669.

« Il y a seulement trois maestros qui ont le droit d’utiliser les violons de la collection », souligne notre guide.

Celui qui joue pour nous se nomme Antonio De Lorenzi. Il est professeur de musique. Il interprète une pièce de Vivaldi et une de Bach. L’acoustique de la salle est exceptionnelle, certainement en raison du haut plafond de la salle du Conseil.

Entre les deux pièces présentées, alors que le maestro se désaltère, nous entendrions une mouche voler. Nous sommes totalement imprégnés de la musique. Tellement, que j’en oublie même de prendre des photos.

C’était magnifique. Lorsqu’il termine, nous l’applaudissons chaleureusement.

Antonio De Lorenzi, Pallazzo Comunale, Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Heureusement, avec Internet nous avons réussi à retrouver notre maestro. Le professeur Antonio De Lorenzi a été immortalisé ici par Gabriele Dellanave alors qu’il utilisait un stradivarius datant de 1727!

Nous sortons, il est 16 heures.

Pallazzo Comunale, Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Sur des murs intérieurs du « Pallazo Comunale », une statue du maître Stradivari à l’œuvre.

Piazza del Comune, Crémone, Lombardie, Italie.

Piazza del Comune, Crémone, Lombardie, Italie.

Photos ci-dessus : Une autre statue de Stradivari sur la « Piazza del Comune »..

Le métier de luthier
Puis, notre guide nous mentionne que nous allons nous diriger vers la boutique d’un luthier qui nous présentera les grandes lignes de son art.

Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Chemin faisant nous croisons cette magnifique tour à créneaux! .

Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Puis, cette jolie terrasse fleurie! 

Le luthier qui nous reçoit, Philippe Devanneaux, un Français, œuvre à Crémone depuis 30 ans. C’est ici qu’il a appris son métier. Passionné de son art, amoureux du bois et de la musique, il a décidé de faire sa vie ici.

D’entrée de jeu, il nous fait remarquer qu’il faut beaucoup de patience et de précision pour faire ce métier. « Il faut laisser mûrir le violon afin qu’il évolue. Puis, il faut l’utiliser et l’utiliser encore pour qu’il s’améliore. »

Luthier Philippe Devanneaux, Crémone, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Philippe Devanneaux dans son atelier à Crémone.

Il nous précise qu’il y a 148 maîtres-luthiers qui travaillent à Crémone selon la méthode traditionnelle, comme l’ont fait avant eux Stradivari et les autres grands luthiers de la Renaissance.

« Les luthiers à Crémone consacrent une grande proportion de leur temps à la fabrication de nouveaux instruments. En fait, seulement 10 pour cent du temps de travail est occupé à la réparation d’anciens violons. »

« Le violon est né en Inde, 500 ans avant Jésus-Christ », laisse-t-il entendre. « Toutefois, ajoute-t-il, c’est à Crémone que l’on a réussi à lui donner une forme parfaite ».

Il admet que si les premiers luthiers étaient italiens, ce n’est plus le cas aujourd’hui. « L’école de lutherie de Crémone est composée actuellement de 70 pour cent d’étrangers. »

« D’ailleurs, dit-il à notre intention, il y a un luthier canadien qui travaille à Crémone. Un Canadien originaire de Vancouver qui, comme moi, a émigré ici pour y œuvrer. »

« Le violon est un instrument qui est constitué de 71 éléments de bois. »

Le violon.

Photo ci-dessus : Le dictionnaire « Le Visuel » de Québec Amérique nous présente le vocabulaire particulier du violon.

Notre hôte nous indique qu’il utilise des essences de bois d’épicéa et d’érables, sans nœud, pour la confection de ses violons. Ces bois proviennent du nord-est de l’Italie pour l’épicéa et des Balkans pour l’érable.

Il utilise l’épicéa, un bois tendre, pour le devant de la table, alors que le fond est en érable.

« L’érable des Balkans est plus résistant que les érables grandissant ailleurs dans le monde. Cette résistance donne une meilleure qualité au niveau sonore. »

Et lorsqu’au tout début, il nous disait que son métier en était un de patience, il nous donne maintenant un exemple de ce qu’il voulait dire: « Il faut 10 ans pour faire sécher le bois! Ce n’est qu’après cette période que l’on débute la fabrication. »

Il nous dresse les grandes étapes de la fabrication d’un violon :

« Tout d’abord, nous choisissons le modèle, puis nous confectionnons un moule et des éclisses qui seront collées sur le moule. »

« On découpe les bords de l’instrument, le violon, qui est bombé pour la sonorité, prend forme. »

Notre cousin français nous mentionne utiliser une grande variété d’instruments dans son travail, dont des rabots de toutes tailles. Il nous montre d’ailleurs un rabot miniature… Il n’est pas plus grand qu’un dé à coudre!

«Toutes les pièces de bois sont différentes les unes des autres. Il faut surtout bien les choisir.»

« Nous devons être d’une très grande précision, c’est pourquoi nous utilisons un compas d’épaisseur. Tout est calculé au dixième de millimètres! »

« Le cordier est collé et il doit être parfait pour la pression des cordes. »

Puis, il nous explique l’opération la plus délicate… celle qui en quelque sorte donnera son «âme» au violon.

« Une petite pièce de bois appelé (justement) “âme” est mise debout, sans collage, à l’intérieur de la caisse, et ce, pour relier les deux côtés du violon, le haut et le bas.

Cette opération d’insertion est réalisée lorsque les pièces de bois sont devenues violon.

Pour l’insérer, le luthier utilise un petit miroir de dentiste, précise-t-il!

“L’âme” peut être réajustée par la suite pour améliorer la sonorité! Pour que le violon soit de qualité, il est essentiel que “l’âme” soit parfaitement ajustée. »

« Quant au manche, lance-t-il, il sera sculpté dans du bois d’érable et sera fixé sur la caisse. »

Par la suite, l’artisan entreprendra la longue opération de vernissage en utilisant une résine naturelle. « Il faut étendre entre 30 à 50 couches de vernis. C’est le vêtement du violon, sa protection », illustre notre hôte passionné.

« Ensuite, le vernis devra être poncé pour lui donner son brillant. Et finalement, il y aura l’ajustement du chevalet et de la mentonnière. »

Toutes ces opérations auront exigé deux mois de travail du luthier. « Un mois pour sa construction et un autre mois pour son vernissage », murmure Philippe Devanneaux

Notre hôte nous mentionne, sans faire de commentaire, que dans les grandes usines de violons on fabrique un instrument toutes les 15 minutes!

« Avec un tel travail, le prix d’un violon doit être exorbitant », mentionne un des membres de notre groupe!

« Le coût d’un bon instrument varie entre 5 000 et 10 000 € », stipule monsieur Devanneaux. « Mais pour 2 000 €, les gens peuvent acheter un violon réalisé par un apprenti. »

Puis, il enchaîne en disant : « Le violon ne peut être utilisé sans archet! »

« À Crémone, on trouve cinq ou six archetiers. Les meilleurs, d’affirmer notre luthier, sont Français. Les archets sont faits avec du crin de cheval. Le bois servant à leur fabrication provient du Brésil. Pour la décoration, on ajoute de la nacre et de l’argent. »

« Le prix moyen d’un archet, tient-il à préciser, est de 1 500 €. »

« Et évidemment, soutient-il, pour performer le violon devra se trouver un bon musicien. »

Monsieur Devanneaux limite sa production à environ six violons par années. Il fait aussi des réparations et donne des conférences à des groupes de touristes, comme nous.

Il n’investit que très peu dans la publicité, sauf pour une page Internet! Il croit aux vertus du «bouche à oreilles». Il participe à des expositions, grande source de clients pour lui.

Toutefois, il nous mentionne que le guide du Routard le cite comme luthier à Crémone, ce qui a aidé à le faire connaître sur la scène internationale.

Une très intéressante rencontre.

Nous sortons, il est 17 h 35!

Notre accompagnateur de Voyages Lambert, Jean-Marc Lechat, remercie notre guide local à Crémone, Mario et nous amorçons le retour vers le car. Le véhicule se lance à l’assaut du bitume à 18 heures.

« Nous devons franchir 70 km pour arriver à notre hôtel à Mantoue », nous signale Jean-Marc.

Sur notre route, nous croisons plusieurs sites de culture de jeunes arbres!

Notre accompagnateur profite du trajet pour nous fournir quelques informations quant à la ville de Mantoue que nous visiterons demain.

« Mantoue est une ville de 49 000 habitants. On y vit d’agriculture… et aussi d’usines de pétrochimie. C’est la capitale européenne des bas-culottes », nous révèle-t-il!

« Mantoue, c’est la ville des Gonzague, une famille qui a régné sur la cité durant 400 ans, du XIIIe au XVIIe siècle. Demain, nous visiterons leur palais qui compte 500 pièces. C’était à la fois le palais du gouvernement et la résidence des rois. L’ensemble couvre une superficie de 34 000 mètres carrés.

Toutefois, nous ne pourrons pas voir pièce la plus populaire de l’édifice, “la chambre des époux”, puisque les responsables de l’établissement l’ont fermée par mesure de sécurité suite à un récent tremblement de terre. »

Jean-Marc ajoute que le vin de la région est le Lambrusco, un vin rouge pétillant… que nous connaissons et que nous apprécions grandement.

Nous arrivons à Mantoue à 19 h 15.

Notre hôtel, le « Casa Poli » est plus petit que nos derniers sites d’hébergement, mais il est très confortable et surtout situé tout près du centre historique de Mantoue.

Jean-Marc distribue les clés de nos chambres et nous montons nous rafraîchir.

Casa Poli, Mantoue, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : Notre chambre au Casa Poli de Mantoue.

Nous rejoignons le groupe à 20 heures pour le souper qui est servi à l’hôtel.

Il s’agit d’un repas de type buffet : mini pretzel, salade verte avec tomates cerises et carottes juliennes, ravioli sauce citrouille (tortelli di zucca), saucissons, fromage, vin rouge « Rubino » et tarte aux amandes (torta sbriosolona).

À suivre
Mantoue et les Gonzague!

Palais Ducal, Mantoue, Lombardie, Italie.

Photo ci-dessus : La façade du palais Ducal des Gonzague à Mantoue, une photo qui est loin de rendre l'immensité de l'endroit, puisque celui-ci renferme 3 places, 15 cours, un parc en plus de quelque 550 pièces! Une ville dans la ville.

Bibliographie
Atlas en fiches (Italie, régions du Sud, Mezzogiorno et les Apennins), Éditions Atlas, 2008;

Encyclopédie libre Wikipédia, Italie, régions d’Italie, villes d’Italie et de nombreuses autres pages;

Guide Voir, Italie, Éditions Libre Expression, 2007, 720 pages;

Lonely planet, Italie, Lonely Planet Publication, 2010, 836 pages;

Patrimoine mondial de l’UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages ;

Les Pouilles, civilisation, art et histoire,, Edizioni Kina Italia, 96 pages.

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