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Juin/12
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Toulouse : Le parc Raymond VI, l’église Saint-Pierre des Chartreux et le superbe Musée Georges Labit!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 68e d’une série de reportages relatifs à un superbe périple qui nous a menés, au printemps 2012, à Barcelone en Espagne… puis dans le sud de la France, tout d’abord à Avignon, puis à Arles, à Nîmes, au pont du Gard, à Toulouse, à Carcassonne et à Albi!

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Toulouse, France, samedi 26 mai 2012 – Après une expédition sous le soleil, hier, à Albi, nous voilà de retour à Toulouse… sous les nuages et la pluie.

Malgré le temps sombre, nous complétons tout de même une promenade amorcée deux jours plus tôt, une balade où de magnifiques fleurs égayant le parc Raymond VI nous enchanteront.

Puis, après avoir traversé la Garonne une autre fois, nous visiterons l’église Saint-Pierre des Chartreux, au cœur de la cité universitaire Toulouse 1 Capitole!

En après-midi, alors que la pluie s’est remise à tomber, nous découvrirons le superbe Musée Georges Labit… qui accueille une des plus belles collections françaises d’art oriental!

Photo ci-dessus : Un des superbes aménagements paysagers du Jardin Raymond VI!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Réveil tardif ce matin, presque à 8 h 30! Il faut croire que notre longue visite d’hier à Albi nous a épuisés.

Un premier regard à l’extérieur nous laisse voir un ciel passablement nuageux… toutefois avec quelques rayons de soleil ici et là!

Nous quittons notre appartement du « Adagio Acces Toulouse » à 10 h 30 et marchons en direction du Pont-Neuf, avec comme but de terminer la balade sur les berges de la Garonne que nous avions commencée il y a deux jours, une balade qui, rappelons-le, est suggérée dans notre guide « Lonely Planet – Toulouse » !

Avant d’atteindre le pont, nous tournons à gauche sur la rue Viguerie. Puis, après avoir marché sur environ 200 mètres, nous franchissons le portail des « Quais-de-l’Exil-Républicain espagnol » et nous nous engageons sur la passerelle Viguerie, une passerelle accrochée à la façade de « La Grave » et suspendue au-dessus de l'eau. Cette passerelle, qui a été inaugurée en 2008, relie sur 140 mètres le jardin Raymond VI au port Viguerie.

Garonne, Toulouse, France

Photos ci-dessus : Voici un petit aperçu d’où nous nous trouvons ce matin… Pour l’heure, nous sommes au point 4.

De cette passerelle, nous avons une superbe vue sur la Garonne!

Tout juste après les petites chutes, nous voyons, dépassant les flots, une pile de l’ancien pont couvert de la Daurade, un pont qui a été détruit par les crues.

Garonne, Toulouse, France

Garonne, Toulouse, France

Garonne, Toulouse, France

Photos ci-dessus : Tout près du parc Raymond VI, situé en bordure de la Garonne, on peut voir dans le fleuve une pile provenant de l'ancien pont couvert de la Daurade. C'est tout ce qui reste du pont.

Les Jardins Raymond VI
Au bout de la passerelle, nous remontons des escaliers et nous nous retrouvons sur une esplanade… le belvédère Raymond VI, qui nous permet d’accéder au « Jardin Raymond VI ».

Ce jardin a été créé en 1998, suite à la destruction des anciens abattoirs et à leur transformation en Musée d'art moderne et contemporain. Le jardin doit son nom à Raymond VI, comte de Toulouse, qui a franchi la Garonne au niveau de l'emplacement même du jardin… il y a bien longtemps, en 1217, à son retour d'exil.

Nous nous promenons dans ce jardin et passons justement devant le « Musée des abattoirs »… actuellement fermé pour rénovations.

Ce jardin est un des plus récents de la ville. Il y a quelque 120 espèces de plantes.

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Photos ci-dessus : De magnifiques fleurs qui ont ensoleillé notre début de journée au Jardin Raymond VI… et un petit oiseau!

Plusieurs habitants du quartier Saint-Cyprien profitent de ce beau parc. Outre les fleurs, il y a quelques œuvres d’art et un manège très original. Il s’agit d’un carrousel à l’ancienne, dont la construction remonte à 1995. Ce carrousel artistique a été conçu avec des pièces et des matériaux nobles récupérés tels le cuir, le bois, le fer, etc. Il est installé dans le jardin Raymond VI depuis 2005.

Le beau manège est autant une œuvre d’art qu’un véritable manège. Ses personnages, la tortue, le singe, la fourmi, la libellule, la grenouille et le rhinocéros remplacent ici les traditionnels chevaux de bois. Il présente un aspect étonnant et saisissant, qui fait immanquablement penser à des images fantasmagoriques!

En ce samedi, il y a plusieurs enfants qui s’y amusent avec leurs parents.

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Photos ci-dessus : Les jeunes sont ravis du manège exceptionnel que l'on retrouve au parc Raymond VI. Il s'agit d'un vieux manège en bois offrant des véhicules pour le moins surprenants!

Cependant, le jardin comme tel est peu entretenu.

Lors de notre visite, il y avait plusieurs familles qui profitaient de l’environnement calme de ce lieu aucunement touristique… qui présente pourtant deux belles œuvres d’art.

La première que nous voyons est un arc assez haut. Il s’agit d’une œuvre du sculpteur Daniel Coulet. Elle est composée d’une arche en bronze imposante installée à la charnière du Musée des abattoirs et du jardin Raymond VI.

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Photo ci-dessus : « L’Arche », de Daniel Coulet, fait six mètres de haut et est légèrement basculant. D'architecture très simple, cette pièce de patine vert- gris exprime, selon son auteur, le mouvement.

La deuxième est une sculpture haute de sept mètres et large de presque quatre! Elle est intitulée : « Agoraphobia ».

Il s’agit d’un anneau s’enroulant sur lui-même, un peu à la manière du ruban de Moebius (1).

(i) : Le ruban de Moebius (ou Moebius ou Möbius) a été, entre autres, popularisé par l'artiste Escher (avec des fourmis qui parcouraient le ruban) et est donc passé du petit phénomène mathématique à une icône pour artistes. Vous l'avez tous déjà vu, car le logo qui signifie « recyclable » sur les paquets s'en est fortement inspiré.

Jardin Raymond VI, Toulouse, France

Photo ci-dessus : « Agoraphobia », une sculpture acquise par les « Abattoirs » en 2005 qui a trôné plusieurs années sur le parvis du musée, avant d’être déplacée, en 2009, dans le jardin Raymond VI. Elle est de l’artiste autrichien Franz West… décédé en 2012.

L’église Saint-Pierre des Chartreux
Nous poursuivons notre promenade en traversant la Garonne par le pont des Catalans. Nous sommes tout près de l’Espace Bazacle que nous avons visité plus tôt cette semaine. Nous cherchons l’église Saint-Pierre des Chartreux.

Église Saint-Pierre des Chartreux, Toulouse, France

Église Saint-Pierre des Chartreux, Toulouse, France

Photos ci-dessus : Le portail de l’église Saint-Pierre des Chartreux est situé sur la rue Valade au cœur du campus de l'Université Toulouse 1 Capitole.

Nous nous retrouvons sur le campus de l'Université Toulouse 1 Capitole et c’est là que nous trouvons l’église qui a été édifiée entre 1606 et 1612 par les frères chartreux. Elle est devenue une église paroissiale à la Révolution, prenant ainsi la succession de Saint-Pierre des cuisines! Toutefois, depuis septembre 2007, la paroisse Saint-Pierre des Chartreux est la paroisse étudiante de Toulouse.

Église Saint-Pierre des Chartreux, Toulouse, France

Église Saint-Pierre des Chartreux, Toulouse, France

Photos ci-dessus : L’église Saint-Pierre des Chartreux est une toute petite et très vieille église non restaurée. Nous pouvons toutefois y admirer un très beau maître-autel, décoré de deux archanges, de belles stalles et un orgue remarquable.

Lors de notre visite, il y avait des étudiants qui pratiquaient avec leurs instruments de musique.

Nous sortons de l’église.

Le ciel s’est beaucoup obscurci depuis que nous sommes entrés dans l’église. La pluie approche à vitesse grand V.

Il est 13 heures et nous décidons de revenir à l’appartement pour dîner, de deux pizzas achetées au restaurant « Speed Rabbit » situé tout près de notre appartement.

Le Musée Georges Labit
Étant donné que la pluie tombe toujours sur Toulouse, nous décidons de consacrer notre après-midi à la visite d’un musée. Nous repartons de notre appartement à 14 h 15 en direction du Musée Georges Labit.

Pour nous y rendre, nous prenons le métro à la station Patte d’Oie et filons jusqu’à la station Verdier. De là, nous marchons sur l’allée Verdier jusqu’au Grand Rond, que nous avons également visité plus tôt cette semaine.

Puis, nous empruntons l’allée Montplaisir jusqu’au boulevard du même nom. Là, nous arrivons devant le Canal du Midi, à un jet de pierre du musée qui et situé sur la rue du Japon.

Canal du Midi, Toulouse, France

Canal du Midi, Toulouse, France

Photos ci-dessus : Nous débouchons sur les berges du canal du midi, où Céline profite d’une accalmie de pluie pour prendre une pause!

Nous entrons dans une cour très verdoyante. Il y a des palmiers, des bambous et d’autres types d’arbres asiatiques, dont les noms sont affichés.

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photo ci-dessus : Les jardins du Musée Georges Labit se cachent derrière cette muraille!

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photo ci-dessus : L’arrière de l’édifice abritant le Musée Georges Labit!

Cette superbe cour nous mène à l’entrée arrière du Musée. Nous nous rendons à l’avant et entrons. Il nous en coûte 3€ chacun. Il y a possibilité de visite guidée, mais pour le moment la préposée à l’accueil n’est pas certaine qu’il y aura un guide cet après-midi!

Nous pénétrons dans une des salles d’exposition, celle du Cambodge, puis dans celle du Japon où nous voyons d’immenses vases décorés de brocart, des étagères d’objets décoratifs et une statue de Bouddha en bois sculpté, dorée et laquée, cette dernière datant de 1615.

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photo ci-dessus : Une statue de Bouddha datant de 1615!

Nous poursuivons notre visite en entrant dans la salle de Chine du Sud où nous pouvons admirer plusieurs vases et statuettes qui datent des années 200 à 220 de notre ère.

Avouons toutefois que sans explications, la visite est peu intéressante. Au moment où nous pensions quitter, la chance nous sourit, on nous avise qu’une guide vient tout juste d’arriver!

Nous payons 2,5€ additionnels pour la visite guidée et rejoignons un groupe, qui avec nous est composé de seulement six personnes. La visite commence à 15 h 30.

Notre guide nous parle tout d’abord de monsieur Labit, lui qui était un grand collectionneur au XVIIe siècle. D’ailleurs, il était ami avec un autre collectionneur, Paul Dupuy… dont nous avons visité le musée il y a quelques jours.

«Georges Labit est disparu très tôt, nous apprend-elle, brusquement à 37 ans. Il était un notable apprécié de ses concitoyens et il devait se marier quelques jours après sa mort.

Sa fin ne sera jamais élucidée. Après son enterrement, son père s'opposera à toute enquête...

Fait encore plus étrange, dans les jours qui suivent les faits, aucune autorité officielle n'insistera pour tirer au clair les circonstances du décès. »

Nous constatons que Georges Labit s’était beaucoup intéressé aux civilisations lointaines. Il était un genre d’ethnologue avant son temps.

Les artefacts qui sont exposés sont, pour la plupart, des objets qu’il a acquis durant ses voyages. D’autres, provenant de dons, se sont ajoutés avec le temps.

« Le musée prend place dans la maison qu’il s’est fait construire par l'architecte Jules Calbairac …, mais qu’il n’a jamais habitée », souligne notre guide.

« Il était un être exubérant, et ce, dans toutes les sphères de sa vie et l’extérieur de la maison, qui rappelle l’architecture de l’Islam, nous confirme ce trait de caractère. »

Nous entrons dans la salle égyptienne où il y a des pièces de grande qualité, dans un très bon état de conservation, et ce, malgré qu’elles datent de plusieurs millénaires.

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photos ci-dessus : Le sarcophage de la dame In-Imen-nay.s-nebou qui provient de la collection d’Alexandre Du Mège (1780-1862).

Nous voyons une vitrine d’ex-voto. Ce sont des figurines en bronze déposées dans les temples par des gens qui formulaient un vœu concernant des préoccupations quotidiennes. Notre guide nous en décrit quelques-unes.

Il y a une momie datant de l’époque « saïte ». « C’est la pièce phare de cette collection égyptienne », précise notre guide. « Il s’agit de la momie d’une femme d’une trentaine d’années datant de 2800 avant Jésus-Christ. Toutefois, ajoute-t-elle, certaines études scientifiques la voient plus jeune de quelque 1,000 ans! Cette pièce serait à Toulouse depuis le XVIIIe siècle. »

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photo ci-dessus : Une momie datant de 2,800 ans avant Jésus-Christ!

« Les Égyptiens pratiquaient la « doctrine du salut », elle qui prônait la conservation du corps pour lui éviter la putréfaction, et ce, au moyen de la momification. Les organes étaient prélevés au moyen d’un trou fait sur le côté gauche. Le cerveau était enlevé via les narines. Puis, le corps était laissé durant 70 jours dans une substance salée, le natron, d’où la coloration noirâtre de la peau. On utilisait une centaine de mètres de tissu bandelette. Puis le corps était placé dans un sarcophage. »

Merci à notre guide pour les détails techniques!

« L’intérieur du sarcophage était dessiné de plusieurs couleurs, tandis que les côtés et le couvercle étaient fabriqués en double épaisseur… afin de multiplier les moyens de protection. »

Nous voyons dans une vitrine, un papyrus déroulé. Il s’agit du livre des morts. «En fait, souligne notre guide, il s'agit de rouleaux de papyrus recouverts de formules funéraires, placés à proximité de la momie ou contre celle-ci, dans les bandelettes pour son voyage vers l’au-delà. »

Nous montons à l’étage pour nous rendre dans la salle du Japon (la salle par laquelle nous avions commencé notre visite avant l’arrivée de notre guide). Il y a des tiroirs remplis d’estampes datant du IXe siècle, soit de l’époque où le Japon a ouvert ses portes au commerce avec l’Occident.

Les marchés européens découvrent avec beaucoup d’engouement tout ce qui provient du Japon. Des œuvres d’art de toute nature, comme l’art de la guerre, de la décoration, etc.

Nous voyons autant des vitrines de sabres, que des étagères de petites pièces en ivoire qui servaient de décoration à l’habillement des Japonaises, que des bols chauffés à 1,300 degrés datant du XVIe siècle et servant à la cérémonie du thé!

Dans la salle de Chine, il y a des objets allant du IIIe au XXe siècle. Des vases de différentes couleurs, de différentes grandeurs, un art parfaitement maîtrisé.

Puis, nous arrivons dans la salle de l’Inde où il y a des figurines iconographiques de Bouddha datant du Ve siècle av. J.-C.

« Le bouddhisme est né au nord de l’Inde, nous indique notre guide, à la frontière entre le Pakistan et l’Afghanistan. »

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photo ci-dessus : Nous voyons une marque sur le front d’une figurine. « Elle sert à témoigner de l’omniscience de Bouddha », lance notre guide. Ce Bouddha est assis en tailleur en train de méditer, c’est la forme la plus représentée de Bouddha. Cette statue birmane est en albâtre, laqué, orné de pierreries et doré. Notre guide attire notre attention sur les oreilles de Bouddha. «Des oreilles allongées signifiaient la sagesse chez les Birmans ».

La salle du Cambodge présente des objets du XIVe siècle, dont un Khmer-Bouddha représenté encore en méditation, mais assis sur le corps d’un serpent enroulé, dont la tête polycéphale est derrière Bouddha.

Dans la salle de la Thaïlande, un Bouddha du XIIIe siècle est représenté debout en action, portant une robe drapée démontrant ses formes.

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photo ci-dessus : Bouddha assis en méditation, une statue de 38 cm de haut provenant de la vallée du Swat, à Gandhara au Pakistan. Elle date de la fin du IIIe siècle ou du début du IVe.

Nous terminons la visite commentée à 16 h 40 et sortons par le devant du musée, ce qui nous permet d’admirer l’édifice.

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photos ci-dessus : Lors de nos recherches visant à rédiger ce texte, nous apprendrons que « C'est au retour de son voyage au Japon que Georges Labit a eu l'idée de la création d'un lieu qui rassemblerait les objets ramenés de ses voyages. Imaginé par Georges, le projet de musée est réalisé par un jeune et brillant architecte, Jules Calbairac. » Comme nous l’avons précisé, le musée est situé rue du Japon. Le bâtiment est tout simplement la synthèse des goûts de Georges Labit. Des arcatures d'inspiration mauresque, des décors polychromes, des arabesques… tout ce qui donne au lieu un indéniable style oriental.

Le défilé du Grand cirque
Nous sortons et marchons jusqu’au métro Verdier… En cours de route, nous croisons un des artistes se préparant pour un spectacle qui aura lieu en soirée dans le cadre du défilé du Grand cirque. Il s’agit d’un rendez-vous annuel qui met à l’honneur le foisonnement artistique au travers d’une grande parade dans le centre-ville… avec des temps forts tout au long du parcours.

Musée Georges Labit, Toulouse, France

Photos ci-dessus : Un des groupes qui s’est produit lors du défilé du grand cirque de 2012.

Nous arrivons finalement à l’appartement à 17 h 45.

À suivre…
Promenade toulousaine!

La Dépêche, Toulouse, France

Photo ci-dessus : La façade de l'ancien édifice du quotidien toulousain « La Dépêche » est tout simplement fabuleuse. Chacun des thèmes de la ligne éditoriale du journal y est inscrit dans la pierre!

Bibliographie
Albi, Danièle Devynk, Éditions Sud Ouest, 2011, 77 pages;

Atlas en fiches, Ville de Toulouse, Région Midi-Pyrénées, la Garonne, les canaux de France et le tourisme en France, Éditions Atlas, 2008;

Encyclopédie libre WikipédiaToulouse, Carcassonne, Albi et plusieurs autres pages;

Guide Lonely Planet, Toulouse en quelques jours, Hervé François, Lonely Planet, 2010, 160 pages;

Toulouse, Éditions MSN, 2003, 32 pages;

Carcassonne et les châteaux cathares, Éditions Bonechi, 2010, 64 pages;

Le Patrimoine mondial de l'UNESCO, Éditions UNESCO, 2009, 832 pages.

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