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Deux églises : Ste-Catherine-d’Alexandrie, superbe à l’intérieur et St-Marc, éblouissante à l’extérieur

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 30e d'une série de reportages relatifs à une longue balade en Croatie, à laquelle se sont greffées de trop courtes incursions en Bosnie-Herzégovine et au Monténégro, le tout réalisé à l’automne 2011.

L'église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Zagreb, Croatie, mercredi 19 octobre 2011 – Déjà notre dernière journée de visites! C’est fou comme le temps passe vite. Le programme de la journée est immense… En matinée, nous grimpons sur la vieille ville… en funiculaire. De là, nous serons éblouis par le superbe intérieur de l’église Sainte-Catherine-d’Alexandrie, puis un peu plus tard par l’architecture et la décoration extérieure de l’église Saint-Marc, celle de l’image de marque que l’on retrouve partout lorsqu’il est question de la ville de Zagreb.

Photo ci-dessus : L'église Saint-Marc et son magnifique toit de tuiles vernissées. Les blasons du Royaume de Croatie et de la ville de Zagreb y sont représentés.

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

Après avoir pris un bon petit déjeuner au restaurant de notre hôtel, le Dubrovnik, nous rejoignons le groupe dans le hall d’entrée à 8 h 45.

Tout comme hier, Jacinta, notre guide locale à Zagreb, nous mènera en promenade à travers la ville jusqu’aux lieux de nos visites. Nous quittons l’hôtel à 9 heures en direction de la ville haute!

Il fait beaucoup moins froid qu’hier et nous en sommes très heureux.

Après un bref arrêt à l’église orthodoxe Notre-Dame-de-l’Assomption, nous bifurquons pour emprunter la rue Ilica, qui, comme nous l’avons déjà mentionné précédemment, est la rue commerciale principale de Zagreb.

Rue Ilica, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : La rue Ilica est dominée en son centre par les rails du tramway de Zagreb.

Puis, nous arrivons devant le funiculaire que nous allons emprunter pour atteindre la ville haute! « Le trajet de la cabine sur ses rails jusqu’au sommet de la colline est d’à peine 66 mètres, ce qui en fait un des plus courts transports en funiculaire au monde! », peut-on lire sur une des pages de l’encyclopédie libre Wikipédia.

Funiculaire, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Le funiculaire reliant la ville basse à la ville haute de Zagreb a été construit entre 1890 et 1893 et mis en service cette même année. C’est le plus vieux transport public de la capitale croate.

Nous entrons tous dans le même wagon (25 personnes). L’ascension est de courte durée. À notre arrivée en haut, nous avons une superbe vue sur la ville basse. « Nous sommes à 1,035 mètres d’altitude », précise Jacinta.

Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Vue sur Zagreb du haut du funiculaire.

Notre guide locale profite de notre arrivée au sommet de la colline pour nous entretenir des origines de la ville de Zagreb.

« L’histoire de Zagreb trouve sa source sur deux collines. Le “Kaptol”, là où se trouve la cathédrale que nous visiterons cet après-midi, et “Gradec”, la ville haute, où nous nous trouvons présentement.

Le “Kaptol” a été développé en premier et, même si au XIIIe siècle ce n’était qu’un tout petit village, les Tatars l’ont attaqué. Ils ont détruit la cathédrale et chassé le roi Bela IV… qui s’est réfugié sur l’autre colline, celle nommée “Gradec”!

En 1242, le roi a donné à la colline de Gradec, celle qui l’avait accueilli, le statut de ville royale, ce qui obligeait alors les habitants à fortifier la ville. Ce qu’ils firent!

Aujourd’hui, il ne reste qu’une partie des remparts de cette époque, qui pourtant atteignaient sept mètres de hauteur et faisaient deux mètres de largeur.

Ces fortifications comportaient cinq portes d’entrée dans la ville et plusieurs tours. Il ne reste qu’une seule porte et quelques tours. »

Puis, Jacinta attire notre attention sur un palais situé à notre droite, qui est construit à même les fortifications, et sur une tour à notre gauche, la tour Lotrščak, où, dans une des deux fenêtres tout en haut de la tour, nous pouvons apercevoir un canon. « D’ailleurs, précise notre guide, tous les jours jour à midi pile, il y a un tir de canon ».

Tour Lotrščak, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : La Tour Lotrščak.

Tour Lotrščak, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Et la pointe du canon qui dépasse de la fenêtre.

Devant nous, il y a la rue qui nous conduit à l’église Sainte-Catherine-d’Alexandrie, sur le côté, longeant le sommet de la ville haute, il y a la superbe promenade Strossmayer… qui n’est malheureusement pas au programme.

La promenade Strossmayer, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : La promenade Strossmayer… où nous avons tout juste eu le temps de jeter un coup d’œil!

Sur la place où nous nous trouvons, nous sommes pratiquement les seuls touristes. « L’été, c’est un endroit où il y a beaucoup d’ambiance », précise notre guide.

Si la ville haute a vu le jour au XIIIe siècle, la ville basse elle, s’est développée au mitan du XIXe siècle.

Directement devant nous, nous pouvons apercevoir l’église Saint-Marc, facilement reconnaissable à son toit de tuiles vernissées. C’est la plus belle église baroque de la ville. Mais pour le moment, nous allons visiter l’église Sainte-Catherine d’Alexandrie toute proche.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Un aperçu de l’église Saint-Marc que nous visiterons un peu plus tard ce matin.

Nous passons devant le « Musée des Cœurs brisés », « un endroit très particulier », soutient notre guide! « À Zagreb, quand un couple se sépare, les ex-époux viennent porter un objet ou un écrit au musée! », nous informe Jacinta.

Le 13 février dernier, le site Internet de l’hebdomadaire Le nouvel Observateur a d’ailleurs publié un texte sur ce musée. Voici les deux premiers paragraphes de ce savoureux texte :

« Que faire d'un nain de jardin jeté avec colère au moment d'une rupture houleuse? D'un ourson offert pour la Saint-Valentin? Ou d'une hache utilisée pour réduire en miettes les meubles d'un briseur de ménage? Tous ces objets, témoignages d'amours désormais éteints, sont réunis au Musée des coeurs brisés, à Zagreb.

Et à chaque Saint-Valentin, sa fréquentation double. "Tous les objets présentés ici représentent toutes les étapes d'une rupture", explique Drazen Grubisic, un artiste qui a co-fondé le musée en 2010 dans la capitale croate. "On pourrait dire que c'est un musée de l'amour, mais à l'envers". »

L’église Sainte-Catherine-d’Alexandrie
Nous sommes sur la place Katarina, formée d’un rectangle parfait. Tout au fond, il y a l’église Sainte-Catherine-d’Alexandrie. Sur notre droite, il y a le « Musée d’art contemporain », lui qui affiche le blason de la ville.

Au XVIIe siècle, les jésuites sont arrivés ici. En 1606, ils ont fondé le premier lycée de Zagreb dans un vieux bâtiment que leur avait cédé l’archiduc Ferdinand II d’Autriche. Les Jésuites ont dirigé le lycée jusqu’en 1773, soit jusqu’au jour où le pape a dissout leur ordre.

Ce sont les Jésuites qui ont fait construire l’église Sainte-Catherine-d’Alexandrie. La construction s’est échelonnée de 1620 à 1632.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : La façade de l’église Sainte-Catherine-d’Alexandrie a été retouchée après le tremblement de terre de 1880. Elle présente des statues des quatre évangélistes dans quatre niches distinctes et, tout en haut, trône la statue de Sainte-Catherine?

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Notre livre sur Zagreb, acheté dans cette ville, affirme que la statue de Sainte Catherine-d’Alexandrie orne la façade de l’église Sainte-Catherine. Pour notre part, nous en doutons, car la statue représente une femme couronnée, et il nous semble que dans la religion catholique, seule la Vierge Marie peut être représentée couronnée.

Notre guide nous raconte en bref la vie de la sainte. Étant donné que l’histoire de cette sainte m’intéresse particulièrement, car j’ai été baptisé dans la paroisse Sainte-Catherine d’Alexandrie à Montréal, mes recherches m’ont amené à lire une partie de son hagiographie sur Internet. Voici quelques passages intéressants :

« Catherine serait née vers 290 dans une famille noble d'Alexandrie, en Égypte. Dotée d'une grande intelligence, elle acquiert rapidement des connaissances qui la placent au niveau des plus grands poètes et philosophes du moment. Une nuit, elle vit en songe le Christ et décida de lui consacrer sa vie, se considérant comme sa fiancée.

Lors d’une visite de l'empereur de Rome de cette époque, Maximien, à Alexandrie, Catherine profita de l'occasion pour tenter de le convertir au christianisme. Évidemment, cela souleva la colère de l’empereur qui était réputé pour éliminer les chrétiens.

Pour la mettre à l'épreuve, il lui impose un débat philosophique avec cinquante savants, mais au grand dépit de l'empereur, elle réussit à les convertir. Maximien les fait tous exécuter et pourtant propose le mariage à Catherine qui refuse avec mépris.

L'empereur ordonne alors de la faire torturer en usant d'une machine constituée de roues garnies de pointes. Par un miracle divin, les roues se brisent sur son corps, et les pointes aveuglent les bourreaux. Obstiné, Maximien ordonne alors qu'elle soit décapitée. »

Nous entrons dans l’église.

C’est une belle église où les couples qui veulent s’y marier doivent réserver longtemps d’avance.

Ce qui nous surprend dès notre entrée est qu’il y a un « calorifère » en fonction dans chacune des rangées de bancs.

L’église a été restaurée il y a vingt ans. Les fresques représentant Sainte-Catherine datent de 1762.

Il y a des illusions d’espace en trompe-l’œil, ce qui est fréquent dans des endroits où le décor est baroque.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

Photos ci-dessus : L’église Sainte-Catherine d’Alexandrie est une église à une seule nef. Voici le maître-autel, derrière lequel une fresque représente Sainte-Catherine parmi les philosophes.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : La magnifique chaire baroque de l’église Sainte-Catherine d’Alexandrie.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Le lustre au centre du chœur.

Nous voyons la statue de Notre-Dame de Loretto et un magnifique reliquaire. Il y a d’autres petits autels sur les côtés, dont un dédié à Saint-Ignace-de-Loyola qui est tout en bois.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Une statue, probablement celle de Saint-Ignace-de-Loyola, le fondateur de l’ordre des Jésuites.

Au jubé, il y a un orgue.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

 Église Sainte-Catherine d’Alexandrie, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : L’église compte plusieurs beaux vitraux.

Nous sortons et poursuivons notre balade.

Nous passons devant l’ancien couvent des Jésuites, aujourd’hui converti en galerie d’art, la galerie « Klovićevi dvori », où se tient présentement une exposition d’expressionnistes croates.

Fontaine Le pêcheur et le serpent, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Devant la galerie « Klovićevi dvori », une étrange fontaine prend place. Il s’agit de l’œuvre de l’artiste Simeon Roksandić réalisée en 1908 sous le titre de « Le pêcheur et le serpent ».

Il y a plusieurs réverbères au gaz. « Un homme les allume et les éteint chaque jour », nous indique Jacinta!

 Réverbère au gaz, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Un des réverbères au gaz.

Nous croisons le « Musée croate d’art naïf », dont le bâtiment date du XXe siècle. On y expose des œuvres de peintres autodidactes ayant fixé sur la toile des scènes de vie quotidienne ainsi que des paysages.

Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Un bâtiment avec une fenêtre intéressante.

Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Une plaque rendant hommage à Nikola Tesla, celui dont nous avons pu voir une sculpture hier tout près de notre hôtel.

Zagreb, Croatie.

Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : L’Hôtel de ville de Zagreb… où flotte au vent le drapeau de Zagreb.

La place Saint-Marc de Zagreb... et non de Venise
Puis, nous arrivons devant l’église Saint-Marc, sur la place principale de la ville haute. Devant l’église, il y a le « Musée d’histoire » et à gauche le palais du vice-roi, une bâtisse datant du XVIIIe siècle, où siège justement aujourd’hui le parlement croate en vue de statuer sur la date de la prochaine élection législative au pays. Le bâtiment a été endommagé lors de la dernière guerre.

« Dans deux mois, il y aura des élections », laisse entendre notre guide.

Le palais du vice-roi, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Le palais du vice-roi où flottent les drapeaux de la Croatie et de l’Union européenne.

Avant d’investir l’église Saint-Marc, notre guide nous fournit quelques informations historiques :

« Saint-Marc est la plus ancienne église de la ville haute. Elle a été rénovée il y a deux ans. Elle date du XIIIe siècle. Elle est de style roman et gothique, avec un magnifique portail. Et évidemment, elle affiche une remarquable toiture datant du XIXe siècle en tuiles vernissées représentant différents blasons du pays. »

Une église qui se prête à merveille à la photographie!

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Une vue d’ensemble de l’église Saint-Marc.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Le clocher a été terminé en 1725, tandis que le sommet a été recouvert de cuivre en 1841

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Le toit d’une petite chapelle.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Une vue du côté de l'église.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Un des portails d’entrée secondaire.

Avant d’entrer dans l’église, notre accompagnatrice de Voyages Lambert, Johanne Duhamel, nous suggère qu’il serait temps d’immortaliser notre groupe.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Voici notre groupe duquel il ne manque que deux personnes, Hélène, qui a cessé les visites depuis Split suite à une mauvaise chute et moi qui se retrouve derrière le viseur.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photos ci-dessus : Le magnifique portail d’entrée de l’église Saint-Marc. Dans le centre, il y a une représentation de Saint-Marc entouré des apôtres.

Nous entrons dans l’église, qui au premier coup d’œil est sombre et froide.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : L’intérieur de l’église Saint-Marc.

Sur les bancs, il y a des morceaux de tapis pour réchauffer les fidèles.

C’est une église de petite taille. Il y a trois magnifiques sculptures d’Ivan Meštrović : “La croix de Jésus”, “L’enfant et la Vierge” et une “Piéta”, influencée par celle de Michel-Ange.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : La Croix de Jésus, d’Ivan Meštrović.

 Église Saint-Marc, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : L’enfant et la Vierge, une œuvre d’Ivan Meštrović.

Les fresques sur les murs sont du XXe et représentent la vie de Jésus. Il y a de beaux vitraux.

L’église est souvent fermée. Elle est ouverte lors des fêtes importantes, notamment lors de la fête de Saint-Marc le 24 avril, et surtout lorsque le gouvernement siège dans l’édifice tout à côté… comme aujourd’hui!

Nous sortons.

À suivre
Poursuite de notre balade dans la ville haute de Zagreb!

Musée de la ville de Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Une visite au “Musée de la ville de Zagreb"… où notre guide du musée était particulièrement charmante.

Bibliographie
Encyclopédie libre Wikipédia, Croatie, Istrie, Opatija, Poreč, Rovinj, Dalmatie, Pag, Zadar, Trogir, Šibenik, Split, Hvar, Dubrovnik, Bosnie-Herzégovine, Počitelj, Mostar, Sarajevo, Monténégro, Kotor, Perast et une foule d’autres pages;

Atlas en fiches (La Croatie, l’Istrie, l’économie de la Croatie, la Bosnie-Herzégovine, Sarajevo, l’économie de la Bosnie-Herzégovine) , Éditions Atlas, 2008;

Bosnie-Herzégovine, Turistička Naklada D.O.O. Zagreb, 2008, 160 pages;

Croatie, merveille de l’Adriatique, Éditions Minerva, 2004, 128 pages;

Dalmatie, Histoire, culture, patrimoine artistique, Forum, Zadar, 2008, 156 pages;

Dubrovnik, Histoire, culture, patrimoine artistique, Forum, Zadar, 2011, 128 pages;

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L’agonie yougoslave (1986-2003), Renéo Lukic, Les presses de l’Université Laval, 2003, 613 pages;

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Lonely planet, Croatie, Lonely Planet Publication, 2011, 352 pages;

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Patrimoine mondial de l’UNESCO , Éditions UNESCO, 2009, 832 pages.

Venir au monde, Margaret Mazzantini, Robert Laffont, 2010, 460 pages.

Zagreb, Histoire, culture, patrimoine artistique, Forum, Zadar, 2009, 156 pages;

Commentaires (0) Trackbacks (0)
  1. Un super résumé de cette belle visite.
    De bonnes références sur Catherine d’Alexandrie:on apprend des choses.
    Et pour compléter le tout : une magnifique photo-souvenir du groupe .
    Un gros MERCI pour cet excellent travail.

  2. Magnifique reportage.
    Particulièrement intéressante.
    Très belles photographies.
    Merci de les avoir partagées.

  3. bonjours j’aimerais savoir comment vous envoyer un message en privée j’aurais un renseignement a vous demander svp merci

  4. colombe84@hotmail.com envoyer moi votre adresse é-mail j’aurais un renseignement a vous demander svp

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