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Le coup de cœur de notre périple : Zagreb!

Texte et photos de Céline et Jacques Lanciault

Voici le 26e d'une série de reportages relatifs à une longue balade en Croatie, à laquelle se sont greffées de trop courtes incursions en Bosnie-Herzégovine et au Monténégro, le tout réalisé à l’automne 2011.

Le théâtre populaire de Croatie, Zagreb, Croatie.

Dubrovnik, Zagreb, Croatie, lundi et mardi 17 et 18 octobre 2011 – Après les splendeurs de l’Adriatique, du nord au sud, nous voici à l’intérieur de la péninsule balkanique, plus précisément au cœur de la capitale croate, Zagreb. Avouons-le, ce n’est pas cette ville qui nous a attirés en Croatie! Et pourtant, plus nous la parcourons et plus elle devient le coup de cœur de tout notre périple dans les Balkans! C’est la cité par excellence de la culture! On y trouve 20 musées, 16 théâtres, 50 bibliothèques, une université et des parcs, tous plus beaux les uns des autres. Bienvenue à Zagreb!

Photo ci-dessus : Le théâtre populaire de Croatie a été inauguré le 14 octobre 1895 par l’empereur d’Autriche François-Joseph 1er. Nous aurons la chance de visiter l’intérieur de ce majestueux édifice!

Pour agrandir les photos, il suffit de cliquer sur celles-ci.

C’est aujourd’hui que nous ferons nos adieux à la « Perle de l’Adriatique ». En effet, cet après-midi nous nous envolerons pour Zagreb, dernière étape de notre périple en ex-Yougoslavie!

Malgré qu’il n’y ait rien au programme pour la matinée, nous avons réglé le réveil pour 7 heures.

Après un autre petit-déjeuner festif au restaurant de notre hôtel, le Grand Villa Argentina, nous retournons dans la vieille ville de Dubrovnik pour procéder à l’achat de quelques souvenirs et d’un petit carnet de notes pour Céline, qui n’a presque plus de place pour écrire dans le sien.

Le ciel est partiellement nuageux lorsque nous entreprenons notre balade à 9 h 30. Nous vagabonderons dans l’ancienne Raguse durant tout près de deux heures.

De retour à notre chambre, vers 11 h 30, nous bouclons nos valises et passons à la réception de l’hôtel pour remettre nos clés et pour régler notre note.

Puis, nous profitons du temps qu’il nous reste, avant le départ du car qui est prévu pour 14 h 45, pour prendre nos aises sur la terrasse extérieure de l’hôtel, elle qui est sise directement sur la falaise… avec une vue époustouflante sur la mer.

Avouons-le, nous nous gâtons un tout petit peu. Tout d’abord un café, puis un verre de vin. Nous sommes installés dans de très confortables fauteuils! En utilisant notre ordinateur portable, nous téléphonons à notre fils Marc-André, via « Skipe ». Au Québec, il est 7 h 15 du matin et notre fils se prépare à aller reconduire son fiston Félix à l’école. C’est un grand bonheur pour nous de les voir tous les deux et de leur parler!

Même si nous avons apprécié au plus haut point les doux moments passés sur la terrasse, nous notons qu’il est surprenant de profiter d’autant de temps libre dans une ville où il y a tant à voir.

Il est fort probable qu’initialement notre vol avait été prévu pour plus tôt dans la journée, car la visite d’un cimetière est au programme à notre arrivée à Zagreb. Mais compte tenu de l’heure à laquelle nous arriverons dans la capitale, il serait surprenant que la visite ait lieu… à la noirceur!

Nous rejoignons le groupe à 14 h 25, dans le magnifique hall d’entrée de l’hôtel.

Notre accompagnatrice de Voyages Lambert, Johanne Duhamel, en profite pour nous rembourser le montant que nous avons déboursé pour la visite des remparts, une visite qui était incluse à notre programme.

Nous partons en autocar à 14 h 45 et prenons la direction de l’aéroport de Čilipi. Nous y arrivons à 15 h 10. L’enregistrement, en groupe, se fait rapidement. Le vol 667 de la Croatian Air Line est à l’heure. Nous décollons, tel que prévu, à 16 h 40. On nous sert une collation en vol, un petit biscuit au poivre… accompagné d’un verre d’eau!

L’avion se pose sur le tarmac de l’aéroport de Zagreb à 17 h 35. Ici, il fait 12 degrés. Brrr.

Après avoir récupéré nos valises, nous rejoignons notre nouveau chauffeur. Il n’y a pas de guide locale, donc probablement que la visite du cimetière a été annulée.

Le car s’élance vers le centre-ville de Zagreb à 18 h 10 et nous arrivons à notre hôtel, l’hôtel Dubrovnik, à 18 h 40.

Il est situé au cœur du centre-ville à un endroit très animé où il y a des magasins et des petits cafés tout proche.

 Hôtel Dubrovnik, Zagreb, Croatie.

 Hôtel Dubrovnik, Zagreb, Croatie.

Photos ci-dessus : L’Hôtel Dubrovnik au cœur de l’animation de la ville de Zagreb.

Notre chambre est assez grande, trois chaises, un vestibule, un vestiaire et un coffret de sûreté… qui fonctionne.

 Hôtel Dubrovnik, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Notre chambre à l’Hôtel Dubrovnik de Zagreb.

Le souper de groupe a lieu à la salle à manger de l’hôtel à 20 heures. On nous sert un bon repas : potage tomate et bœuf, poulet et pâte. Céline jubile, du poulet… et un excellent gâteau-mousse pour dessert. Nous prenons une bouteille de vin blanc, mais nous y allons d’un mauvais choix!

En nous couchant au terme de cette longue journée d’attente, nous nous disons que les trois derniers jours n’ont pas vraiment été à la hauteur de ce à quoi Voyages Lambert nous avait habitués. Nous ne pouvons qu’espérer mieux pour le dernier arrêt de notre périple, Zagreb… Nous serons servis à souhait, et ce, grâce aux efforts déployés par une guide locale vraiment exceptionnelle!

Début de notre découverte de Zagreb!
En ce mardi 18 octobre, notre réveil a vibré à 7 heures ce matin. Nous avons pris un très bon petit déjeuner au restaurant de l’hôtel.

Nous rejoignons le groupe dans le hall d’entrée de l’hôtel à 8 h 45. C’est notre nouvelle guide locale, Jacinta, qui nous accueille. D’entrée de jeu, elle nous informe que notre emploi du temps est très chargé pour la matinée. Tout d’abord nous nous dirigerons vers « Le théâtre populaire de Croatie », où nous sommes attendus pour une visite guidée. Puis, nous nous rendrons aux archives nationales du pays, où là encore on nous attend! Le reste de l’avant-midi donnera lieu à une longue balade dans la ville basse de Zagreb.

Notre guide locale à Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Jacinta, notre guide locale à Zagreb.

Nous partons à pied à 8 h 55, avec 10 minutes de retard sur l’horaire prévu.

Ce n’est pas frais ce matin, c’est carrément froid! Toutefois, nous avons prévu le coup, nous avons apporté gants et foulard!

Face à notre hôtel, il y a une superbe rue piétonnière avec des boutiques et des terrasses extérieures équipées de système de chauffage au gaz! Jacinta mentionne que les petits cafés extérieurs sont très prisés des Zagrébois. « En fait Zagreb est une ville du nord, avec un tempérament d’habitants du sud », note-t-elle.

Ljudevit Gaj (1809-1872), Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : À la porte de notre hôtel, nous pouvons admirer le buste de Ljudevit Gaj (1809-1872). L’encyclopédie libre Wikipédia nous apprend que le monsieur était linguiste, politicien, journaliste et écrivain croate. Il fut l'instigateur principal du renouveau national croate qui désirait la création d'un état unique pour tous les Slaves du sud. Il sera, avec le Serbe Vuk Stefanović Karadži,ć l'un des linguistes qui imposeront le chtokavien (1) comme langue aux Croates et aux Serbes.

(1) Le chtokavien est la base sur laquelle sont fondées les langues standards serbe, croate, bosnienne et monténégrine.

Notre guide mentionne que trois types d’architecture prédominent dans la ville basse : le néoroman, le néogothique et le moderne.

Nous arrivons sur une grande place, c’est la place Petar Preradović, l’endroit où se trouve le marché aux fleurs. Il y a un immeuble de forme octogonale abritant des boutiques sous une coupole de verre, cette bâtisse porte bien son nom : l’Oktogon!

Le marché aux fleurs, Zagreb, Croatie.

Le marché aux fleurs, Zagreb, Croatie.

Photos ci-dessus : Le marché aux fleurs situé sur la place Petar Preradović.

 Statue de Petar Preradović, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : La statue du poète croate Petar Preradović (1818-1872) qui a donné son nom à cette place. La sculpture est l’œuvre d’Ivan Rendić.

Tout juste derrière la statue de Petar Preradović, il y a l’église orthodoxe de la Transfiguration.

Nous passons devant l’édifice de la médiathèque de l’institut français de Zagreb. Cet institut a pour objectif le rayonnement de la culture française en Croatie et le développement des échanges culturels entre les deux pays. « L’institut est très actif ces jours-ci, précise Jacinta, car Zagreb accueille présentement son festival du film! »

L’architecture des édifices de la ville est superbe.

Zagreb, Croatie.

Zagreb, Croatie.

Zagreb, Croatie.

Photos ci-dessus : De magnifiques sculptures de pierre décorent cette maison d’habitation.

À l’intersection d’une grande rue, nous voyons une statue érigée en l’honneur de Nicolas Tesla (1856-1943), un Serbe né en Croatie qui a exercé sa profession d’ingénieur aux États-Unis, où il a œuvré dans le domaine de l’électricité.

 Statue de Nicolas Tesla, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Nicolas Tesla est souvent considéré comme l’un des plus grands scientifiques dans l’histoire de la technologie, et ce, pour avoir déposé plus de sept cents brevets, dont plusieurs seront attribués par erreur à Thomas Edison.

Céline qui a revêtu quatre pelures avant de quitter l’hôtel ce matin en plus de porter des collants, deux foulards et des gants ose me dire qu’elle a froid.

Nous voyons une très belle maison art nouveau avec de beaux balcons, des fleurs dessinées sur la façade. Il s’agit d’une maison bâtie au début du XXe siècle par l‘architecte Vjekoslav Bast. Cette maison se trouve à l’angle des rues Masarykova et Gundulićeva. Elle est la propriété d’un fabricant de céramiques. D’ailleurs, la façade est entièrement recouverte de céramiques émaillées.

Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Une autre façade intéressante de Zagreb, il s’agit de la Maison Kalina

Le Théâtre populaire de Zagreb
Nous arrivons devant ce que notre guide nomme « L’opéra de Zagreb ». Il s’agit en fait du Théâtre populaire de Croatie. L’édifice date de 1895. Il est l’œuvre des architectes autrichiens Ferdinand Fellner et Hermann Hellmer. Il affiche un style résolument néo-baroque.

Le théâtre est situé sur la place du Maréchal Tito, elle qui marque le début du « fer à cheval vert », un espace que nous aurons l’occasion de traverser un peu plus tard dans la journée.

 Le théâtre populaire de Croatie, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Le bâtiment du théâtre populaire de Croatie est superbe. Il affiche la couleur jaune-ocre des Habsbourg.

 Le théâtre populaire de Croatie, Zagreb, Croatie.

 Le théâtre populaire de Croatie, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : De magnifiques sculptures ornent la corniche du toit du théâtre populaire de Croatie.

Sur la place sise devant le théâtre une des grandes œuvres du sculpteur croate Ivan Meštrović, « La fontaine de la vie » est mise à l’honneur. « Cette sculpture laisse voir une très grande influence de Rodin chez l’artiste croate », précise notre guide.

La fontaine de la vie, d’Ivan Meštrović, Zagreb, Croatie.

La fontaine de la vie, d’Ivan Meštrović, Zagreb, Croatie.

La fontaine de la vie, d’Ivan Meštrović, Zagreb, Croatie.

La fontaine de la vie, d’Ivan Meštrović, Zagreb, Croatie.

Photos ci-dessus : Œuvre phare du sculpteur croate Ivan Meštrović, « La fontaine de la vie » a été réalisée en 1905 à Vienne et installée devant le Théâtre populaire croate en 1912. Plusieurs documents nomment cette œuvre « Le puits de la vie ».

Tout en face du Théâtre populaire de Zagreb, il y a la faculté de droit de l’Université de la ville. La bâtisse est de style néoroman. L’Université compte 29 facultés disséminées de par la ville.

Tout près, il y a également le musée des Arts et Métiers, le musée ethnographique et le musée art-nouveau.

Nous entrons dans le théâtre. Une dame nous accueille froidement, mentionnant à notre guide que nous avons 15 minutes de retard! Assez curieusement, après cette mise au point, elle deviendra tout simplement une guide charmante qui nous accompagnera avec fierté dans les dédales du théâtre dont elle a la charge.

Ce soir, le théâtre présente « La Bohème », un opéra de Giacomo Puccini et la maîtresse des lieux nous mentionne que de bons billets sont encore disponibles. Les prix des billets varient entre 40 et 450 kunas!

Le théâtre compte quelque 700 places et pas moins de 500 personnes y travaillent. C’est un théâtre géré par l’État.

Nous entrons dans la grande salle. C’est époustouflant.

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Une salle époustouflante!

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Il y a des loges de chaque côté. Le 14 octobre 1895, lorsqu’il a inauguré le théâtre, l’empereur d’Autriche François-Joseph 1er occupait cette loge.

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photos ci-dessus : Une décoration qui nous laisse sans voix!

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Des cariatides mises en évidence!

« En 1895, nous fait remarquer notre guide, la population de Zagreb n’était que de 45 000 habitants et pourtant le théâtre national offrait deux représentations par jour. Ça démontre l’intérêt des gens. »

La construction du théâtre s’est échelonnée sur 16 mois, ce qui est très rapide, pour une telle entreprise.

Il y a 40 ans, le théâtre a été l’objet de grandes rénovations… qui ont duré durant deux années complètes! Ce sont les dernières rénovations à avoir eu lieu

Pour l’heure, des employés oeuvrent à préparer la scène pour la présentation de ce soir.

Au plafond, il y a des fresques. Elles sont d’un Autrichien non connu.

La profondeur de la scène est de trente mètres. Il y a un orchestre dans la fosse qui, lors de notre visite, était recouverte d’un plancher noir.

Notre guide nous informe que lors des représentations, la traduction anglaise est affichée sur un écran.

Et c’est avec une fierté évidente qu’elle nous lance : « C’est le premier théâtre en Europe qui a été électrifié ».

Nous montons au deuxième étage et arrivons dans un petit salon adjacent aux loges. Celui-ci n’a jamais été rénové.

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Le petit salon!

Dans cette petite salle, notre guide nous recommande de nous rendre aux toilettes, nous mentionnant que cela vaut le coup d’œil! Et elle avait raison.

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Les lavabos sont fleuris.

Notre guide nous mène dans la loge de François-Joseph 1er!

Puis, nous montons un autre étage et arrivons dans une grande salle avec des colonnes. C’est ici que se donnent les réceptions après les spectacles. Il y a une terrasse adjacente à la salle où il est possible d’aller à l’extérieur sur une sorte de grand balcon.

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Il y a une fresque au mur représentant certains acteurs de l’époque.

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Il y a aussi ce magnifique lustre.

 Théâtre populaire de Zagreb, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Il y a des bustes d’acteurs, de metteurs en scène, de directeurs du théâtre tout en bronze, dont celui de Josip Freudenreich (1827-1881)

Nous allons sur le balcon mentionné ci-dessus et nous voyons les tours de la vieille ville. Notre guide locale, Jacinta, nous indique les églises que nous visiterons demain.

Nous redescendons et nous sortons, il est 10 h 00.

Nous poursuivons notre balade dans la ville et voyons la future académie de musique qui est en construction sur son ancien site.

Nous passons devant le musée ethnographique, le musée Mimara, celui que nous visiterons cet après-midi. Nous voyons la statue de Saint-Georges tuant le dragon, la faculté universitaire pour les futurs acteurs, une autre statue d’Ivan Meštrović.

Nous filons en direction de l’édifice des archives nationales croates, sise sur la place

Statue de Marko Marulić, Zagreb, Croatie.

Statue de Marko Marulić, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Statue de Marko Marulić (1450-1524), une œuvre du sculpteur Vlado Radas. Sur la « grande toile », nous apprenons que celui qui a donné son nom à cette place était écrivain et humaniste. Cet auteur, qui écrivait en latin, italien et croate, atteignit la célébrité grâce au poème épique religieux Judita, écrit en langue croate. S’inspirant des attaques ottomanes et de Judith, l‘héroïne de l’Ancien Testament, les vers de l’auteur propageaient les valeurs chrétiennes et encourageaient ses compatriotes à défendre leur patrie. Marulić est de nos jours souvent surnommé le « père de la littérature croate ».

À suivre
Les archives nationales et une belle promenade dans la ville de Zagreb!

Palais des archives nationales, Zagreb, Croatie.

Photo ci-dessus : Des chercheurs dans la salle principale du Palais des archives de Zagreb.

Bibliographie
Encyclopédie libre Wikipédia, Croatie, Istrie, Opatija, Poreč, Rovinj, Dalmatie, Pag, Zadar, Trogir, Šibenik, Split, Hvar, Dubrovnik, Bosnie-Herzégovine, Počitelj, Mostar, Sarajevo, Monténégro, Kotor, Perast et une foule d’autres pages;

Atlas en fiches (La Croatie, l’Istrie, l’économie de la Croatie, la Bosnie-Herzégovine, Sarajevo, l’économie de la Bosnie-Herzégovine) , Éditions Atlas, 2008;

Bosnie-Herzégovine, Turistička Naklada D.O.O. Zagreb, 2008, 160 pages;

Croatie, merveille de l’Adriatique, Éditions Minerva, 2004, 128 pages;

Dalmatie, Histoire, culture, patrimoine artistique, Forum, Zadar, 2008, 156 pages;

Dubrovnik, Histoire, culture, patrimoine artistique, Forum, Zadar, 2011, 128 pages;

Guide Voir, Croatie, Éditions Libre Expression, 2008, 296 pages;

L’agonie yougoslave (1986-2003), Renéo Lukic, Les presses de l’Université Laval, 2003, 613 pages;

Le croate pour les touristes, Extrade, 2007, 159 pages;

L’Istrie, Turistička Naklada D.O.O. Zagreb, 2007, 128 pages;

Lonely planet, Croatie, Lonely Planet Publication, 2011, 352 pages;

Monténégro, Guide touristique, Mapa Crne Gore, Podgorica, 2006, 122 pages;

Patrimoine mondial de l’UNESCO , Éditions UNESCO, 2009, 832 pages.

Venir au monde, Margaret Mazzantini, Robert Laffont, 2010, 460 pages.

Zagreb, Histoire, culture, patrimoine artistique, Forum, Zadar, 2009, 156 pages;

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  1. c’est très beau, bravo

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